Laveur De Vitres À Domicile, Le Dîner La Suite
Après avoir fait l'amour avec Louise, je décide d'aller prendre une bouteille d'eau dans la cuisine, puis j'aperçois Marie qui fume sur le canapé. En voulant retourner dans la chambre, d'une voix à peine audible, elle me demande de venir discuter avec elle. Un peu surpris par sa demande, j'y vais quand même étant de bon cur, je ne peux pas me montrer ignorant.
Puis nous discutons de tout et de rien, et me fait une réflexion plutôt agréable en me félicitant d'avoir redonné envie à Louise, je lui dis que c'est normal d'être attentionné. Elle est assez émue après ces quelques paroles, puis pose sa tête sur mon épaule. J'essaye tant bien que mal de mettre ma main sur la sienne. La discussion tourne autour de notre aventure, m'explique qu'elle a apprécié ce moment jusqu'à ce que sa fille rentre.
Elle me dit qu'elle n'a pas été choquée, mais plutôt surprise de la voir dans cet état. Depuis son divorce, elle n'a pas voulu refaire sa vie, malgré quelques aventures sans lendemain, mais qu'elle a eu un coup de cur lors de notre échange corporel. En abordant cette phase de la discussion, elle ne manque pas de me caresser le torse un peu transpirant, et avec mon simple caleçon comme barrière vestimentaire, il est difficile de cacher une légère érection.
Puis j'essaye de me reprendre, puis lui dis que je vais retourner dans la chambre afin de dormir.
Elle fait descendre sa main jusqu'à l'élastique de mon vêtement, me saisis ma verge, et me dit avec une voix assez coquine que visiblement, celui-ci n'est pas pressé de dormir. Elle commence à me masturber, j'ai beaucoup de mal à résister à cette douceur, à cette expérience d'entrée en matière.
Le désir me transporte, je lui conseille tout de même de rejoindre la chambre afin de ne pas être surpris une nouvelle fois. Elle accepte, je la suis discrètement, je jette un regard dans l'ouverture de la porte de Louise, qui s'est endormie à poing fermé, ce qui me rassure un peu.
Nous entrons dans la pièce, je ferme la porte, puis je me positionne derrière Marie, comme si elle m'attendait.
Je la saisis par les hanches, sa tête part légèrement en arrière, puis je l'embrasse dans le cou.
Je la sens frissonner, je continue mon jeu de charme, je joue avec mon expérience en glissant légèrement mon index dans le creux de sa colonne vertébrale. Je sens qu'elle a la chair de poule, puis elle se retourne, m'embrasse à pleine bouche, nos langues jouent, elle glisse ses pouces dans l'élastique de mon caleçon, puis descend petit à petit pour me l'enlever.
C'est à cet instant qu'elle commence à me faire une fellation pleine de tendresse. Elle me mordille les testicules, puis elle se relève afin que je lui enlève sa robe, elle se couche sur le lit, je lui enlève son string, puis je savoure avec passion le jus de son nectar. Je me redresse, puis je présente ma verge pour la pénétrer avec envie, nous commençons par le très classique missionnaire, même un peu trop d'ailleurs puisque nous nous mettons rapidement en cuillère une position que j'adore puisque ça me permet de lui saisir les seins à pleines mains en même temps que je la pénètre.
C'est une position sensuelle, parce que cela permet aussi de faire des caresses dans le dos.
Après ces instants de douceur, Marie se positionne à quatre pattes, puis je la prends en levrette.
Ses fesses claquent à chaque pénétration, j'essaye de faire le moins de bruit possible, mais c'est très difficile. C'est à ce moment-là, que je sens une main sur mon épaule qui ne peut pas être celle de ma partenaire, je me retourne, et je vois Sonia.
Je suis estomaqué, prêt à tout arrêter, puis elle m'encourage à continuer. Elle est quasiment nue, seul un shorty et un soutien-gorge font office de barrière. Elle glisse une de ses mains sous mes fesses pour saisir mes testicules, mais aussi pour titiller le puits d'amour de sa mère.
Je suis complètement surpris, j'ose mettre ma main entre ses cuisses qui sont trempées de désir.
Je sens ses jambes tremblées, les miennes font de même, puis en deux trois coups très puissants, je jouis dans le vagin de sa mère, Sonia disparaît aussi vite qu'elle est venue. J'ai l'impression que c'était comme un fantôme. En attendant, je m'écroule à côté de Marie, de nouveau, j'ai le souffle saccadé.
Nous nous embrassons avec passion, puis je retourne dans la chambre de Louise afin de me reposer de cette sacrée soirée de folie et d'échanges corporels.
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