Mariee Malgre Moi (1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je mappelle Émilie, je suis jolie et jai dix-huit ans lorsque japprends que mes parents mont vendu à un vieux baron pour sauver notre domaine.
Vendu, cest bien le mot car si je ne lépouse pas, nous nous retrouvons tous à la rue car il possède toutes les dettes de mon père.
Pourtant, jai été élevée dans une école en Suisse où jai appris les bonnes manières et où mes études étaient de haute qualité.
À mon âge, je suis en deuxièmes années en droit car je rêve de devenir avocate chargée de la défense des s.
Lorsque à la fin de mon année scolaire mon père me téléphone pour me demander de le rejoindre toutes affaires cessantes, jai cru quil allait mapprendre une mauvaise nouvelle concernant mes proches.
Pire que cela, personne chez nous na disparu mais cest ma jeunesse quil enterre.
En faillite, notre domaine de près de cinq cents hectares ne nous appartient plus. Il a été raflé par un homme daffaires de soixante cinq ans, célibataire de toujours sans que je nai jamais vu.
Mon père en pleure à essayer de se disculper en mexpliquant quil navait pas vu que cet homme machiavélique tisait sa toile petit à petit.
Il lui a donné une porte de sortie quil réprouve mais quil se doit de mexpliquer.
Cet homme se nomme Alfred. Même le nom donnerait des boutons à toutes jeunes filles surtout vierge.
Si je lépouse après une visite attestant de ma virginité et que je mengage à lui appartenir deux à trois fois par mois le reste du temps, il me laissera vivre ma vie de jeune fille.
Sur le plan des finances, jaurai mon indépendante et il mettra à ma disposition une voiture avec un chauffeur dont je sens quil sera son il noir ainsi quun compte bancaire bien approvisionné.
Pour sauver la famille et ne pas avoir à subir un mari vieillissant, je donne mon accord moyennant la signature dun contrat que je tiens à approuver personnellement.
Jai la réponse deux jours plus tard et je dois me mettre en contact avec son avocat qui est chargé de faire le maquignon.
Mon père a de la chance, huit jours plus tôt jai failli perdre ma virginité lors dune sortie avec mes collèges de classe ou dans un bois, je métais isolé pour un besoin naturel et où un homme sorti des buissons a cherché à magresser.
Cest notre accompagnatrice qui ma sauvé voyant que je navais pas suivi.
Elle la fait fuir et ma pris dans ses bras afin de me rassurer.
De retour à linternat, elle ma amené dans sa chambre sous couvert de me donner un sucre avec de la menthe alcoolisée.
Je ne me suis pas méfié en entrant dans la chambre quelle me fasse asseoir sur son lit plutôt que sur la chaise près de la table.
Après avoir pris le sucre moi qui nait jamais pris la moindre goutte dalcool de ma vie, jai ressenti les choses différemment. Jétais dans une sorte de coton et la tête me tournait. Camille, la surveillante est venue sasseoir près de moi et ma prise dans ses bras pour me cajoler. Avant que je ne puisse comprendre, elle me parle de ces salopards dhommes qui nont pas de respect pour nous les femmes.
Je ne sais pas comment sa langue sest retrouvé dans ma bouche mais ce que je sais, cest que la tête me tournait encore plus et que je trouvais cela agréable.
Elle a continué à soccuper de moi et elle ma ouvert le chemisier que nous portions toutes.
Mon soutien-gorge la rejoint au pied du lit et sa bouche est descendu pour titiller mes seins. Jai une poitrine assez bien proportionnée avec des globes assez gros et des aréoles en forme de poire.
Je ne savais pas quoi faire soit fuir soit moi aussi lui enlever ses affaires.
Mes seins quelles avaient si bien sucés avaient déclenché au bas de mon ventre une étrange envie de caresse.
Jai repris mes esprits et je suis devenu active, je savais ce que je devais à Camille car si elle nétait pas venu à mon secours à cette heure, je serais avec la chatte éclatée par la verge du violeur.
Je lui ai enlevé tous ses vêtements et je ladmirais dans sa nudité ne sachant pas quoi faire.
Elle a fini de me déshabiller intégralement et ma demandé de mallonger à ses côtés.
Sous son oreiller, elle a sorti deux godemichets de bonne taille et cest pénétré avec lun deux.
Elle a commencé à écarter mes grandes lèvres et au moment où elle allait me le placer comme le sien, la porte de communication avec la pièce dà côté sest ouverte et la directrice est entré. Elle sest jeté sur Camille en la traitant de pute.
Jai rapidement compris que la pièce contiguë était sa chambre et quelles étaient amantes. Au moment où je me suis levé et que jai ramassé mes affaires, elle a continué à la traiter de tous les noms car le gode quelle a voulu menfiler était le sien.
Dans le couloir et jusquà ma chambre, jai rencontré plusieurs élèves qui étaient très étonnées de me croiser nue moi qui suis si pudique.
Le lendemain, nous apprenions que notre surveillante avait trouvé un nouveau travail et avait quitté linstitut.
Les vacances sont arrivé et jai pu me présenter devant mon père vierge.
Jai signé le contrat deux jours plus tard et le lendemain lavocat ma conduite chez un gynécologue qui après mavoir examiné lui a signé un certificat de virginité.
Le lendemain, je fais la connaissance de mon chauffeur qui a pris son service et vient me chercher pour me conduire à Neuilly chez mon futur époux la cérémonie devant avoir lieu le jour même.
Mon chauffeur est un bel homme dune quarantaine dannées.
Je manque de rigoler lorsquil enlève sa casquette pour mouvrir la porte.
Lorsque je lui parle des délais légaux pour le mariage, il me répond que largent permet tout et que tout sera réglé légalement.
Dès que nous entrons dans la propriété, il me fait entrer dans la maison.
À lintérieur un autre homme mattend, me fait monter à létage et me fait entrer dans une chambre.
Sur le lit une robe blanche de mariée est posée et il me demande de la passer.
Il ne sinquiète pas pour ma pudeur et reste à me regarder. Il exige que je sois nu dessous. Si javais choisi, je naurais certainement pas pris ce modèle digne des années 1900.
Lorsque je suis prête, il me conduit devant la porte contiguë à la mienne. Jattends quil ressorte et me fasse entrer pour découvrir le désastre que va être ma vie.
Dès la porte franchie, je comprends pourquoi je nai jamais vu mon futur mari.
Jai devant mes yeux un monstre. Assis sur sa chaise roulante, cet homme doit peser près de 150 kilos voir plus et est incapable de se mouvoir seul.
À côté de lui il y a un homme que je ne connais pas et qui est bardé dune écharpe tricolore.
Je comprends pourquoi mes parents ne sont pas là. Ils le connaissent et ont honte davoir vendu leur fille unique pour garder leurs biens.
Heureusement quils ne sont pas là car je leur aurai arraché les yeux.
Mon chauffeur est là pour me servir de témoin.
Son majordome sera le sien.
Rien na trainé dans la cérémonie comme sil avait peur que je ne me sauve en courant. Jai limpression que les registres signés ce représentant du peuple na quune envie, partir, dommage car comme mon chauffeur, il est mignon.
À y bien regarder, le majordome est un apollon malgré sa cinquantaine et sa calvitie comparée à celui qui vient de dire « oui » alors que lon me pose la même question si je veux lépouser.
Nous avons échangé les bagues et lorsquil va dire que le marié peut embrasser la mariée, je lai fusillé du regard et la phrase est resté dans sa gorge.
Mon mari, car il létait, ma tendu sa bouche. Jai dit sèchement que les baisers nétaient pas dans le contrat.
Il a semblé contrarier et a signé les registres.
Les formalités terminées, il me ramène dans ma chambre où mon repas de mariage mait servi.
Jen profite pour demander à mon chauffeur, comment le joindre.
Nous échangeons nos numéros de portable et il me dit que je peux lappeler à nimporte quelles heures du jour ou de la nuit.
La nuit vient de tomber lorsque le majordome vient me prévenir de remettre ma robe et de me préparer. Mon mari souhaite consommer sa nuit de noce dès que je suis prête.
Un moment de frayeur vite réfréné par une idée loufoque qui me vient. Je fais le numéro de mon chauffeur qui arrive après moins de cinq minutes.
Lorsquil arrive, je suis nu sur mon lit mes jambes écartées la chatte offerte.
Quand je lui dis de venir me baiser, un moment étonné, il nhésite pas à sortir sa queue et vient me déflorer.
Une petite douleur sur le coup et il est très surpris de me remplir la grotte en sexcusant davoir été si vite.
Je le rassure car je ne voulais pas offrir mon hymen à cet homme qui ne mérite pas ma jeunesse pour une simple dette. Nous aurons location de recommencer et la prochaine fois, je suis sûr que nous saurons faire plaisir à nos corps.
Rassurer que je ne lui en veuille pas, il me laisse aller vers la destinée que jai choisie même sérieusement contrainte.
Lorsque je suis prête, je le fais savoir et le majordome me conduit vers notre chambre nuptiale.
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