Sophie Et Charlotte 3
Sophie et charlotte 3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Charlotte partie, mon regard revenait sans cesse vers Sophie, et surtout vers son chignon. Il était vraiment impressionnant, de par son volume, et de sa rigueur. Aucune mèche ne sen échappait, deux clips en plastique noir retenaient cette torsade que lon sentait prête à se dérouler, et à retrouver sa liberté.
Sentant mon regard sur sa nuque, Sophie se retourna vers moi. Sous son chemisier soigneusement boutonné, on devinait une poitrine qui se passait de soutien gorge. Tiens, ma collaboratrice nétait peut donc pas aussi sage quelle volait le montrer ?
« Vous avez vu Charlotte ? » je demandai, « elle a vraiment changé »
« Je ne sais pas, je nai pas fait attention » je ne savais pas pourquoi, mais je la sentais troublée, même si elle ne voulait pas le montrer.
« Mais, ses cheveux ! Elle a coupé ses magnifiques cheveux ! Et pas quun peu ! Elle na plus sa longue natte, mais presque une coiffure de garçon ! » Son indifférence affichée me révoltait.
« Ah oui, peut être »
« Mais enfin Sophie, comment une jeune femme comme vous peut être aussi indifférente face à un acte aussi radical ? Vous même, est ce que vous feriez cela aussi ? »
Elle fit une grimace en mentendant, et porta une main vers son chignon. « Me couper les cheveux ? Moi ? Ah non jamais ! »
Jétais surpris par sa réaction. « Pourquoi jamais ? Parce quune femme doit avoir les cheveux longs selon vous ? Parce quil faut quune femme ait les cheveux longs pour être féminine ? »
Elle me regardait, ses yeux me lançaient des éclairs de colère, hautaine, elle ne répondait pas. Je continuais. « Mais vous même, pensez vous être féminine ? Votre chignon sévère vous fait ressembler à une institutrice »
Elle se retourna et fit semblant de se plonger dans son travail. Je sentais bien que je lavais vexée avec ma remarque, mais en repensant, je devais admettre quelle avait un faux coté strict qui la faisait ressembler à une gouvernante ou une institutrice.
« Allons Sophie, ne boudez pas, vous nêtes plus une petite fille ! »
« Je ne boude pas, jessaye de faire le travail pour lequel vous me payez, et je pense que cette conversation est inopportune. »
Sans le vouloir, javais du toucher un point sensible. Je décidais alors de la titiller davantage, et ce petit jeu commençait à mémoustiller. Jallais peut être enfin faire fondre ou plutôt casser la couche de glace qui semblait entourer Sophie.
« Mais Sophie, vous avez quen même vue la pauvre Charlotte ! Avec ses cheveux courts, elle ressemble presque à un garçon ! Je me demande pourquoi elle a coupé ses beaux et longs cheveux ? Jespère quelle ne le regrette pas. »
« Bon, vous avez fini de mennuyer avec cette factrice ? Jaimerai avancer dans mon travail. Et de toute façon, elle na que ce quelle mérite. Si elle ne voulait pas les couper, elle navait quà pas le faire. Si elle nest pas capable de réfléchir à la conséquence de ses actes, je ny peux rien. Et puis si elle avait deux sous de jugeote elle aurait gardé un minimum de féminité. Si elle ressemble désormais à un garçon, elle, na que ce quelle mérite. »
Jétais outré de sa réaction. Si pour elle, féminité ne rimait quavec cheveux longs, elle allait être féminine, et même femme, même si elle ne le voulait pas.
Sans faire de bruits, je me levai et mapprochai de Sophie. Elle ne mavait pas entendu, et sursauta lorsque mes deux mains se posèrent sur ses épaules.
« Je pense que nous allons devoir faire connaissance Sophie. Je nai pas apprécié vos propos sur Charlotte, et je pense que je ne peux pas laisser passer cela. Vous allez apprendre à être féminine, comme je lentend, et que cela vous plaise ou pas. »
Elle essaya de bouger, mais mes mains la maintenaient fortement, lempêchant se débattre.
« Que faites vous ? Lâchez moi tout de suite, et joublierai cet incident »
« Chut ma jolie, reste tranquille »
Ma main droite enleva prestement les deux clips qui maintenaient ses cheveux, et je vis alors un spectacle extraordinaire : comme dans un film au ralenti, la masse de cheveux tomba doucement, se transformant en une longue et épaisse tornade.
« Mais, ils sont très longs, ils touchent par terre ! »
Jécartais les mèches avec mes mains, les soulevant pour les laisser retomber. Jétais aux anges, jamais je naurais soupçonner linimaginable : javais embauché Raiponce sans le savoir.
« Bon, vous êtes content maintenant ? »
Toujours assise, et me tournant le dos, Sophie se manifestait.
Sans lui répondre, mes mains encadrèrent ses épaules, et doucement je la fis se lever. Un immense sourire aux lèvres, je la retournais afin quelle me regarde.
« Eh bien Sophie, vous maviez caché cette beauté. Cela fait plusieurs mois que nous travaillons ensemble, et jamais vous ne mavez rien dit. »
En disant cela, je continuai de passer mes mains dans ses cheveux. Debout, ils lui arrivaient presque au niveau des genoux. Ils étaient plus longs que sa sage jupe bleu marine. Le contraste entre cette masse chatain, et son chemisier blanc, cette longueur, la douceur de ces mèches, tout cela mexcitait de plus en plus.
« Sophie, je vous ai dit que vous alliez être femme ; et bien je vais tenir parole. Comme vous avez dit que Charlotte navait que ce quelle méritait, vous aussi vous allez mériter, ou plutôt être récompensée pour votre féminité. »
Je plongeai mes bras de chaque coté de son cou et prestement enroulai autour de mes poignets les deux longues couettes que javais faites. En referment mes doigts à la base des couettes, je maintenais fermement sa tête. Elle essaya de se dégager, mais dun mouvement des poignets je resserrai ma prise, avec une efficacité immédiate :
« Aïe, vous me faites mal »
Ses mains étaient toujours sur les miennes, alors je tournais encore un peu mes poignets, augmentant la tension sur ses cheveux.
« AÏE, Mais pourquoi vous me faites mal ? »
Ses yeux inquiets rencontrèrent les miens remplis de désir.
« Mais vous avez de longs cheveux, donc selon votre définition vous êtes féminine. Etre féminine cest être femme, et être femme cest savoir satisfaire les hommes ».
Je vis de lincompréhension dans son regard. Avant quelle ne puisse me répondre, je baissais mes bras, lobligeant à se pencher en avant.
« Allez, mettez vous à genoux Sophie »
Je tournai un peu les poignets pour lencourager.
« Aïe, Aïe, arrêtez »
Et elle se mit à genoux devant moi. Ses cheveux formaient deux longues couettes, qui coulaient à coté delle, et formaient comme une mare par terre.
« Maintenant, Sophie vous devinez ce que jattends de vous ? »
Elle me répondit, ou plutôt cracha : « Il est hors de question que je face ça ».
« Ah, bon ? » Mon désir augmentait de plus en plus, je navais presque plus de patiente, et cette pimbêche commençait à magacer. Je savais à présent ce quil fallait faire pour la dompter.
« AÏE,
.AÏE
.Non VOUS ME FAITES MAL
. AÏE, aïe » Et sans que lui donne dinstruction, ses mains remontèrent vers la boucle de ma ceinture, la défit, puis sattaquèrent aux boutons de mon jean. Dune main, elle dégagea mon sexe, qui était déjà au garde à vous.
Je rapprochai sa tête de mon sexe. Bientôt mon gland se posa sur ses lèvres. Doucement, je rapprochai encore sa tête, elle ouvrit sa bouche, et je sentis une chaleur humide autour de mon sexe.
Je bougeais doucement mes hanches en avant. Je voyais mon sexe pénétrer dans sa bouche. Cétait une sensation extraordinaire de sentir sa langue sactiver, de me sentir aspirer dans cet écran doux et chaud. Mes mains accompagnaient doucement le mouvement de sa tête. En baissant la mienne, je voyais ces cheveux envouteurs, tels des serpents de soie onduler depuis mes mains qui les agrippaient et séchapper sur ses épaules et dans son dos, puis sur le sol. Dans laction, son chemisier était resté sagement boutonné, et sa jupe étroite bleu marine faisait un contraste étrange avec la blanche pureté du chemisier.
« Oui, utilisez votre langue, doucement. Oui bien autour de mon gland. Essayez de vous appliquer Sophie. Aspirez lorsque je vais au fond de votre gorge, puis passez votre langue dun coté à lautre ».
Je sentais venir mon orgasme, je serrai les fesses pour le retenir, je respirais de plus en plus fort, puis sentant les battements de mon cur diminuer, je me retirais de sa bouche. Mon gland caressa une joue puis lautre, déclenchant comme des décharges électriques. Je lâchais ses cheveux, pour tout de suite les saisir à deux mains et en entourer mon sexe. Jeu juste le temps de lenfouir dans cette masse soyeuse, quun spasme me secoua, puis un deuxième et enfin un troisième.
Je lâchais Sophie. En reculant je la vis porter ses mains dans ses cheveux. En sentant ma semence sur ses doigts, elle me regarda. Si ses yeux avaient été des pistolets, jaurais été mort instantanément.
« Vous êtes un ignoble personnage, je vous déteste, quest ce que je vais faire maintenant ? »
Elle avait en mains sa tignasse sur laquelle on voyait clairement de longues trainées blanche.
« Bah ce nest rien, il paraît que sest plein de vitamines pour les cheveux ».
« Quest ce quil ne faut pas entendre ! »
Surpris, nous tournons tous les deux la tête vers la fenêtre, où nous voyons Charlotte. Une Charlotte souriante.
« Mais que faites vous là ? » je demandais.
« Javais oublié une lettre, alors je suis revenue, et je ne suis pas déçue du spectacle. Mademoiselle sérieuse ne lest pas à ce que jai vu ».
« Depuis combien de temps êtes vous là ? » murmure Sophie.
« Depuis le moment où vous avez dit que je méritai mes cheveux courts, ma jolie » répondit Charlotte.
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