Annie

Enfin j’ai trouvé un bel appartement au dernier étage d’un immeuble. Le seul appartement au même étage est occupé par deux femmes jeunes qui me semble bien impolie: elles répondent à peine à mes salutations quand par hasard je descends par l’ascenseur avec l’une d’elle. Ce n’est qu’après plusieurs jours qu’enfin j’ai un simple signe de tête : un progrès.
J’ai quand même pu les observer: elles sont jolies, l’une blonde et l’autre châtain foncé. Elles sont aussi attirante l’une que l’autre: pourtant je préfère la blonde qui me semble bien plus sexy que son amie.
Petit à petit j’arrive à parler avec elles.
Un matin, en descendant je suis justement seul avec la blonde. Nous pouvons bavarder plus librement, même jusqu’au trottoir. Nous prenons l’habitude l’un de l’autre à tel point que j’apprend qu’elle a une ami qu’elle voit quelques fois. Nos relations deviennent amicales. Je sais qu’elle s’appelle Annie, qu’elle travaille dans une administration (habituellement je n’aime pas les fonctionnaires) qu’elle aime une forme de musique qui justement correspond à ce que j’aime aussi: le classique. Sauf qu’elle préfère Wagner et moi Bizet.
Un matin elle me dit que sa camarade est absente pour quelques jours: elle est chez sa mère gravement malade. Donc Annie est seule. J’en profite pour l’inviter chez moi pour le lendemain vers midi: je lui ferai goûter ma cuisine, mon meilleur passe temps.
D’accord: elle arrive chez moi vers 11 heures 30. Je n’ai pas fini un plat. Tant pis pour moi. Je la fais s’installer sur le divan du séjour. Je vais mettre le couvert: elle se lève pour m’aider.
Le repas se passe fort bien: elle est souriante, je la plaisante un peu: elle répond du tac au tac. Enfin une fille qui aime la plaisanterie.
Annie me raconte un peu sa vie privée: avec son ami, les choses de sont pas brillantes. Elle se contente de se qu’elle a; il lui est difficile de faire les premiers pas vers un autre gars.

Je n’ose pas lui dire que je suis libre et que si elle le veut……….
Nous finissons de déjeuner: je me lève pour préparer le café ( sans regarder un éventuel piano qui tombe)
Elle vient avec moi pour aider: elle sort les tasse pour les porter à table: elle devient une ménagère comme les autres.
Pour boire le café qui, d’après elle est très bon, nous nous asseyons sur le divan. Nos tasses finissent sur la petite table en face de nous. Je la regarde avec au fond de moi l’intention de l’embrasser. Elle doit deviner mon envie, elle s’approche de moi et je peux poser mes lèvres sur les siennes: elle ouvre sa bouche et ma langue va chercher la sienne. Il me semble que nous sommes au début de quelque chose d’important.
Je l’enlace pendant qu’elle entoure mon cou de ses deux bras. Ma main cherche un peu un sein que je caresse. Annie se laisse faire, comme elle me permet de défaire les boutons de son chemisier en dentelle. Je trouve toute sa poitrine presque offerte: il faut simplement enlever son soutien gorge. Je passe mes mains dans son dos pour arriver à le dégrafer: je tâtonne un instant quand enfin j’arrive à le faire descendre le long de ses bras. Nos langues sont trop occupées à se caresser pour que nous abandonnions notre baiser.
Je ne sais si elle commence à être excitée, en tout cas moi oui: je commence à bander. L’ennui avec les hommes est qu’il ne peuvent pas cacher leur virilité en cas de désir. Quand nous séparons nos lèvres elle ne peut faire autrement que de voir la bosse sur mon pantalon. Je me penche à peine pour prendre un tétons dans ma bouche: j’aspire légèrement pour que ma langue le caresse doucement. Mon autre main caresse également l’autre mamelon. Pendant que je m’occupe de sa poitrine, elle aussi s’intéresse à la mienne: elle défait les boutons de ma chemise pour que je la quitte. Ses mains caresse les tétons et le reste du torse. Tout en gardant ma bouche sur son sein, je pose ma main sur son genou: elle écarte un peu les cuisses: c’est son visa d’entrée pour que j’aille vers son paradis.
Je monte vers ce paradis lentement en caressant l’intérieur des cuisses: elles s’écartent quand je monte. Quel plaisir de sentir une fille qui avec une certaine pudeur permet d’aller vers sa chatte sans râler.
Je suis maintenant sur sa culotte: elle est mouillée. En passant un doigt sous un élastique j’arrive à toucher son clitoris. Je trouve un organe normal et qui bande un peu: je m’attache à le caresser lentement au début puis plus vite ensuite. Elle n’est pas longue à se crisper pour une jouissance.
Annie n’hésite plus à poser sa main sur la queue, ouvre ma braguette et sort mon engin qu’elle n’hésite pas à caresser. Sa masturbation me mène droit à un orgasme. Je suis sur le point de lui demander d’arrêter quand d’elle même elle cesse.
Je la fait lever pour aller nous coucher: elle ne fait aucune difficulté pour m’accompagner. Je fini de la déshabiller en embrassant tout ce que je vois. Je la couche sur le lit: le corps sur le lit, les jambes ouvertes vers l’extérieur. Je n’ai pas besoin de lui expliquer ce que je veux lui faire: elle est d’accord d’avance. Je fini de me déshabiller également. Elle peut voir ma bite en grandeur réelle. Je ne suis pas une exception, je suis comme tout le monde.
Je me mets à genoux devant elle pour poser ma tête entre ses cuisses. Je lèche l’intérieur de ses jambes avant d’arriver à sa moule. Ce que je ressent d’abord est son odeur de femme excitée: elle sent la cyprine à plein nez: c’est drôlement excitant. Je sais déjà que quand nous auront fini la chambre sentira l’amour.
Je mets ma langue sur son bouton: je commence par le lécher pour finir en l’absorbant dans la bouche pour le sucer en moi. Je met deux doigt dans son con, directement: je les fais aller et venir. Elle suit mes mouvements: je l’entend gémir doucement. Elle serre ses cuisses sur ma tête en jouissant.
Je me relève pour la coucher normalement et m’allonger à ses cotés. Ma bouche rejoint la sienne. A son tour elle prend ma bite pour me branler: Annie branle fort bien, presque mieux que moi.
Je lui demande d’arrêter ce qu’elle fait avec déplaisir. Je vais sur elle: elle écarte ses jambes pour que je m’y installe. J’entre dans son ventre sans qu’elle m’aide. Je préfère. Quand je suis bien au fond de sa moule elle lève ses jambes pour les passer sur mes reins.
Dès que je commence à aller et venir, elle suis mes mouvements. Je sens son orgasme autour de ma queue. Je reste immobile pendant qu’elle jouit. Elle recommence aussitôt après pour que je jouisse à mon tour.
Pour une première fois je tiens particulièrement le coup. Enfin je sens arriver dans mon bas ventre le début de ma jouissance. Mon sperme se répand dans son ventre en grande quantité: mon plaisir est proportionnel. Je crois n’avoir jamais joui aussi fort. Je le sens presque jusqu’à la tête
Nous restons couchés en nous câlinant. Je reprends mes caresses sur ses seins. Elle me caresse le torse longuement.
A force de nous tripoter je recommence à bander: elle me dit qu’elle voudrai recommencer une autre séance. J’en suis d’accord. Je vais pour la baiser: elle se met en levrette, se mouille l’arrière train avec sa cyprine et me donne son cul. C’est rare qu’une fille se donne ainsi. Quand je vais pour l’enculer, Annie prend ma bite pour me guider sur son anus. Elle me tient encore quand je commence à la pénétrer. Il faut croire qu’elle aime bien la sodomie: elle n’arrête pas de gémir comme si elle avait mal tout le temps que je passe dans son intérieur. Pour que son plaisir soit plus complet elle se masturbe le clitoris.
Pourquoi ne pas l’aider à ma façon: je cherche et trouve son autre orifice dans le quel j’entre seulement deux doigts. C’est une sorte de double pénétration. Je la sens jouir encore: cette fois je continue à l’enculer. Quand je jouis enfin je largue encore une grande quantité de sperme.
Nous nous séparons quand je sort de son cul. J’ai ma bite encore pleine se sperme. Ma semence l’inspire puisqu’elle prend ma pine pour la nettoyer complètement et finir par me branler comme il me semble qu’elle aime pour faire jouir son amant.

Enfin nous cessons: elle et moi sommes fatigués de notre baise.
Depuis ce jour, elle m’a comme ami: pas besoin d’aller chercher un amant lointain. Elle n’a que le pallier à traverser.
Quand son amie rentre Annie lui avoue notre liaison. La réponse est dommage: je me le serais bien fait.

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