Au Détour De La Vie.

Il était 1h00 du matin au volant de ma BMW de société, je suis gestionnaire de chantier dans la vie, 50 ans divorcé depuis que ma femme voulu reprendre sa liberté.
On me dit bel homme les cheveux court grisonnant, plus trop le temps de faire du sport, mais pas du tout inactif, il me reste du charme parait il, mais je ne suis pas un coureur de jupon préférant et de loin la qualité à la quantité dans mes relations amoureuses, mais pour tout avouer j’avais depuis mon divorce deux ans auparavant eu que deux relations assez décevantes sur la longueur et une qui ne dura qu’un soir dû à une trop grande vulgarité de la femme qui m’accompagnait, pourtant elle semblait très coquine mais je n’éprouvait pas l’envie de me glisser avec elle dans une nuit de sexe débridé malgré son invitation.
Autrement j’ai été ce que l’on pourrait appeler un mari fidèle.

Mes yeux regardaient à la dérobé la jolie paire de jambe gainée de bas couleur chair et appartenant à une jeune fille de 24 ans que je déposait chez elle au passage en rentrant chez moi et que j’avais rencontré ce soir là.
Invité chez des amis, elle était l’amie de leur fille et dés mon arrivé il fût décider qu’elle resterait manger avec nous et que je la déposerai chez elle par un très léger détour ce qui fut entériné par un appel aux parents de la jeune fille qui je l’appris vite se prénommée Laura.

Avec mes amis, nous nous connaissions depuis de nombreuses années.
Ils étaient des amis de notre couple et gardait ce statue nous recevant même parfois ensemble d'autres amis que nous avions en commun,
Il faut dire qu’avec mon ex femme nous gardions de très bon rapport une séparation après plusieurs années de vie commune et assez heureuse je dois le dire et couronner de deux merveilleux s obligent à respecter tout ce que nous avions partagés ensemble.
Donc la soirée se déroula avec gaieté et de chouettes discutions agrémentaient cette douce soirée de fin avril, qui, sans être déjà l’été, nous dispensait quand même une chaleur printanière depuis quelques jours dans ce coin francophone de la Belgique où je résidais.

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Comme à mon habitude, je faisais rigoler l'assemblé par mes histoires ou autres Laura se trouvant assise en face de moi me jetait parfois un regard suivit par après d’un léger sourire qui se dessinait à la commissure des lèvres qu’elle avait fine et belle tout comme son doux visage avec ses yeux verts magnifiques qui lui donnait une petit air angélique et craintif, une jolie jeune fille fraîche et sérieuse et assez réservée d’ailleurs elle ne parlait pas beaucoup se contentant juste un hochement de la tête parfois pour dire d’être de la partie, la voyant malgré tout un peu seule et désireux de l’intégrer, je demandais à Laura ce qu’elle faisait dans la vie.

Elle parue intimidée et pris une respiration par me dire qu’elle travaillait déjà depuis quelques mois après de études de juriste, au service achat d’un grand groupe pétrolier situé non loin de chez moi et dans lequel, je devais me rendre la semaine suivante, puisque nous les comptions parmi nos clients, elle me dit juste c’est marrant parfois la proximité alors que nous ne nous connaissions pas en ponctuant sa phrase d’un jolie sourire plein de douceur auquel bien entendu je répondis et très vite la discussion repris entre nous deux, ses études, son job, mon boulot, un peu comme si nous avions besoin de se découvrir mutuellement.
Mais je sentais toujours qu’il fallait pour elle outrepasser une certaine timidité mais que cette soirée lui plaisait malgré tout, à un moment durant un échange mon regard se porta un peu plus bas au niveau de l’encolure de son t-shirt un fin et jolie cou ornait d’un petit collier fin en argent agrémenté de quelques pierres brillantes, je la vie rougir une peu mais en même temps elle pris une longue inspiration ce qui fit qu’elle tendit la haut de son buste vers moi et je pus voir en relief sa très jolie petite poitrine je dirai un petit 85b mais non sans doute plus petit car par une très légère transparence je pu deviner un soutien avec les bonnets légèrement rembourrés car nul trace de petits tétons sous le léger t-shirt et de toute façon elle se leva tout en effectuant son inspiration et partie aux toilettes en s’excusant elle revînt une dizaine de minutes plus tard alors que j’étais en discussions avec mes amis qui prenaient des nouvelles d’un autre couple d’amis communs avec lesquelles j’étais allé faire de la voile le weekend auparavant mais au détour de la conversation je jetais un regard sur Laura désirant la faire participer si elle le désirait, nous nous échangions donc à diverses reprises un regard, puis la conversation dériva sur le dernier film "50 nuances de gris" que les filles sont allées voir à quatre avec la maman de Laura et qui semblait- il, les avaient déçus par rapport aux livres qu’elles semblaient avoir toutes lus avec beaucoup de plaisir.

Alors que nous écoutions la femme de mon amie avec sa fille en grande discussions sur le fait qu’une femme se soumette à un homme, je vis le regard de Laura me fixer, droit dans les yeux, comme si elle cherchait à me dire quelque chose, je fixait à mon tour son regard et lentement elle baissa les yeux un peu comme si elle s'abandonnait, ce petit regard ignoré de tous hormis nous deux enfin je l’espère me fit comme une décharge électrique.
Laura m’envoyait t’elle un signe ou je me faisais des idées désirait elle s'exprimer sans oser, alors, prenant part à la conversation des deux femmes j’expliquais qu’a mon avis il pouvait y avoir volonté de domination et ou soumission entre deux personnes qui s’aiment et se respectent et que l’excitation provenait justement de la complicité naissante avec ses sentiments ce qui permettait à la sexualité de s’orienter vers des sentiers que tous le monde ne partage pas obligatoirement mais qu’il ne faut pas diaboliser si chacun des deux en ressentaient du plaisir.
La femme de mon ami me demanda si je pratiquais ce genre de sexualité ?
Je répondis que non mais comme certains hommes j’appréciais de prendre l’ascendant dans une situation déterminée et partagée, elle me demanda un exemple.
Je lui dis juste que j’avais apprécié un soir au restaurant avec une amie que je ne laissais à priori pas indifférente, me retrouver avec dans la main le petit sous vêtement intime de cette femme portait à qui j’avais demandé de s’en défaire en allant aux toilettes alors qu’elle m’avait demandé de lui dire de faire un truc assez spécial et très sexe mais que malheureusement nous n’avions pas été plus loin car trop de chose nous différenciaient et que nous n’avions pas renouvelé de sortie ensemble.
Puis la conversation dériva vers un autre sujet néanmoins Laura me regardait plus souvent j’eu même peur que cela commence à se voir car même si cette gamine me plaisait par sa beauté et sa féminité jamais je n'eu dans l'idée de la dépraver, mais apparemment pas cela restait entre nous deux.

Puis la nuit avançant, nous primes congés en se relevant lentement de nos chaises, Laura enfila un petit gilet sur son t-shirt moi mon pull sur les épaules et nous embrassâmes tout ce petit monde les remerciant de cette belle soirée.
Laura franchit la porte devant moi et lui emboîtant le pas je glisser sans aucunes arrières pensées ma main sur sa hanche comme pour l’accompagner à me devancer mais dés que je touchais sa hanche Laura ressentit un long frisson que je sentis aux travers de me doigts mais elle ne se déroba pas du tout il me sembla même qu’elle avait suspendu son pas durant une fraction de seconde puis repris l’élan de sa marche devant moi.
Un petit coup de télécommande pour ouvrir la voiture tout en contemplant sa silhouette gracieuse se dessiner au travers de la nuit éclairée par une belle lune, je l’accompagnais en bon gentleman à la portière coté passager que je lui ouvrit et à nouveau en l’accompagnant d’une main sur sa hanche mais je dois bien l'avouer un geste plus aussi anodin que la première fois, dans le geste le petit gilet se déroba sous ma main et c’est à même le léger t-shirt que je sentis le soyeux de sa peau, la finesse de son corps frémir de cette attouchement elle me jeta un regard doux et anxieux durant son geste et resta comme suspendu une à deux seconde à mon regard avant de s'asseoir dans le confortable siège en cuir lui ayant saisi la hanche avec mon pouce je fit un léger resserrement tout en l’accompagnant en me baissant, ma main glissa le long de son corps qui remontât dans son dos jusqu'à son omoplate je sentis d’ailleurs distinctement la bretelle de son petit soutient gorge qui lui maintenait la poitrine ce qui me troubla beaucoup alors que j’allais m’installer au volant et que nous primes la route.

Alors que nous égrenions les quelques kilomètres qui la séparait de son domicile, et qu’elle n’avait toujours pas remis sa petite jupe en place il faut dire qu’elle ne dévoilait pas non plus la fourche de ses cuisses, elle prit la parole d’elle-même et me demanda quel jour je devais me rendre chez son employeur, avec me semble t- il un léger tremblement dans la voix en ajoutant que cela pourrait être sympa de s’y croiser si je le désirais.
Je fus surpris mais aussi heureux qu’elle m’accorde cette attention, mais, n’étant pas certain du jour exact je lui dit juste que cela devait se passer me semble t’il en après midi le jeudi ou vendredi de la semaine prochaine, je lui dit donc que si elle me laissait son numéro de GSM, je lui communiquerai avec plaisir le jour et l’heure et que si elle le désirait nous pourrions aller prendre un café si elle était libre, ce à quoi elle ajouta avec un sourire, un oui et que cela lui ferait plaisir à elle aussi et pris dans son sac son portable et me le demandant fit mon numéro et laissa sonner une fois en me disant que de cette façon nous avions chacun notre numéro respectif.

Nous arrivâmes devant chez elle, je me garais et descendis lui ouvrir la portière d’où elle sortie, et me penchât pour lui glisser un chaste baiser sur la joue.
Elle eu un dernier sourire envers moi en s’éloignant, elle franchit le petit portail qu’elle laissa ouvert à mon étonnement et se glissa derrière un bosquet puis réapparue à mes yeux elle semblait hésiter mais revins vers moi ouvrit la porte de la voiture coté passager alors que je reprenais place derrière le volant me tendis la main en quémandant la mienne qui se glissa dans la sienne elle y déposa un morceau de tissus me sembla t-il puis sortie rapidement et entra chez elle par la porte qui s’entrouvrait sa maman ayant sans doute entendu la voiture venait voir si cela était dû au retour de sa fille, un bref petit signe de la main tous les trois et je pris la direction de mon domicile avec au creux de la main toujours ce que Laura y avait glissait, un peu plus loin m’arrêtant et allumant le plafonnier, j’y découvrit après l’avoir déplier car il était tout en boule un superbe tanga en dentelle noir encore humide en son centre, j’avoue que cela me fit bander très fort tout en me surprenant de la part de Laura mais que cela vienne d’elle me fit bander encore plus fort…
A suivre…