Fouzia 1
Mon ami Fred mavait invité à son mariage avec une maghrébine .. Javais été étonné par une réflexion de sa part au moment de larrivée de la mariée. Deux femmes étaient là et il ne savait pas laquelle était sa fiancée
Encore une histoire de mariage blanc sans doute ?¨Pas de bol ! Lheureuse élue était celle sur laquelle javais flashé
Plus tard, Fouzia mavait avoué quelle avait ressenti le même pincement de déception à ce moment- là car elle aurait volontiers porté son choix sur moi si nous avions eu le temps de nous rencontrer avant cette cérémonie arrangée. Le sage chemisier en dentelle de la demoiselle ne parvenait pas à cacher des nibars plantureux propres à remplir la main dun honnête homme. Les deux futurs mariés me précédaient sur le chemin de la mairie ce qui mavait permis de mater les hanches bien larges de la donzelle. Mais une certaine gêne dans la démarche avait permis à mon il exercé de deviner que le Petit Chaperon Rouge navait certainement pas encore goûté au loup.
La cérémonie et la fête se passèrent bien. Il y avait beaucoup de monde au couscous. Mais je dois avouer que javais fait plus acte de présence quautre chose. Fouzia et moi avions bien échangé quelques regards complices où se mêlait une ombre de regret mais enfin, cétait comme ça dans cette situation coinçante
inshallah ! Tout le monde rentra chez soi et la vie reprit tout en me disant que Fred avait bien de la chance. On minvita comme ami de la famille et la connivence sétablit peu à peu entre Fouzia et moi. Les invitations se multiplièrent à linitiative de Fouzia. Je sentais une certaine tension monter entre Fred et elle. Ils me faisaient manifestement jouer le rôle de modérateur.
Jusquau jour où ils se jetèrent à leau et mannoncèrent après le thé traditionnel quil y avait un grave problème entre eux. Fred, quelque peu gêné en bon occidental déducation judéo-chrétienne nosait pas parler le premier. Cest Fouzia qui prit linitiative de me dire que, depuis le mariage, il ne sétait rien passé entre eux.
Obligé de me lever pour partir, il était impossible de cacher létat dans lequel je me trouvais. Fouzia perçut immédiatement le renflement qui grossissait mon pantalon. Elle me reconduisit jusquà la porte en me précédant avec un déhanchement des hanches digne dune danseuse orientale tout à fait inattendu
Ô merveilleuse stupeur prometteuse des jouissances à venir, elle me glissa dune voix passée dans les graves, en guise dau revoir « Tu sais, moi aussi, je mépile .. » Joignant le geste à la parole, elle caressa lendroit du renflement en descendant même pour soupeser mes couilles avec une légère pression,; question de tester la marchandise.
A suivre
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