Marie Et Liselotte

Je possède une petite maison au cœur d’un belle forêt. Quelque soit la saison je m’y rend au moins une fois par semaine. Disons quand plus je m’en sers de garçonnière, à partir du printemps. Cette fois j’y vais seul pour aller prendre un outil que j’y ai oublié. Il fait encore frais: je suis surpris de voir une jolie fille juste à coté, dans la clairière, nue comme Vénus sortant de l’onde. Que diable une telle fille fait là ? Elle est à l’abri, en plein soleil qui doit la réchauffer. Appuyée au mur du chalet, elle semble attendre quelqu’un ou quelque chose.
Le bruit du moteur de la dérange pas beaucoup, tout juste si elle tourne la tête. Si elle ne semble pas faire attention à moi, c’est le contraire: je la regarde sans me gêner un seul instant. Je suis chez moi après tout. Elle se retourne complètement pour me regarder: quel spectacle que son corps. Non seulement elle a un très beau visage aux yeux pervenches, mais ses seins sont assez gros, sans tomber. Je remarque qu’au contraire de certaines, elle est naturelle avec sa toison sur le pubis, ce qui ajoute à son charme.
J’entend quand elle parle à une personne que je ne vois pas!
- Vas y encore une ou deux fois.
- D’accord……….il est encore là ?
- Oui, continue, il ne fera pas de mal. Reviens après.
Elle se tourne comme pour prendre des positions particulières ouvrant ses jambes pour montrer son sexe ouvert à je ne sais qui. J’ai la solution rapidement quand, sortant de sous un arbre, une autre jeune fille habillée tenant un appareil photo de professionnelle.
Je m’inquiète quand même du pourquoi de leur présence!
- Excusez nous, nous avons trouvé cet endroit formidable pour faire des photos un peu coquines.
- Je n’ai rien contre les photos coquines et d’abord coquines jusqu’à quel point.
- Oh, de celles qui excitent les hommes qui ne voient pas de femme tous les jours.
- De celle qu’on regarde avec la main gauche.
- Evidemment.


- J’aimerai en voir un exemplaire, s’il vous plait.
- L’exemplaire est la, vous pouvez le voir en détail, si elle est d’accord.
- Ce n’est pas l’endroit. Je vais ouvrir la porte de chez moi et vous entrerez vous chauffer d’abord.
La première chose que je ait est d’allumer un bon feu: il fait réellement froid chez moi. Heureusement le feu s’allume vite et même s’il ne chauffe pas partout, ou moins devant lui il fait bon. La photographe s’approche la première, les mains vers les flammes. Je la suis de près suivi de la file nue qui elle s’approche encore plus près: elle se caille. Elle s’est mise entre nous deux. J’enlève ma veste fourrée pour la mettre sur ses épaules. Elle me remercie avec un grand sourire: ses dents sont écartées au milieu; c’est rare les filles aux dents du bonheur.
Enfin pour revenir à son sujet, a photographe sort pour aller chercher son « press book » contenant les photos les plus marquante de sa carrière. Il doit me faire confiance parce que la plus par des clichés représentent de scènes carrément pornos, avec la même fille que j’abrite. Sa spécialité est les photos extérieures pornos.
Elle est nue, toujours nue, seule en se donnant du plaisir avec une ou deux filles et avec des hommes qui se servent d’elle pour baiser partout. La pauvre fille à mes cotés ne sait plus où se mettre: voir ses photos pornos, sur lesquelles elle pose bien en fille aimant la baise et la voir en chair et la voir toujours nue devant moi, la gêne énormément.
Sa copine photographe aurait bien pu lui porter ses affaires pour être habillée. Si elle n’en a rien fait il doit y avoir une raison.
La photographe me fait une proposition que je ne peux refuser: je peux lui servir de modèle si j’ai une bonne bite à montrer.
- Déshabillez vous, montrez moi votre bite: si elle me plait elle plaira à d’autre filles qui pourront se masturber en vous voyant la queue bien raide. En plus si vous baiser avec Marie, sous ferez des heureux pour certains hommes.

Elle me propose de lui montrer ma queue (que j’ai assez grosse) et en plus une baise avec une jolie fille
Il fait chaud maintenant surtout en rajoutant une buche au feu. Je suis rapidement nu.
Elle vois ma bite au repos. Elle s’approche pour venir la toucher et me faire bander. C’est facile avec sa main qui me masturbe. Elle est vite remplacée par la main de Marie qui ajoute ses lèvre sur ma bouche:
- Puisque nous devons baiser ensemble, rien n’empêche de prendre son plaisir ensemble.
- Tu aime baiser ?
- Evidemment, sinon je ne ferai pas ce métier.
- Tu jouis souvent ?
- Quand je suis seule deux ou trois fois par jour.
- Et quand tu n’es pas seule ?
- Si je suis en séance photo avec elle, nous baisons souvent ensemble, c’est encore plus
- Et avec les hommes ?
- Autant de fois qu’il y a d’homme.
- Tu fais plus qu’aimer baiser. Je te plais ?
- Ta bite oui beaucoup elle est plutôt grosse, quand te me la mettra je sais que je jouirai plusieurs fois, surtout que j’ai envie de toi.
‘ Comment elle s’appelle ?
- Elle est étrangère, Allemande je crois: Liselotte.
- Elle aime les garçons et les filles ?
- Bien sur comme moi.
Nous sommes vite rappelé à l’ordre:
Liselotte me fait mettre contre le mur, éclairé seulement par le feu de bois. Je lui fais face d’abord, je prend ma queue dans la main pour me branler, je la lâche, je me tourne sur le coté avec ma pine encore dans la main. Elle voudrai saisir le moment où je jouis. Je le voudrai bien: est-ce l’appareil où la mise en scène, je n’arrive pas à jouir ainsi. Elle râle parce qu’elle avait l’objectif voulu pour saisir mon jet de sperme.
Tant pis: je vais baiser Marie. Quand je dis tant pis, c’est au contraire une récompense que de baiser cette très belle fille.
Nous sommes enlacées, je l’embrasse avec désir, comme je bande toujours il lui ai facile de prendre ma bite dans sa main. Elle est très douce pour me toucher.
Elle me caresse lentement pendant que de mon coté le lui met la main sur la chatte. Nous allons nous appuyer sur le bord de la table: pour moi c’est facile de lui caresser le clitoris. Pour elle c’est encore plus aisé de prendre ma bite avec sa main. Si je la branle sans trop aller vite, elle se prend pas de précautions particulière avec ma queue. Pour elle c’est un simple jouet, comme n’importe quel sexe masculin: juste bon à branler et mettre dans ses trous.
Elle est quand même très coquine: elle sens que je vais jouir, elle se débarrasse de moi pour me prendre la pine dans la bouche et recueillir mon sperme qu’elle déglutie
C’est un bon moment pour Liselotte qui photographie cet instant où je jouis. Comme je débande, Liselotte qui meurt d’envie de baiser Marie profite de l’occasion. A son tour, nue, elle commence à caresser tout le corps de Marie qui rend les caresses. Elles sont bien, au moins Marie, bisexuelles. Je les regarde, au début avec indifférence pour ensuite recommencer à bander. Elles se sont couchées sur la table en 69.
Je peux voir le dos et les fesses de Liselotte. J’ai envie de son cul. Je vais moi aussi sur la table, m’installe entre les jambes ouvertes de Marie pour enculer sa compagne. Je crache sur le petit trou. Liselotte réagit simplement en ouvrant un peu ses cuisses et ses fesses. J’entre assez facilement dans le cul. Je pense qu’elle doit avoir l’habitude de se faire mettre par cette voie que j’aime beaucoup. Je vais au fond de son anus. Je sens une main, celle de Marie me caresser les couilles. Quand je commence mes vas et vient je sens le cul se fermer et s’ouvrir pendant son orgasme. Elle laisse sa place et Marie en veut autant: une bonne sodomie, pour changer des caresses de filles ou des remplissages comme réceptacle à sperme avec les autres. C’est elle qui a choisit. C’est elle qui prenant ma queue la dirige vers son cul me fait entrer dans son ventre. Elle arrive à me retourner pour être sur moi. Elle me fait face, je peux voir ces magnifiques seins balancer pendant qu’elle mène la danse.
Quand elle se penche un peu sur moi, je prends ses seins et la caresse le plus simplement du monde. Liselotte vient pour l’embrasser sur la bouche. Elle ne me demande qu’une seule chose: la branler.
Je suis quasiment mort quand je jouis. Elles me semble en pleine forme puisqu’elle continue à s’aimer.
Je voudrai partir pour rentrer chez moi. Marie me demande de revenir demain; elle me veut encore dans son ventre.
Je promets que je viendrai avec l’intention de ne pas le faire. Mais l’appel de la jouissance me guide et le lendemain je suis là: Marie m’attend depuis un moment devant la porte, cette fois habilléé: nous allons baiser seuls.

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