La Bonne Du Cure (2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
À la demande dun de mes lecteurs voici le volet deux de « La bonne du curé »
Une sonnerie résonne dans ma tête alors que la seule chose que je souhaite cest de dormir.
Allo, mon corps ne répond plus aux sollicitations, monsieur, vous voulez monter avec moi pour me baiser, revenez demain. Aujourdhui, je dors.
Un gant de toilette imbibé deau passe sur mon visage et me remet provisoirement les idées en place.
Heureusement que les centaines de bites qui menfilaient les unes après les autres étaient un rêve. Même si dans la réalité, il faut que je ladmette, je me suis prostitué en recevant 13 bites dans ma première soirée alors que jétais vierge en arrivant à Gand.
Si je nen avais pas le souvenir, tous les billets dispersés sur le lit par Léa sont là pour me le rappeler.
Justine, tu habilles, le car part dans une demi-heure, Amsterdam nous attend !
Oui, Amsterdam, les tulipes, les moulins et les canaux. Javais oublié !
Pendant que Léa ramasse les billets, je vais sous la douche les jambes écartées mon entrejambe me rappelant douloureusement la nuit que je viens de passer.
Le temps davaler un café et je suis à lheure pour monter dans le car.
Jai remis mes vêtements de bonne du curé ne voulant pas choquer mes grenouilles de bénitiers.
Dans le car, nous sommes assises côte à côte. Léa retrouve ses parents qui sinquiètent de savoir si elle a passé une bonne nuit. Sans se démonter, elle leur dit que je lai invité à dîner et que nous nous sommes couchées.
Le car est loin dêtre plein et nous sommes relativement isolées à larrière. Toutes ces vieilles rombières ont peur du mal de cur et sagglutinent vers lavant.
Je suis endormie quand je sens une main remonter ma cuisse, Léa veut me caresser la fente.
Je la repousse non pas que ces caresses ne soient pas agréables, mais jai vraiment de petites douleurs.
Aux arrêts très fréquents, car ces dames commencent à avoir des problèmes de vessie, Léa, repère une pharmacie et dès que nous repartons.
Enlève ta culotte et ouvre tes cuisses, je vais te mettre de la pommade adoucissante.
Je me tortille et je lenlève. Léa la récupère et ouvre la petite fenêtre à glissière au-dessus de nous.
Tu nas plus besoin de ça, à Amsterdam nous irons dans une boutique refaire ta garde-robe.
Tu es folle, je ne vais pas rester les fesses à lair toute la journée. Ma valise est tout au fond de la soute.
Elle passe sa main sur lun de mes seins.
Et tu as encore ce machin-là, tes seins nen ont pas besoin. Enlève-le !
Je suis vraiment à la merci de la simple voix de Léa. Elle mordonne, jexécute.
Cest encore le cas ce coup-ci, Je mavance, je fais passer une bretelle puis lautre et je me dégrafe.
Je lai à peine dans mes mains quelle le prend et lui fait suivre le même chemin que ma petite culotte.
Elle prend sur ses doigts de la crème vaginale et retourne sous ma jupe.
Jusqu'à lhôtel, elle me passe régulièrement ses doigts. Je la surprends même à me pénétrer plus profondément que les zones sensibles.
Les petites démangeaisons font place à un début de plaisirs.
Dun coup, mon corps se cabre et des ondes irradient tout mon bas-ventre.
Je suis contente, toutes ces verges qui mont pris hier, nont pas détruit mon système vaginal.
Je mabandonne lorsque le car sarrête. Nous sommes arrivées pour deux nuits ici.
La responsable, nous signal que le car démarrera dans deux heures pour faire le tour des canaux et de la ville.
Demain, départ 10 heures pour la visite des moulins et des champs de tulipes.
Nous nous installons dans notre chambre et dès que nous avons rangé nos affaires, elle mentraîne vers la ville.
Nous entrons dans une boutique où la serveuse la connaît.
Vous êtes revenue.
Cette conversation a lieu en anglais, je saisis quelques mots.
Pour quelques jours, mon amie vient voir vos nouveautés.
La jeune femme me regarde et doit se demander ce quelle peut me proposer vu mon look actuel.
Léa est là pour lorienter, rapidement jessaye des vêtements que je peux mettre dans la journée mais complètement différent de mon style
du curé.
Les deux autres me font plus peur, ils sont plus près de ce quelle ma prêté hier.
Un short rouge vif avec gilet de couleur identique. Le gilet a du mal à contenir mes seins, mais les mets bien en valeur.
Une mini-robe vert pâle accompagnée dun chemisier et une veste en synthétique.
Pour cette mini, elle me fait prendre des strings car elle est tellement courte que, lorsque je me baisse mon intimité, apparaît.
Nous sommes en avril et si la température est agréable, le temps peut être encore frais. Elle accepte que je machète un imperméable noir.
Nous allons dans un magasin de chaussures et là encore elle me choisit ce que je dois porter.
Viens, je dois rencontrer quelquun !
Nous passons à lhôtel déposer nos achats car elle a craqué sur deux modèles styles putes.
Je mets mes nouveaux effets. Elle mévite les deux tenues osées pour un ensemble me donnant une allure plus jeune de petite-fille espiègle.
Limper me donne une allure respectable que japprécie.
Nous repartons vers les canaux et dun coup devant moi, des maisons de style hollandais très étroites avec trois vitrines éclairées.
Dans chacune delles des filles pas plus vêtues que moi si je passais le short ou la mini que je viens dacheter se trémousse devant des hommes, qui déambulent devant elles.
À un moment, lun deux cède aux sollicitations de la fille. Elle ouvre la vitre et je les vois passer derrière un rideau. La lumière séteint.
Viens, il faut que je demande si le patron est là.
Quest-ce quelle a encore en tête ?
Que va-t-elle vouloir que je fasse ?
Je commence à trop la connaître.
Nous passons par une petite porte et nous nous trouvons à larrière des vitrines.
Dans une pièce un homme est là qui compte des billets.
Lui aussi connaît Léa et est content de la voir.
Il discute en anglais. À un moment, il semble me jauger. Je ne parle pas assez anglais pour comprendre ce quils disent.
Lhomme semble hésité et donne un morceau de papier sur lequel il a écrit quelque chose. Elle lembrasse et nous quittons les lieux.
Jusquau soir, nous visitons les quartiers chauds. Dans de nombreuses vitrines les filles ont la même attitude aguicheuse avec les hommes qui les observent.
À 18 heures, nous passons à lhôtel et Léa veut que je mette la mini avec le gilet et des chaussures assez hautes. Elle me maquille. Lorsque je me regarde dans la glace de la salle de bains, elle a tellement noirci mes yeux et mis du rouge à lèvres dun rouge très prononcé que je ne me reconnais pas. Elle a mis lune des tenues provocantes et se maquille comme elle la fait pour moi. Nous allons manger et à 19 heures, Léa mentraîne vers une maison où nous sommes passé devant dans laprès-midi.
Léa où va-t-on ?
Ne tinquiète pas, suis-moi !
Cest bien le moment de minquiéter, nous passons déjà la porte.
Sur un modèle identique, dans une pièce, lhomme qui nous reçoit parle un peu français.
Je vous attendais, prenez la deux et la trois. Je les éclaire.
Justine, tu sais ce quil te reste à faire, si tu es efficace et que tu te tortilles assez les fesses, on va se faire un maximum dargent.
Cest reparti, elle veut que je vende mes fesses comme hier au soir.
Le traitement quelle a pratiqué sur mon sexe toute la journée fait effet, je nai plus de douleur.
Combien prend-on par client ?
Lhomme que tu as vu fera payer lhomme que tu auras appâté et à la fin de la nuit, il nous donnera notre part. Ils sont très réglos.
Je passe derrière le rideau et au début très intimidé, je commence à me trémousser au rythme de la musique diffusée dans les quatre vitrines de la maison.
Je vois des hommes mettre leurs doigts à la bouche. Ils doivent me siffler.
Après quelques minutes, leur regard change et certains sintéresse à moi.
Les vitrines ne sont pas jeunes et je vois un client entré chez Léa.
La garce, elle a accroché son premier client.
Oui, moi aussi lun deux me demande dentrer. La vitrine ouverte, nous passons à larrière, lhomme qui nous gère éteint et discute avec le client.
Enlève ton string et allonge-toi.
Sans aucun préliminaire, le client se couche sur moi et me met sa verge dans la vulve.
Jai un peu mal au début mais mon corps est bien fait et des sécrétions viennent lubrifier mon minet.
Au moment où il se vide, jétais à deux doigts de prendre du plaisir.
Un coin lavabo me permet de me passer un coup deau ainsi que chez le client, qui quitte la maison par une porte arrière.
Cela va Justine.
Cest Léa qui vient aux nouvelles après avoir terminé avec un client.
Oui, je commence à mamuser !
Pourquoi lui ai-je dit que je mamusais !
Elle me prostitue et je suis à deux doigts daller la remercier.
Je reprends ma place et rapidement mon compteur explose. Jai reçu assez de coup de bite dans la chatte et le derrière que jarrête de compter. Sans parler de ceux qui nont voulu quune fellation.
Alors que jai entendu Léa ouvrir à un client, un homme sapproche et semble évaluer la marchandise.
En deux secondes, je le reconnais, cest le père de Léa. Jai beau me cacher au maximum, il semble que je lintéresse. Il me fait signe douvrir.
Je me souviens que, lorsque sa fille ma maquillé, jai eu du mal à me reconnaître.
Comment peut-il reconnaître la jeune femme habillée comme je le suis tous les jours dans cette fille vêtue de vêtements provocants !
Si Léa finie rapidement, son père peut-il ne pas la reconnaître ?
Jouvre et je le laisse passer, le tôlier le reçoit et comme il lui parle en français, il me regarde.
Jai la chance dêtre derrière lui, je lui fais signe de ne pas me parler. Il doit comprendre quil y a problème car il encaisse sans rien dire.
Je mallonge et je lattends en moi. Lorsquil ma pénétré, sa position lempêche de voir mon visage.
Je tortille des fesses pour lexciter et le faire se vider rapidement. Deux minutes après il a fini. Je me tourne pour prendre une serviette que je passe sur mon visage comme si javais trop chaud.
Jarrive à ce quil passe par-derrière sans quil repasse devant Léa car elle a rallumé la lumière.
La soirée se termine, je suis épuisé mais quoique jai reçu plus de clients quhier, ma chatte doit shabi car après avoir reçu notre argent, je monte toute seule dans le taxi qui nous dépose devant lhôtel.
Rapidement nous refermons nos chambres et nous prenons un bain réparateur.
Dois-je dire à la petite que son père est entré et a baisée avec moi ?
Comment réagira-t-elle si elle lapprend ?
Je décide de garder cela pour moi.
Léa met largent que nous avons partagé 50 50. Hier grâce aux mille euros de mon pucelage, javais gagné plus quelle, ce soir, elle ma battu.
Déduit des vêtements, ils nous restent plus de 8000 .
Notre voyage devient vraiment intéressant. Fatiguant mais intéressant. Jétais vraiment vierge hier au soir. À la distance de bite reçue, je le demande si je nai pas rêvé.
Le lendemain, nous décidons de donner le change, nous avons loupé la visite de la ville hier, nous mettons le réveil pour participer à la visite des moulins et des champs de tulipes.
Un peu crevé, nous sommes à lheure au départ.
Les parents de Léa sont là. Je passe à côté de son père qui ne semble pas me reconnaître.
Je voudrais bien savoir quel motif il a donné à sa femme pour venir aux vitrines se vider les testicules.
Le voyage se passe bien, jarrive à me reposer un peu. Léa a apporté la crème et a tour de rôle nous nous caressons les chattes sans quaucune des bigotes ne sen aperçoive.
Lors de la visite dun moulin alors que Léa et sa mère se sont isolées pour un besoin naturel, jarrive à mapprocher de son père.
Vous avez passé une bonne soirée monsieur.
Appelle-moi Alain, je tappellerai Justine !
Aucun problème, cest normal, nous avons beaucoup de points communs Léa et moi.
Lesquelles ?
Histoires de filles, vous ne pourriez pas comprendre. Vous êtes allé voir les filles dans les vitrines en ville hier au soir.
Nous y sommes passé avec le car hier après-midi, je suis marié, ses filles ne mintéressent pas !
Comment se fait-il que je tai vu entrer dans lune des vitrines hier soir ! Nous avions décidé de nous promener avec Léa et je tai vu entré !
Ma fille ma vue.
Non, je tai protégé en me plaçant devant elle le temps que tu rentres. Elle na pas pu te voir.
Merci !
Elle valait le coup.
Qui ?
La pute que tu as baisée !
Une jolie fille, une vraie pro, sa chatte était rasée alors quAudrey refuse de raser la sienne.
Elle a su y faire.
Je nai jamais eu de fille qui tortillait sa chatte comme celle-là. Jy retournerai ce soir.
Alain, tu tarrêtes, ce soir tu restes à lhôtel et tu te fais pardonner davoir trompé ta femme avec une prostituée. Si tu sors, demain avant que le car parte, je préviens ta femme et ta fille de tes incartades. Tu me le jure.
Oui, Justine, je te le promets.
Je te fais confiance. Si tu respectes ta promesse, un jour prochain, je te ferais une surprise !
Hier lorsque nous sommes parties des vitrines, Léa a demandé au patron si nous pouvions revenir ce soir. Javais envie de lui dire non mais comme dhabitude elle décide, jexécute. Le patron a donné son accord, nous avons été de bonnes gagneuses.
En agissant comme je viens de le faire, je viens déviter bien des ennuis à Léa.
Si son père était revenu ce soir, aurions-nous eu autant de chances que cette nuit.
Léa et sa mère nous rejoignent et nous continuons la visite.
Ce qui ly a de bien en Hollande, cest quun champ de tulipes succède à un autre champ de tulipes. Seule la couleur change.
Vers 17 heures nous sommes contentes de retrouver nos chambres.
Comme la veille, nous nous habillons et grâce à nos impers, nous sortons dîner sans éveiller les soupçons !
Comme la veille, nous prenons place dans les vitrines dès la tombée de la nuit !
Je ne sais pas ce quont les mâles ce soir, ils semblent tous en rut.
Est-ce la lune, qui leur met le feu aux parties intimes ?
Tout ce qui est sûr, alors que je rallume la lumière de ma vitrine les trois personnes qui passent devant moi, lune me regardant avec insistance me glace le sang.
Trois des bigotes dont la responsable du groupe son venu sencanailler et voir les vitrines.
Elle passe devant Léa qui doit-elle aussi les voir car je viens de voir sa lumière elle aussi se rallumer.
Coup de chance, intrigué par une ressemblance improbable, Berthe la responsable fait trois pas en arrière pour confirmer quelle a mal vu.
Ouf, elles continuent leur chemin.
Quelques passes et il est lheure de renter.
Léa me confirme quelle a vu les trois rombières passer devant elle mais à aucun moment elles ne lont regardé.
Nous prenons toutes les précautions possibles et rapidement nous sommes douchées et couchées.
Au matin, le bilan de nos trois jours de travail se monte à plus de 12 000 .
Nos vacances ont été prolifiques. Ils ne nous restent plus quà faire le voyage du retour.
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