Un Dimanche Soir
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
On est dimanche soir, je mennuie
il fait plutôt doux à lextérieur mais voilà, célibataire et seule à la maison
jaimerais sortir et rencontrer quelquun. Jai très envie de quelquun, mais je nose pas sortir seule.
Oh, jai tellement envie. Je décide de me préparer en vue daller dans un bar que je connais bien. Jai tellement envie
Jenfile une robe légère et courte, des bas très sexys (ce sera plus pratique si je rencontre un bel étalon), et de jolies bottes en cuir qui attirent bien lil des hommes sur mes jambes lorsque je les mets. Un rouge à lèvres sur ma bouche pulpeuse et je quitte mon appartement.
Il ny a pas grand monde au pub, jobserve autour de moi et pas un seul homme nattise ma curiosité. Pourtant, je sens bien que quelques hommes me regardent avec insistance. Jen suis à mon troisième verre, jessaie de donner limpression que jattends un ami histoire que personne ne vienne à moi
. Jimaginais vraiment que jallais rencontrer quelquun qui me plairait dès mon arrivée ? Je fantasme trop
je pense que rentrer à la maison et me caresser sera peut être le plus simple ce soir finalement.
Je prends un quatrième verre avant de partir, histoire dêtre un peu joyeuse malgré tout
Je sens bien quun homme me suit, je nhabite quà quelques rues dici, je vois quelques silhouettes au loin, quelques voitures. Cela me rassure mais jaccélère tout de même le pas. Je sens que ses pas saccélèrent aussi, mais je vois ma porte et jai déjà mes clefs dans la poche. Une seule solution, faire vite, plus vite que lui.
Je sens déjà sa main qui bâillonne ma bouche, mon cur bat la chamade, je narrive pas à crier
il commence à me caresser et me dit de me laisser faire, que tout se passera bien. Je ne sais pas vraiment à quoi je pense à ce moment là, mais quoi quil en soit, je me laisse faire. Sa main libre commence à me caresser les seins, il me retourne et me voilà face à lui, et il est bel homme.
Il me dit quil ne va me faire que du bien et que je dois me laisser aller, quil ne me fera pas de mal, puis il rajoute que finalement, il me fera peut être un peu mal quand il me pénètrera vu quil est très bien monté.
Malgré la situation, cela mexcite de savoir que je vais le sentir passer. Je fantasme si souvent sur le fait de me faire défoncer, je me laisse faire.
Je sens ses doigts dans ma chatte et il peut se rendre compte que je suis déjà trempée, je ne pensais pas que cela mexciterait autant. Ses doigts savent ce quils font, je gémis doucement et je lui dis darrêter à voix basse mais mes gémissements le stimulent. Il ne mentend pas et jen suis très satisfaite
Il mentraîne vers les escaliers, me pousse contre le mur doù lon ne peut nous depuis lentrée. Il sort son sexe, oh ! Il est vraiment bien monté, je vais avoir mal. Et me voilà encore plus mouillée
Sa voix grave mexplique que si je ne résiste pas, cela ne durera pas longtemps, que je pourrais partir
et avant même que je nai le temps de penser à partir, je me retrouve, guidée par sa main, à genou devant lui avec son énorme sexe boursouflé dans la bouche. Hummm que cest bon, son sexe est bien dur, et me voilà à jouer avec ma langue et à chercher à lui procurer du plaisir. Je ne pense quà une chose, à ce quil me défonce violemment
je lentends gémir, je sais que je suce vraiment bien, jadore ça. Il me lenfonce au plus profond de la gorge, et je continue de laspirer, et de lécher comme pour lui faire comprendre que je ne me sens pas si e que ça.
Il me pousse contre le mur, il allait jouir, je le sais. Mais il veut me prendre, et je le veux aussi. Il se met derrière moi. Je sens sa queue qui me pénètre dun coup, mais je suis tellement excitée et trempée que cela ne me fait pas mal. Par contre, je la sens passer, ses va-et-vient sont tellement bons
jadore la violence de ses coups de rein, il me traite de salope et me dit que je suis sacrément bonne
Et il commence à me mettre un doigt dans les fesses
vu la taille de son engin je ne suis pas sûre dapprécier mais il a déjà sorti sa queue de ma chatte et commence déjà à me titiller lautre endroit.
Mon cur saccélère encore, je ne pensais pas quil pouvait battre encore plus fort. Il tâtonne avec ses doigts tout en caressant le bord avec son sexe, et il me stimule peu à peu. Je pousse légèrement mes fesses vers lui pour lui faire comprendre quil peut y aller. Il matt par les cheveux, et me pénètre violemment, jétouffe un cri de douleur tant cest brutal, et il doit me mettre la main devant la bouche pour mempêcher de faire trop de bruit. Que sa queue est dure, je nen peux plus, je vais exploser
cest tellement bon, cest trop bon, oh, que jaime sa queue.
Il me libère la bouche et me caresse le clito
je sens que je vais jouir ! ses doigts experts pendant quil me martèle comme une salope
je ne pensais pas autant aimer être maltraitée.
Il jouit en moi, je sens cette chaleur qui se diffuse. Je suis haletante et épuisée, et lui sen va et me laisse dans les escaliers
Je rentre chez moi, encore abasourdie, ne sachant que penser. Cétait si violent, et si bon !
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