Karine Et Gaelle En Séminaire
Après avoir pris sa douche matinale et avant de s'habiller, Karine se regarda dans la glace en pied de sa chambre. A 38 ans, son corps ne lui déplaisait pas. Elle était encore mince, avec les os de son bassin saillants et ses fesses musclées par les séances hebdomadaires de gymnastique. Ses jambes fines et nerveuses supportaient encore la mini jupe. Ses seins durs et agressifs ne nécessitaient pas le changement de taille de soutien-gorge depuis son adolescence. Elle inspecta avec soin son pubis, et jugea qu'il faudrait le tailler un peu pour lui donner une allure plus rectangulaire. Elle s'en occuperait au moment de son épilation habituelle. Son abondante chevelure brune lui imposerait bientôt une séance chez le coiffeur mais en attendant, une queue de cheval ferait l'affaire. Restait le visage. Là encore, à part de légers rides au coin des yeux, une visite à l'esthéticienne n'avait rien d'urgent. Son sourire carnassier et ses pommettes hautes lui conféraient un charme légèrement slave dont elle n'avait pas à se plaindre. Bilan de l'examen : bonne pour le service.
Le service ? En fait, il s'agissait d'un séminaire d'architectes auquel elle devait participer avec son associée Gaelle. Rappelons, pour ceux qui n'auraient pas lu "troisième mi--temps", que Karine et Gaelle sont associées dans un cabinet d'architectes d'intérieur. Elèves autrefois dans la même école, elles ont décidé de réunir leurs compétences après avoir connu quelques soucis de vie privée. Toutes deux ont raté leur vie matrimoniale et ont décidé de se consacrer pleinement à leur travail, sans sacrifier pour autant leur vie sexuelle... mais sans engagement. Comme son associée et amie, Gaelle est fine, élancée, élégante, un peu bcbg, avec des yeux noisettes et une étonnante crinière châtain, longue et épaisse, qu'elle entretient avec soin et rassemble dans de somptueuses queue de cheval. Ses seins sont petits et fermes, ses fesses plates, ses jambes nerveuses, son sourire discret, presque timide, bref un physique encore séduisant à l'aube de la quarantaine.
A ce séminaire, Karine savait qu'elle retrouverait Damien, un collègue qui avait été son amant avant qu'il ne choisisse de s'installer à l'autre bout du pays. Leur séparation avait été douloureuse mais soucieux de leur indépendance réciproque, ils avaient préféré voler de leurs propres ailes chacun de leur côté en créant leur agence sans se faire concurrence. Mais leur entente sexuelle était telle qu'ils se retrouvaient à certaines occasions, bien que Damien fût désormais marié. Ce séminaire annuel serait une nouvelle occasion d'une joyeuse partie de jambes en l'air, dont elle se réjouissait à l'avance. Elle avait déjà commencé à le chauffer par mail. " A moins de 20 cm, tu peux rester chez toi" lui avait-elle signifié. " Je serai tellement gros que tu demanderas grâce" lui avait-il répondu. Et tout à l'avenant.
Il y avait néanmoins un léger hic. Pour des raisons d'économie, Karine devait partager sa chambre avec sa collègue Gaelle. Certes, elle et Damien pouvaient toujours trouver un autre endroit mais vu leur emploi du temps et surtout l'isolement de l'hôtel, cela serait un peu compliqué. En outre, Karine éprouvait quelques scrupules à s'envoyer en l'air alors que sa collègue et amie, également sans mari ni compagnon, aimait autant qu'elle faire l'amour. Elle le savait depuis cette mémorable soirée avec les rugbymen (voir "troisième mi-temps"). Or, de nature plutôt timide, il y avait peu de chance qu'elle trouve un partenaire occasionnel en si peu de temps. Karine en avait conclu qu'il faudrait l'aider et s'en était ouvert à Damien.
- Les architectes, en général, ne sont pas des foudres de guerre au plumard, j'en parle savamment, mais il y a peut-être des exceptions comme toi. Tu en connais ? avait-elle demandé à son amant.
- A priori, non, mais je ne connais pas tout le monde. On verra sur place, avait-il conclu.
Dans le train, Karine avait affranchi son ami sur ses intentions extra professionnelles. Gaelle connaissait ses liens avec Damien et ne fut donc pas surprise :
- Tu me diras quand je devrai m'éloigner de la chambre, lui avait-elle dit.
- T'inquiète, on fera en sorte de ne pas se gêner.
Gaelle était ensuite devenue pensive et Karine y était allée franco :
- Essaie aussi de te trouver un mec. Au moins le temps du séminaire.
- T'es marrante, toi. Tu me prends pour une star ?
- Fais pas l'idiote. Tu es très sexy quand tu veux. Au moins, ne t'habille pas trop classique. Et ne repousse pas les avances d'un mec s'il te plait.
- Merci, madame l'entremetteuse. Et occupe-toi plutôt de ton julot.
On en était resté là.
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Arrivées à l'hôtel qui accueillait en même temps le séminaire, les deux amies avaient pris possession de leur chambre et Karine avait contacté Damien. Tous deux avaient considéré qu'ils pouvaient faire l'impasse sur le cocktail de bienvenue et concocter une première entrevue d'urgence. Damien avait fait son apparition dans la chambre des deux architectes et vu la chaleur des retrouvailles, Gaelle avait compris qu'il était temps qu'elle s'esquive. Elle ne fut d'ailleurs pas retenue...
Dans la chambre, les ébats furent courts mais torrides. Karine eut à peine le temps de se dévêtir qu'elle était déjà pénétrée. Elle put vérifier très vite que son amant avait la bonne longueur et la bonne raideur. Elle l'encouragea de la voix, des talons et des griffes. Damien, rodé aux coïts placides de son épouse, fut une nouvelle fois subjugué par ce volcan en éruption qu'était Karine quand elle faisait l'amour. Alors qu'elle avait l'intention de le chevaucher, l'homme sentit son sperme déferler de ses reins et accéléra vigoureusement le rythme de ses coups de boutoir. Comprenant la situation avec toute son expérience, Karine rua sous lui afin que son plaisir rejoigne celui de son amant et l'orgasme les fouetta sur un lit totalement dévasté. Haletant, le couple se regarda un peu halluciné :
- Eh ben dis donc, tu avais drôlement envie, souffla Karine.
- Oui, excuse-moi, je n'ai pas pu me retenir, tu es trop bonne...
Le temps de reprendre les esprits et de passer sous la douche, Karine et Damien avait rejoint le cocktail de bienvenue.
Par la suite, les deux amies se perdirent de vue. Le séminaire se transformait en réunions thématiques et Karine et Gaelle avaient choisi deux options séparées. Elles se retrouvèrent pour la soirée de gala. Mais Karine préféra rester en compagnie de Damien alors que Gaelle se trouvait apparemment très bien dans son petit groupe, dont elle semblait être le centre de gravité. Un petit mec brun et nerveux, avec de beaux yeux bleus, n'arrêtait pas de la faire rire, Karine le voyait de sa table. Damien lui proposa une sortie dans une boite de nuit proche et elle accepta. Elle avait envie de danser, de se défouler après avoir pas mal phosphoré dans la journée. Elle ne vit plus Gaelle et supposa qu'elle était elle aussi sortie avec ses nouveaux amis.
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Dans la boite de nuit, Damien but plus que de raison et Karine comprit qu'elle n'aurait pas droit à une deuxième séance de sexe avec lui, en tout cas une séance satisfaisante. Elle décida de rentrer à l'hôtel, d'autant qu'il se faisait tard.
A la réception, le veilleur de nuit lui annonça que la clé n'était pas disponible. Gaelle était donc rentrée. De fait, la clé était sur la porte, ce que Karine trouva un peu imprudent. Il y avait de la lumière à l'intérieur. Et Gaelle n'était pas seule. La première image que perçut Karine fut celle de trois corps entièrement nus sur l'un des deux lits. La deuxième fut celle de l'ample crinière châtain de Gaelle masquant le bas-ventre d'un homme qu'elle était en train de sucer. Et la troisième celle d'un grand type sec et musclé en train de la besogner en levrette. Gaelle baisait, et pas qu'un peu. Avec deux types en même temps, un grand échalas tout en nerfs et en tendons, et un petit râblé et velu, ceux-là même que Karine avait vus en compagnie de son amie toute la journée.
- Ah te voilà ! Tu vois, je n'ai pas pu choisir. Ils sont très sympas tous les deux. Je te présente Frédéric et Philippe. Déshabille-toi et viens nous rejoindre.
Frédéric, le grand sec, qui s'était interrompu le temps des présentations, reprit son labeur en souriant à Karine tandis que Gaelle plongeait à nouveau sur le pénis court et épais de Philippe. Karine était abasourdie. Sa collègue et amie, en général empruntée avec les hommes, avait décidément fait du chemin depuis la fameuse troisième mi-temps. Elle regarda son corps blanc et fin, sans aspérité, dans le mouvement de l'amour, ondulant de la croupe tout en pompant le dard avec conviction. Karine balança un court instant. Que devait-elle faire ? Laisser son amie à ses ébats et aller trouver refuge ailleurs ? Mais où ? Damien était à moitié bourré et d'ailleurs, il dormait dans sa chambre avec un collègue. Elle se déshabilla, prit une douche et s'assit nue sur son lit. Les trois amants avaient modifié les rôles. Gaelle était maintenant sur le dos et suçait, la tête sur le côté, la queue étonnamment longue de Frédéric tandis que Philippe, à genoux entre ses cuisses, les bras sous ses creux poplités, allait et venait tranquillement, maitrisant sa fougue. Le spectacle de ce cul d'homme poilu en mouvement et des pieds en l'air de Gaelle, plus nue que nue, acheva de lever les réticences de Karine. Une chaleur intense avait envahi son bas ventre. L'excitation du matin, insuffisamment assouvie, revenait en force. Sa main alla chercher les couilles de Philippe qui sursauta mais ne protesta pas. Quand Karine lui écarta les fesses pour aller titiller son anus de son doigt, il se cambra ce qui eut pour effet d'accen sa pression sur le vagin de Gaelle. Celle-ci manifesta aussitôt sa satisfaction par une exclamation sonore. Karine identifia parfaitement la nature de ce plaisir et insista dans son initiative digitale, consciente qu'elle participait ainsi au bonheur de son amie, laquelle avait abandonné la queue de Frédéric pour se concentrer sur cette bite épaisse et fouilleuse qui l'éblouissait. Entre temps, Frédéric s'était rapproché de Karine et avait fourré son mufle entre ses fesses, la titillant de la langue. Karine adorait qu'on lui lèche l'anus et se cambra à son tour pour faciliter l'exploration. La figure à quatre, une femme et un homme en alternance dans une curieuse file, se prolongea plusieurs minutes jusqu'à ce que Karine abandonne son ouvrage, contrainte et e car Philippe cognait dur, stimulé par les encouragements de Gaelle. Karine sentit le gland de Frédéric se positionner à l'entrée de son rectum. Bien que cette initiative fut pour le moins prématurée, elle était trop chaude pour le refuser et se retrouva enculée. D'abord superficiellement, puis de plus en plus profondément. La chambre s'emplit des halètements, des gémissements et parfois clameurs des deux amies qui n'avaient plus qu'une idée en tête : baiser, baiser encore, baiser le plus longtemps possible. Elles étaient tombées sur deux épées de plumard (comme quoi les architectes n'étaient pas aussi empruntés au lit) et entendaient en profiter car le séminaire était court (on repartait le lendemain) et surtout, leur célibat ne les mettait pas à la fête tous les jours.
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Néanmoins, les deux hommes éprouvèrent le besoin d'une pause. En sueur, la bite toujours érigée, ils délibérèrent un court moment pour savoir comment ils allaient poursuivre avec leurs deux collègues. Karine dit qu'elle avait envie "d'être dessus" et Gaelle approuva en disant :
- Mettons-nous côte à côte et face à face, j'ai envie de voir Karine faire l'amour en même temps que moi, elle me stimule et m'excite.
Les deux hommes se regardèrent. Décidément, ils étaient tombées sur deux coups en or. Pour ne pas dire deux somptueuses cochonnes, sous leur air très bcbg. Ils se couchèrent donc en travers du lit pour avoir plus de place, tête bêche et les deux femmes les escaladèrent, l'une en face de l'autre. Son épaisse et longue chevelure répandue sur ses épaules, Gaelle commença à onduler de même que Karine, qui avait également dénoué son chignon. En appui sur le buste de leur amant respectif, les deux femmes se regardaient, observant la montée de leur plaisir :
-Mmmh, c'est bon, hein ? souffla Karine, tout sourire.
- Oui, oui, j'adore. Elle est super bonne cette bite, répondit Gaelle tout en se caressant les seins.
- Tu la sens bien ?
- Ah oui oui, je crois que je ne vais pas tarder à jouir.
- Attends-moi, retiens-toi. Il faut qu'on jouisse ensemble. Mets-toi accroupie.
Et les deux femmes se positionnèrent sur leurs pieds, renforçant ainsi la sensation du pal. Les peaux claquèrent, les deux hommes gémirent. Karine étala toute sa science en faisant aller et venir ses hanches d'avant en arrière et de gauche à droite. Gaelle l'imita aussitôt et lâcha un cri rauque, presque bestial. Elle lança un regard de noyée à son amie qui lui répliqua par une sorte de rictus, témoignage de toute sa tension intérieure.
- Monte-moi ton cul, s'il te plait, gémit Gaelle.
Karine se retourna, prit appui sur les cuisses de son amant, s'empala à nouveau et se mit à amplifier ses mouvements dont se régalait son amie. Elle l'entendit gémir dans son dos. Le spectacle de cette croupe musclée, profondément fendue, malaxant cette belle paire de couilles, et surtout la vision de la bite labourant la vulve de Karine dans un mouvement puissant mettait Gaelle en transes. D'autant que ce spectacle était en relation directe avec ses propres sensations, comme si l'accouplement qui s'accomplissant devant elle était le sien. Le partenaire de Karine, en l'occurrence Frédéric, lui prenait les hanches à pleines mains et accentuait ses mouvements. Profondément pénétrée, Karine émettait un cri bizarre, qui tenait à la fois de la plainte et du rire. Elle se mit à tressauter et Gaelle vit clairement la chair de poule apparaitre sur ses fesses. "Elle va jouir", se dit-elle. Alors, Gaelle se lâcha complètement et se mit à cavaler sur son amant qui répondit par de furieux coups de reins. Entendant dans son dos les cris de Gaelle, Karine laissa à son tour ses hanches vivre leur propre vie, sans retenue et l'orgasme la saisit comme en plein vol. Presqu'aussitôt, Gaelle sentit tous les poils de son corps se dresser et exprima un long feulement qui était chez elle le signe d'une jouissance totale. Sous elle, Philippe éjacula en grognant. En revanche, Frédéric était toujours gaillard.
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Après avoir repris leurs esprits, les deux amies se réunirent autour de sa bite et le sucèrent à tout de rôle avec l'intention de le faire gicler. Mais Karine considéra qu'il était dommage de ne pas profiter d'une telle raideur et d'une telle longueur et s'offrit en levrette. Pendant que l'homme la besognait en travers du lit, Gaelle se coucha à côté de son amie :
- Tu aimes ? C'est bon ?
- Oh oui, oh oui, oh ouiiiii...
Mais le spectacle de la totale nudité de Gaelle, ses longs cheveux épars sur le lit, son pubis ébouriffé, incita Frédéric à changer de partenaire. Toujours debout au bord du lit, il pénétra l'architecte qui lui verrouilla les reins de ses jambes :
- Allez, allez, vas-y, baise-moi, j'ai encore envie.
Le grand sec prit appui sur ses bras et ses jambes tendus, comme pour des pompes, et commença à limer. Sous l'effet de ses va et viens répétés, son gland gonflé de sang était devenu proéminent et Gaelle ressentit un plaisir inoui. Jamais elle ne s'était sentie aussi bien remplie. Talonné et griffé, l'homme plongeait de toute la longueur de son pénis survolté. Entendant son amie prononcer des sons de plus en plus bizarres, presqu'inhumains, Karine lui prit la main :
- Lâche prise, ma chérie, lâche prise, sens là comme elle est bonne, att tes pieds, tu le sentiras encore mieux, allez, jouis, jouis...
A ses côtés, le quatrième larron en rajouta à l'intention de son pote :
- Baise là, cette chienne, elle est mûre, mets en un grand coup !
Perdant complètement les pédales, littéralement ouverte en deux par sa posture acrobatique, et en adhésion totale à la bite, Gaelle se mit à proférer des mots incompréhensibles tandis que Frédéric continuait de pomper et de pistonner de plus en plus vite, agrémentant ses percussions de mouvements rotatoires de son bassin, subjugué par ce corps blanc si féminin, si fragile et pourtant si actif et même si réactif. La chambre s'emplit de bruits de baise et d'encouragements mêlés. Le spectacle des couilles en folie de l'homme incita Karine à y mettre la main et ce fut le déclenchement d'une puissante et énorme éjaculation qui arrosa à nouveau la douce architecte des sourcils à son épais pubis, l'homme s'étant retiré juste avant son plaisir.
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Après une nuit trop courte et une longue séance de maquillage pour effacer les excès nocturnes, Karine et Gaelle retrouvèrent leurs collègues pour l'assemblée finale du séminaire. Elles constatèrent que leurs amants d'un soir étaient restés au lit, ce qui les fit sourire.
-Ils tiennent moins le choc que nous, les pauvres chéris, ricana Karine.
-C'est parce qu'ils n'ont pas de maquillage, rétorqua Gaelle, qui sentait encore dans tout son corps un peu mâché la fougue de ses deux amants.
En retrouvant un peu plus tard leur voiture sur le chemin du retour, les deux collègues et amies évoquèrent la nuit un peu folle qu'elles avaient vécu :
- Au fait, tu as revu Damien ? demanda Gaelle.
- Oui, vite fait, il m'a fait un peu la gueule. Je crois qu'il est un peu mortifié de n'avoir pas vraiment assuré. Finalement, grâce à toi, j'ai sauvé sexuellement mon séminaire. Quand j'y repense, c'est incroyable. Tu m'as bluffée.
- Tu sais, je me suis un peu bluffée moi-même. Il y a encore peu de temps, je n'aurais jamais osé ça. Mais depuis notre soirée avec les rugbymen, je me sens plus libérée. Et ça, c'est grâce à toi.
- Merci, tu es gentille. Mais tu sais, je crois que c'était en toi, juste refoulé. Comme moi à une époque.
- Peut-être, oui. En tout cas, ce que je sais, c'est que j'ai longtemps mal fait l'amour et que maintenant, je baise bien. Peut-être que j'aurais à nouveau envie de refaire l'amour, mieux cette fois, avec quelqu'un qui saura me satisfaire sur tous les plans. Mais en attendant, je veux juste prendre mon pied de temps en temps.
- Mais quand même, Gaelle : deux mecs ! Si je n'étais pas rentrée, tu te les faisais toute seule...
- Ben oui. Mais je dois reconnaitre que ton retour m'a fait plaisir et m'a aidée à me transcender. J'adore te voir jouir, j'ai l'impression de jouir en même temps. C'est d'ailleurs ce qui s'est passé.
- Bon, eh bien, on sait ce qui nous reste à faire, rigola Karine. On va se bâtir de jolis plans culs.
Gaelle éclata de rire à son tour, mais revint aussitôt sur des choses sérieuses :
- En attendant, demain, je te rappelle qu'on a un gros client à l'agence.
- Oui et il n'a rien de sexy.
Et les deux amies terminèrent le voyage de retour en parlant de leur travail.
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