La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 418)
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré Suite de l'épisode précédent N°417 -
Lesclave ressent une honte comme jamais elle navait ressentie de sa vie, et en même temps, elle ressent un vrai sentiment dexcitation de savoir que tous les regards sont posés sur elle. Elle ne peut expliquer la contradiction de ses ressentis car il y a un mélange dhumiliation mais aussi de fierté dêtre vraiment ce quelle avait rêvé de devenir et de pouvoir se confronter au regard des autres en assumant tant bien que mal dans le contexte ce quelle est devenue. Son trouble est au comble de ce quelle pourrait imaginer et des pensées dissonantes tournent dans sa tête dans tous les sens, elle a vraiment limpression quelle va défaillir. Le sous-directeur administratif et financier tire sur la laisse pour la faire avancer dans la partie médiane du U mais en restant juste au début. Il lui att les mains pour lui joindre dans le dos, sans les attacher toutefois et lui met le doigt sur la bouche pour lui faire comprendre que pour linstant elle ne doit pas parler, mais juste écouter. Il lui relève le menton en ajoutant :
- Thaïs MDE, Ne bouge pas maintenant ! Nous allons nous présenter les uns après les autres. Quant à toi, pas besoin de te présenter, car chacun autour de la table a entre les mains ton dossier personnel plus celui de ta société, et a peaufiné en détail la partie qui le concernait plus personnellement par rapport au service dont il soccupe. Regarde bien et sois attentive, car tu seras amenée à croiser chacun dentre nous à lavenir, même si tu pourras aussi plus tard retrouver lorganigramme avec nos noms et fonctions sur le site interne de la société, lorsque tu seras autorisée à y accéder.
La soumise est contente de voir quau moins cette fois, celui qui lui est encore inconnu et qui vient de la positionner la appelé par son nom sans autre qualificatif plus D/s, bien quelle se rend compte quelle ne pourrait afficher plus clairement son statut servile qui fait delle juste la chienne-esclave Thaïs MDE, qui appartient à Monsieur le Marquis dEvans, et que ce doit être le Maître Vénéré qui a exigé quil en soit ainsi, même si cest une épreuve qui lui semble à cet instant encore presque insurmontable, dêtre ainsi exposée dans un contexte professionnel, vanille et non D/s.
- Je vais donc commencer le premier en attendant larrivée de notre PDG en personne. Je suis le sous-directeur administratif et juridique, je chapeaute sous le contrôle et la direction de Monsieur le Marquis dEvans un bon nombre de services, qui parfois se recoupent avec ceux de mon homologue le sous-directeur financier qui soccupe plus particulièrement de la finance et des comptes des différentes sociétés
Thaïs MDE est rouge de honte en entendant celui quelle avait pris pour un subalterne sexprimer et se présenter comme étant lun des bras droits du PDG, mais aussi tellement étonnée de voir la manière crue dont il sest permis de lui parler précédemment lorsquil est venu la chercher. Il semble avoir une voix ferme et directive et la soumise limagine bien mal dans la peau dun des soumis MDE, bien que visiblement il soit au courant des fonctions de Maître D/s du Marquis dEvans et de ce qui se passe au Château, imaginant plutôt quavec le temps il est devenu assez intime pour en apprendre un peu plus et peut-être même pour bénéficier parfois de la mise à disposition de certains chiens ou chiennes du cheptel.
Le tour de table se fait rapidement, où chacun donne son nom et sa qualité (sous-directeur des opérations immobilières, responsable des services comptables, responsable marketing, responsable logistique
etc
), et détaille sommairement son activité.
En réalité, ce qui lexcite, ce nest pas cette masse uniforme grise de collaborateurs rigides, silencieux et peu souriants, cest le fait de savoir que le Maître Vénéré en personne sera bientôt là et quelle pourra enfin le revoir et lentendre, et quelle reste malgré tout sa chienne-esclave MDE, mais aussi professionnellement son « associée », même si cela reste réduit et très relatif comparativement à la masse des affaires que dirige Monsieur le Marquis dEvans. Et nonobstant tout ce que lui en a dit le sous-directeur administratif et juridique qui nest quant à lui quun employé, malgré sa fonction importante, elle éprouve une certaine fierté de son statut si particulier, que ce soit son statut D/s ou son statut professionnel. Elle sait aussi que Le Maître Vénéré présent, plus rien dautre ne comptera, ni létat dans lequel elle se trouve, ni ce quIL exigera delle qui ne cherchera quà le satisfaire comme une bonne esclave-soumise se plait à le faire, et ce sans se soucier de tous les autres qui sont assis autour puisque cest le Maître Vénéré lui-même qui a exigé quelle paraisse à cette réunion en tant quesclave-soumise avant tout, et non en tant que chef dentreprise, devenue associée au moins sur sa petite structure qui ne disparaît pas et dont elle a gardé la gérance en titre, même si elle se pliera avant tout à toutes les exigences du Maître.
Le tour de table terminé, à nouveau le silence règne, chacun a le nez plongé dans les dossiers qui lui font face. Visiblement tout le monde attend le « Maître de séance ». A son arrivée, dans un bruit presque fracassant de chaises manipulées dans le même instant, tout le monde se lève. Avant même que Monsieur le Marquis dEvans nait eu le temps de rejoindre son fauteuil de PDG, une jeune femme sapproche de lesclave-soumise Thaïs MDE et lui bande les yeux dun foulard noir opaque, ajoutant à sa honte, sa gêne et son mal-être, mais aussi à son étonnement, son excitation et son trouble sensuel. Dun autre côté, elle est plutôt contente de ne plus avoir à imaginer ceux qui sont autour de la table et ne plus se concentrer que sur le Maître Vénéré dont elle pourrait maintenant reconnaître la voix entre mille. La femme noue le foulard bien serré derrière la tête de la soumise et pose ensuite les deux mains sur les épaules de Thaïs MDE en appuyant fermement pour lui faire comprendre que lesclave doit se mettre à genoux pour accueillir le Maître. Sans un seul mot, elle la retient et la positionne de manière à ce que Thaïs MDE comprenne bien quelle doit se tenir à genoux, mais le dos bien droit et la tête baissée. Pendant ce temps, Le PDG sapproche de sa chaise et juste avant de sasseoir, il ajoute :
- Bonjour à Tous, Mesdames et Messieurs. Vous pouvez vous rasseoir.
Dune seule voix, qui semblerait réglée par un métronome, les collaborateurs répondent juste avant de reprendre leur place autour de la table :
- Bonjour Monsieur le Président Directeur Général.
Le cur de Thaïs MDE sest accéléré en entendant la voix du Maître. Ses angoisses, ses craintes, son mal-être, ses interrogations sur le pourquoi de cette mise en scène D/s pour cette réunion avant tout à caractère professionnel, tout à disparu
Elle ne songe plus quà Celui dont elle est devenue la propriété et garde la tête baissée humblement, car elle sait quIL est là juste en face et quelle souhaite quIL soit fier de Son esclave-soumise et de la Dévotion totale quelle lui porte et quelle se sent prête maintenant à assumer devant tous.
- Monsieur le Président Directeur Général, avez-Vous pu avoir le temps de prendre connaissance de lordre du jour rectifié ? Souhaitez-Vous y apporter des modifications avant que nous commencions et avez-Vous des informations ou remarques particulières à formuler en préambule ?
- Non, pour linstant pas de remarques supplémentaires, juste une petite précision. A-t-on réussi à joindre Philippe qui est actuellement sur Orléans ?
- Oui, Monsieur le Président Directeur Général, il est à Votre disposition, joignable en visioconférence dès que Vous mautoriserez à établir la connexion
Monsieur le Marquis dEvans fait signe que la liaison peut-être établie et lhomme de confiance du PDG apparait à la fois sur lun des ordinateurs personnels du bureau central mais également sur un grand écran projeté en fond de salle en face tous les collaborateurs, juste en arrière-plan de lesclave-soumise Thaïs MDE qui est toujours agenouillée au centre du U évasé, sans bouger, espérant quand même que le Maître Vénéré va lui permettre enfin de se lever, se doutant bien quil ny a pas de place assise autour de la table qui lui a été réservée, et quon va lui enlever son bandeau, car il ny a aucune raison de la priver de la vue, puisquelle a pu voir précédemment tous ceux qui sont réunis en ce lieu.
- Bonjour Ma chienne-esclave Thaïs MDE. Tu peux redresser la tête. Nous sommes rassemblés pour parler de ton ancienne société. Mes collaborateurs et collaboratrices, mais aussi mon très fidèle Philippe ont planché depuis quelques jours sur ton activité passée et ils ont plusieurs points à éclaircir afin que nous puissions avoir une image plus fidèle de ta structure dans son état actuel et surtout de son développement futur, que je veux initier conformément à Mes projets et dans le cadre densemble de Mon activité dHomme dAffaires. Tâche de leur répondre au mieux si tu ne veux pas encourir mon courroux, car je naime pas les imprécisions, pas plus que les zones dombre. Tu nas plus rien à me cacher que ce soit de ta vie intime et personnelle, comme ici présentement de ta vie professionnelle passée et actuelle.
La part fondamentalement soumise de Thaïs MDE sait que cest bien ainsi quelle envisageait les choses, dans une transparence totale et un assujettissement qui est conforme à ses désirs intimes, mais son petit côté professionnel, femme daffaires dirigeante à fort caractère, a un peu de mal à vivre ce qui se passe, et surtout la manière dont cela se passe dans ce contexte vanille et professionnel. Elle se sent presque devant un tribunal, dont le juge serait Le Maître Vénéré, et elle coupable ment par à priori, mise sur la sellette et même pas assise sur le côté sur le banc des accusés, obligée de rester à genoux, les mains dans le dos et les yeux bandés, presque comme une infâme scélérate. Plusieurs points sont abordés pour détailler son activité et plusieurs questions lui sont posées tour à tour par chacun des collaborateurs. Cet interrogatoire sous le bandeau est très éprouvant pour Thaïs MDE qui na pas en tête toutes les réponses, qui na même pas accès à des éléments matériels quelle ne connaît pas par cur, et qui ne comprend pas pourquoi elle doit se justifier de tous ses choix antérieurs, alors quelle navait à lépoque de compte à rendre à personne, assumant tant ses échecs que ses réussites. Mais ce qui linsupporte le plus, même si elle tâche de ne rien en laisser paraître, cest lorsque sur une de ses réponses, un des collaborateurs qui a tous les documents adéquats sous les yeux se permet dintervenir en précisant : « Faux !.... il est écrit dans le dossier que
. ». Cette intervention étant suivie presque immédiatement dun coup de gong, comme sil était question de comptabiliser toutes ses mauvaises réponses, une à une.
Jamais dans sa vie dingénieur en formation et plus tard de chef dentreprise, elle ne sest sentie aussi mal, même pas lorsque plus jeune elle devait passer les concours devant des examinateurs sévères ou lorsque de par ses fonctions de dirigeante, elle était convoquée devant des administrations ou juridictions de toutes sortes. Et pour autant, elle ressent une excitation quelle ne peut et ne souhaite pas non plus refreiner, se disant que finalement, il est plutôt bien quelle soit encore à genoux, car personne, ne doit voir sa chatte humide qui trahirait ce sentiment incompréhensible qui lhabite, malgré la colère et la honte qui oblige la businesswoman à serrer les dents pour supporter cette expérience éprouvante. Elle ne saurait dire combien de temps cette réunion dure et séternise, tant de points sont soulevés et abordés, parfois même juste entre Monsieur le Marquis dEvans et ses collaborateurs qui parlent de projets davenir sans même se soucier de sa présence et encore moins de son avis sur la question, puisquelle nest tenue que de répondre aux questions que chacun lui pose, et sûrement pas dépiloguer pour donner son point de vue. La chienne-soumise Thaïs MDE de par sa condition desclave librement assujettie avait eu le sentiment de se mettre à nu physiquement et psychiquement devant le Dominant quelle avait reconnu comme tel, ne lui cachant plus rien de ses pensées intimes et de ses ressentis, mais là, elle se rend compte quelle doit aussi abandonner la carapace protectrice derrière laquelle la chef dentreprise quelle est sur le plan professionnel se retranchait encore, et que cette épreuve si dure à supporter au présent reste une étape de progression dans sa soumission servile. Cest Monsieur le Marquis dEvans qui prend la parole pour clore la réunion.
- Chères Collaboratrices, Chers Collaborateurs, je vous remercie tous de ce temps de travail qui a été fructueux. Vous pouvez rejoindre votre poste de travail, comme chaque fois ma secrétaire vous fera passer le projet de compte-rendu que vous pourrez annoter avant la mouture finale. Je souhaite maintenant rester seul avec ma chienne-esclave Thaïs MDE, et je vous demande de quitter les lieux au plus tôt.
Les différents participants se lèvent sans tarder et sans papoter, et sortent toutes et tous au plus tôt. Le Maître Vénéré sapproche de Sa chienne-esclave qui est toujours restée à genoux, pas mécontente dêtre arrivée au bout de la réunion sans craquer nerveusement, tant ce fût épuisant.
- Du calme, ma chienne, cest terminé. Je suis fier de toi. Tu as bien résisté malgré tout à la pression, le bandeau a dû taider à ne pas pleurer car je pense que lémotion et ton agitation interne devaient être à son comble. Le gong a toutefois retenti un grand nombre de fois, je ne peux tolérer cela et le laisser passer comme si de rien nétait. Jespère donc que tu es consciente que cela méritera une punition que tu devras venir implorer à Mes pieds tout à lheure, mais laisse-moi dabord texaminer. Je veux aussi connaître les réactions de ton corps face à ce que tu viens de vivre.
La soumise est surprise dentendre la réflexion attendrissante et protectrice du Marquis dEvans qui lui précise quil a pris soin de lui faire poser un bandeau sur les yeux pour éviter quelle ne se mette à pleurer, car il connaît bien son émotivité, même si elle lui a toujours affirmé quelle était plutôt forte et peu sensible quand elle se trouve dans un contexte professionnel. Le Maître Vénéré se penche sur Sa chienne, lui glisse la main sous le bras et laide à se lever. IL passe deux doigts dans lentrecuisse de Thaïs MDE qui est trempée de cyprine et lui fait lécher aussi sec ses sécrétions intimes, en ponctuant son geste de « et bien
. Tu as pris du plaisir, ce me semble ! ». Le Maître fait alors le tour de Sa soumise pour lui défaire son bandeau et ajoute :
- Mais cest quoi ce que je vois sur ton corps ? Tu es sale ma chienne, on dirait du sperme séché, et tu en as plein le cul. Cest dans cet état que tu as osée te présenter à tous mes collaborateurs. Cest impensable ! Et en plus, tu te permets de tenvoyer en lair et de copuler sans mon autorisation. Cela ne va pas se passer ainsi !
(A suivre
..)
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