La Caméra Espion 4

Il est maintenant 23 heures. Je n’ai pas eu besoin de me toucher pour jouir. Mon froc est tout humide. Et je crois que j’ai dû éjaculer plusieurs fois sans m’en rendre compte tant j’étais excité par ma jalousie et par la dépravation de mon épouse.
Je ne sais plus si je l’aime, mais je sais que je ne veux plus d’elle auprès de moi.
Cette image de pute qu’elle m’a montrée est trop forte pour lui conserver tout amour ou même le moindre sentiment.
D’abord, il y a la trahison, mais on peut s’en accommoder, s’il y a repentance, remords et regrets. L’amour reste alors mais c’est le plus fragile.
Mais là je l’ai vue manifester des signes de sentiments d’amour pour son amant. Ça c’est irrévocable. C’est fini. Ces regards que j’ai saisis, qu’elle lui offrait m’ont d’abord bouleversé puis dégoûté.
Maintenant j’ai la haine contre elle mais aussi contre mes amis. Cocu des deux côtés.
Je décide de me venger.
Je mate simultanément l’écran de mon portable et l’image en direct du salon car ils n’ont pas envisagé de fermer le volet roulant. Et j’écoute !
Dans la pièce, Chantal est affalée sur le fauteuil où elle vient de livrer son cul à Philippe. Sa jupe est relevée découvrant ses cuisses gainées de bas noirs Dim’up. Sa chatte est toute mouillée de cyprine. Elle a bien joui cette salope. Ses yeux sont clos, épuisés de fatigue.
La jeune Charlotte est encore près d’elle. Elle lui caresse lentement les cheveux et les seins sur son chemisier sans que Chantal réagisse. C’est Jacques qui rompt le silence.
- Dis moi Charlotte, tu ne serais pas un peu gouine ?
Après quelques secondes de silence, la jeune fille répond.
- Ta pute est très attirante. J’ai bien envie de me la soumettre à mon tour.
- Ne te gêne pas, dans l’état où elle se trouve elle ne pourra rien te refuser.
Et il éclate de rire accompagné par Philippe qui semble bien d’accord.
Ma femme est complètement dépravée et je la sens prête à se soumettre.


A ce moment précis, elle me fait pitié. Elle si fière, si digne, portant haut l’estime que l’on peut lui porter, elle est réduite à une chienne soumise à son amant.
- Allez Charlotte, montre nous ce que cette chienne peut faire.
Chantal, redresse la tête et regarde tour à tour Jacques et Charlotte.
- Allez Chantal, laisse toi faire, montre toi bien compréhensive avec cette jeune fille.
J’entends toujours avec ce micro dans la caméra. C’est dur très dur. Les paroles rendent encore plus forte ma souffrance.
Charlotte la prend par le cou et l’oblige à se lever. Elle se plante devant elle, lui saisit la tête et écrase ses lèvres sur celles de la jeune femme. Chantal sursaute, tente de la repousser mais se résigne. Collées l’une à l’autre, leurs bouches s’ouvrent et c’est la langue de Charlotte qui force les lèvres de Chantal. Elle résiste un instant puis lui rend son baiser.
Une main de Charlotte se glisse entre les deux corps, soulève la jupe et elle se met à lui doigter la chatte. Chantal se cabre, refuse, tente de s’écarter mais Charlotte la maintient fermement contre elle. Les deux filles respirent de plus en plus fort.
Soudain c’est Chantal qui prend l’initiative de déshabiller Charlotte. En deux temps deux mouvements, elle se fout elle aussi à poil et elles de retrouvent toutes les deux nues. Chantal est de dos devant moi, en direct, en bas, elle a gardé ses chaussures et Charlotte, entièrement nue est plus petite, c’est son image que me renvoie l’écran de mon portable.
Les deux femmes se collent l’une à l’autre et collent à nouveau leurs lèvres dans un baiser chaud. Leurs poitrines sont écrasées entres elles.
Puis, Charlotte prend Chantal par les cheveux et la force à se mettre à genoux devant elle.
- Tu vas me bouffer la chatte salope. Tu vas montrer à ces mecs ce que tu es capable de faire tellement tu es une loque, une lopette.
Ces mots, ces insultes ne font pas réagir Chantal. Au contraire, elle s’exécute, passe ses deux mains sur les fesses nues de Charlotte pour l’attirer à elle et se mettre à lui lécher le minou.

Charlotte la tient fermement par la tête appuyée contre son ventre. Elle lui secoue la tête pour mieux se faire frotter le clitoris.
- Branle-toi le con, salope pendant que tu me lèches.
Et Chantal obéit. Elle abandonne une fesse et passe sa main entre ses propres cuisses pour s’introduire un doigt dans la chatte.
Les deux filles sont alors au bord de la jouissance. Elles se trémoussent au beau milieu de la pièce devant les deux mâles qui ne manquent rien du spectacle. Comme moi et ma caméra.
Soudain elles explosent toutes les deux alors que je vois une giclée de cyprine s’échapper du sexe de Charlotte, que Chantal reçoit en plein visage.
- Bois, salope, bois ma liqueur dit-elle et pressant le visage contre les poils de son mont de Vénus, se frottant de plus belle.
Elles jouissent de concert. Il faut attendre plusieurs minutes avant qu’elles ne recouvrent leur souffle.
Repues, elles s’affalent sur le canapé dans les bras l’une de l’autre, les yeux fermés.

Jacques se lève, s’approche de Chantal et la fait s’allonger sur la moquette aux pieds de Charlotte qui semble sommeiller.
Il la réveille et la fait se lever pour se mettre à quatre pattes au dessus du corps allongé de mon épouse. Il la positionne tête bêche, en position de 69. Spontanément Charlotte écrase son sexe sur le visage de Chantal qui ne peut se refuser. A nouveau elle frotte sa moule contre le visage. Je regarde fou d’excitation la mise en place de ce tableau dont je devine l’aboutissement.
Timidement Chantal maintient les fesses de Charlotte juste au dessus d’elle et accompagne les mouvements du bassin de la jeune femme. En même temps Charlotte écarte les cuisses sous elle et enfonce brutalement sa langue dans la chatte toute brillante de ma femme. Rapidement, au mouvement que font les deux femmes, on imagine très bien le plaisir qu’elles recherchent à nouveau dans ce 69 lesbien. Jacques est à genoux derrière Charlotte. Il a sa bite à la main, dressée, raide juste au dessus des yeux de ma salope de femme, toute appliquée à lécher le con de sa complice du moment.
Elle s’écarte un instant juste pour voir la queue pénétrer la chatte que sa langue vient d’ouvrir.
- Tu vas voir comme je baise ma petite Chantal. Regarde comme je vais faire jouir cette grue.
Charlotte se cambre pour mieux s’offrir au pieu qui la baise. Sans douceur, il accélère ses va et vient.
- Branle lui le clito ma belle, donne lui plaisir pendant que je la baise.
Et Chantal soumise à son amant s’exécute une fois encore.
- Et toi Charlotte lèche lui bien la vulve, à cette lesbienne qui s’ignore !
Cette image est trop forte, je jouis une nouvelle fois dans mon froc.
Charlotte veule sous les coups de queue. Philippe s’est approché du trio et lui donne sa bite à sucer. Chantal amoureusement caresse les couilles de Jacques qui se balancent au dessus de sa tête. Cette image me fait mal, très mal encore même si je suis décidé d’abandonner cette chienne.
Soudain, Jacques se cabre, se plante au fond du ventre de Charlotte et éjacule son foutre. Philippe jouit à son tour dans la bouche que l’accueille.
Une fois vidé, Jacques reste planté un instant puis lentement ressort en ramollissant de la vulve remplie de foutre. Les lèvres distendues laissent apparaître le foutre en excès. Jacques ouvre le con de ses deux doigts et pousse pour plaquer la vulve sur la bouche de Chantal en dessous, l’obligeant à lécher et avaler le sperme mélangé à sa cyprine.
Une fois tous comblés, ils se rhabillent tout en buvant gaiement un dernier verre.
Seule Chantal reste nue. Souriante, elle s’adresse à Jacques.
- Mon amour, tu vas rester dormir ici ? Il ne rentre pas de la nuit.
- Pas possible. J’ai dit que je rentrerai même tard.
- Mais ta femme est absente non ?
- Oui, mais elle peut appeler demain matin tôt ! Je préfère rentrer.
Je vois les larmes apparaître sur le visage de ma femme et je m’aperçois alors que cela ne me fait aucune peine de la voir malheureuse. Elle a ce qu’elle mérite, de m’avoir menti et bafoué aux yeux de mes amis.
Je souffre encore cependant !

Il est presque une heure du matin quand ils quittent tous les trois la maison laissant Chantal nue, saoule, complètement désemparée.
En passant devant elle, Charlotte lui prend le menton et en signe de mépris, elle lui lèche le visage.
Je coupe ma camera complice. Je regagne mon auto pour aller prendre ma chambre d’hôtel dans la ville voisine.
Je suis complètement cassé. J’ai envie moi aussi de pleurer. J’ai tout perdu en quelques heures. Mais déjà je pense à ma vengeance.

Le lendemain matin quand je retrouve mon foyer, Chantal est déjà partie pour le bureau. Rapidement, j’organise ma vengeance.
A 18h, elle rentre comme à son habitude. Je joue les maris heureux de retrouver sa femme. Je m’approche d’elle pour recueillir un baiser. Elle me le rend sans vraiment de conviction et comme je le lui fais remarquer, elle me dit :
- Tu sais mon chéri, c’est très dur en ce moment au bureau. Excuse-moi demain ça ira mieux !
La salope ! Quel aplomb ! Elle ne manifeste aucun remord ! Tout est vraiment consommé entre nous.
Avant qu’elle n’arrive j’avais déplacé légèrement la caméra, pour la rendre visible. Quand elle l’aperçoit, elle devient pâle et manque de s’évanouir.
- Qu’as-tu ma chérie ? Tu te sens mal ?
- Non, rien. Je suis si fatiguée …
Bien sûr, salope, après la nuit passée à te faire baiser, enculer. J’ai encore mal car l’amour est encore tenace.
Je feins de ne pas m’être rendu compte de sa découverte. Ma vengeance est enclenchée.
Nous dînons le repas que je nous ai préparé. Elle n’arrive pas à cacher son angoisse et elle va directement au lit.
Quand je me couche, je vois bien qu’elle fait semblant de dormir mais elle ne peut cacher sa peur. J’ai également du mal à trouver le sommeil.

Le lendemain matin elle part avant moi. Quand je quitte la maison je ne change pas la place de la caméra, la laissant bien visible.
Une fois au bureau, elle me signale une incursion ! Je m’y attendais !
C’est Jacques que je vois se précipiter son mon espion que je coupe aussitôt pour ne pas être découvert. Je jubile
Ça ne traîne pas ! Moins de 15 minutes après, Chantal m’appelle. Elle est perturbée, sa voix tremble mais elle cherche à être naturelle.
- Mon chéri (la salope !), hier soir il me semble avoir remarqué un appareil photo ou une caméra à la maison, c’est quoi exactement ?
Bien joué, Jacques lui a donné le conseil d’une approche prudente ! Par contre je ne sais pas s’il a pu la faire fonctionner et voir ce qu’elle contenait, mais devant le doute il a tout de suite alerté sa complice qui vient aux renseignements.
- Ah oui, mon amour, c’est vrai j’ai oublié de te le dire c’est une caméra qui est couplée à un signal d’alarme. Je ne sais pas si elle est opérationnelle. Je n’ai pas vérifié. On regardera ça ce soir tous les deux. Je t’embrasse, je t’aime.
- Moi aussi je t’aime.
- Tu vas mieux ? Tu avais l’air vraiment fatiguée hier soir. J’aimerai bien profiter de toi un peu, non ?
- Bien sûr, j’ai envie de toi là.
- Humm rien que d’y penser j’ai la trique. A ce soir mon amour
- Bisous
Je sens très bien que mes propos l’ont rassurée. Jacques n’a pas pu voir ce que contenait la caméra. Fallait juste savoir si j’avais moi pris connaissance de son contenu. Je les ai confortés que non ! Les voilà rassurés.
Je prends un malin plaisir à jouer les amoureux. Cela ne me procure rien de plus qu’un malin plaisir pervers. Je la sais menteuse, perfide. Je ne l’aime plus.
Une demi heure plus tard, c’est ce salaud de Jacques qui se manifeste.
- Salut, passé un bon déplacement ?
- Super, j’ai maté un film de cul et je me suis branlé comme un gamin !
Je le sens qui avale sa salive.
- A la télé ?
- Oui, dans l’hôtel, des films porno à la carte. J’avais envie. Comme Chantal n’est pas très chaude en ce moment, le boulot, j’étais un peu en manque. Je me suis fait plaisir. Je compte sur toi pour ne pas me trahir, elle ne serait pas contente.
Là aussi je prends un plaisir fou à jouer le cocu innocent qui ne s’imagine même pas que sa femme puisse le tromper. Super !
- Tu sais je suis venu la garder l’autre soir, comme tu me l’avais demandé. J’étais avec Philippe et une copine à lui. On a passé une bonne soirée. On a un peu picolé mais pas trop. Il s’affranchit doucement de ce que je peux savoir.
- Très bien, je suis content, je n’aime pas la laisser seule dans cette maison. Il y a tellement de fêlés ! Merci encore Jacques t’es un vrai pote et je sais que Chantal t’aime bien. Et Annie, elle n’a pas fait la gueule ?
A l’évocation de sa femme, je sens très bien qu’il est troublé.
- Non elle devait garder les s.
- Ah oui c’est vrai !
En fait je me souviens qu’elle devait être absente toute la nuit ! Il avait oublié !
- Passe à la maison ce soir si tu veux. J’ai rapporté un truc formidable des états unis.
- Ah oui et c’est quoi ?
- Tu ne devineras jamais : une caméra espion ! Elle m’avertit quand quelqu’un entre chez nous et je peux lui demander de filmer l’intrus ! Viens, tu m’aideras à la faire fonctionner.
- Ok ! Je passerai prendre l’apéro !
- Bonne idée et si Philippe est disponible, demande lui de venir. Je pourrais le remercier aussi d’avoir tenu compagnie à Chantal l’autre soir. Vous êtes vraiment mes potes !
Là j’ai peur d’en avoir trop fait. Mais sa réaction me rassure. Il revient sur la caméra.
- Ce truc, tu l’as fait marcher ?
- Non, enfin, je ne sais pas. Je l’ai manipulé hier avant de partir mais je ne l’ai pas mis en marche car Chantal et vous étiez à la maison. Et je ne sais pas si elle a enregistré.
Ces paroles semblent le rassurer car je le sens se détendre.
- On pourrait surprendre nos femmes avec leur amant non ? dit-il en se marrant. Moi je ris jaune !
- Ok, à ce soir !
- A ce soir.
A peine rentré, je remarque que la caméra a été déplacée. Je rigole en moi-même. Mon plan se déroule exactement comme prévu. Chantal est déjà là ! Superbe. Elle m’accueille très amoureusement ! La salope je pense !
Elle m’embrasse amoureusement me serrant contre elle. Comme l’autre soir avec Jacques !
Philippe arrive juste avant Jacques.
Je sers mon whisky, enfin ce qu’il en reste
- Dites-donc les gars vous ne vous êtes pas ennuyés avant hier soir. Mon whisky a bien vécu. Je vais en chercher une autre à la cave.
Passé la porte je dresse l’oreille. Ils chuchotent. Je rigole. Quand je reviens ils sont gentiment assis tous les trois sur le canapé… de la luxure !
- Vous avez été sympa de venir. Je suis content. Dis-moi Philippe, c’est qui cette fille que tu as emmenée ?
- Une relation de bureau. Elle est sympa mais sans plus.
- Belle ? Jeune ? Sexy ?
Je me marre, mon jeu marche merveilleusement.
- Un vrai boudin mon vieux. Personne n’en veut dans la boite !
Et délicat avec ça ! C’est vraiment un mufle. Et dire qu’il s’est tapé ma femme…

On boit, on parle de choses et d’autres. Je les attends. C’est Chantal qui se lance. - Alors cette caméra, c’est quoi mon amour ?
- Ah oui attendez.
Je me lève et la prend en main. Je l’allume.
- On peut lire ce qui a été enregistré.
Je les sens tendus, mais en même temps comme rassurés. Ils n’ont pas peur des révélations de la boite noire. C’est normal. Je l’allume et la met sur lecture. Rien. Rien n’est enregistré, aucune trace de leur soirée de débauche. Normal, j’ai tout effacé ce matin … après avoir tout sauvegardé sur un disque externe. Ce matin, Jacques a simplement tenté de lire la carte mémoire. Ils étaient sauvés, car apparemment je n’avais pas eu la curiosité de regarder son contenu !
- Il faudra que j’apprenne à m’en servir. J’ai voulu voir ce matin mais j’ai dû faire une fausse manip qui a mis à plat la carte mémoire. De toutes façons, je ne crois pas l’avoir déclenchée.
Chantal radieuse vient se lover contre moi et m’enlace.
- T’es un coquin, tu aurais voulu nous surveiller que tu n’aurais pas fait autre chose. Tu vois ta gentille femme est fidèle et sincère dans ses sentiments pour son mari chéri.
Pourquoi cette comédie ? Pour rendre jacques jaloux pour l’avoir abandonnée l’autre nuit ? Pour noyer des soupçons que j’aurais pu avoir ? En tous cas soudain, la situation alors me dégoûte tellement que je décide d’arrêter la comédie.
Je veux finir de jouer, porter l’estocade.
- Merci encore à vous deux d’avoir tenu compagnie à Chantal. Je la sens si déprimée en ce moment. Elle n’a plus envie de faire l’amour, elle, si enjouée pourtant. Je regarde Chantal et je la vois rougir. Un point.
- J’aurais bien aimé être là pour m’amuser avec vous. Au fait mais je suis bête, mais le gars qui m’a vendu la caméra m’a dit qu’en sécurité, la caméra sauvegardait une copie de la carte mémoire sur un disque externe en mode Wifi. Je sais où il est. Attendez.
Je ne vous dis pas le froid qu’a jeté cette phrase parmi eux. Chantal est devenue blême. Les deux mecs aussi.
J’allume la caméra, le disque dur externe livre ses images. Froidement !
Tout le monde retient son souffle. Un lourd silence s’installe.
Je reste silencieux. Ne marque aucune émotion.
Chantal est la première à réagir. J’arrête la caméra.
- C’est quoi ce cirque. Tu es au courant et tu viens de te foutre de nous ! Oui Jacques est mon amant. C’est bien. On va pouvoir s’expliquer. J’en avais marre de cette situation.
- Je t’écoute ma chérie, dis-je d’une voix tranquille et neutre.
- T’es un vrai salaud me dit Jacques.
- Laisse, Jacques, je vais régler le problème mon amour.
La garce, elle ose l’appeler mon amour devant moi et Philippe. C’est une vraie garce. Et dire que je l’ai aimée comme un fou !
- J’aime Jacques et Jacques m’aime. Nous allons vivre ensemble. Excuse-moi mais c’est la vie. Je te quitte !
- Annie est au courant, dis-je ? Tant mieux, je ne voudrais pas qu’elle soit malheureuse par votre faute.
Jacques intervient
- Non, Annie ne sait rien. Et je préfère qu’elle n’en sache rien.
- Comment ? Mais tu m’avais promis de partir avec moi, hurle maintenant Chantal.
- Non, je ne t’ai jamais promis. Je ne quitterai pas Annie. Je l’aime plus que toi.
Un lourd silence s’installe.
Chantal s’effondre en larmes. Cela me laisse indifférent. Elle l’a bien mérité. Aucun regret à mon égard. Rien. Je sais en cet instant que je ne l’aime plus.
Philippe est très mal à l’aise. Même s’il n’est pas marié, il tient, comme gigolo, à sa réputation. Et là, elle risque d’être mise à mal si je montre ces images.
- Jacques, je ne veux pas faire de mal à Annie. Je ne lui dirais rien. Je te laisse Chantal pour que tu subviennes à ses besoins immédiats. Je vais divorcer et elle va tout perdre. Avec ce film… Je ne lui laisserai rien. J’ai eu trop mal. Je garde une copie de cette soirée bien cachée chez un notaire s’il devait m’arriver quelque chose. Chantal, demain tu dois être partie d’ici. Je ferai suivre tes affaires. Tu me laisseras les clefs de la maison.
A ces mots je vois qu’elle a saisit ma détermination. Elle s’effondre sur le fauteuil où je l’ai vue s’abandonner à sa débauche.
Elle sanglote silencieuse. Les deux mecs se sauvent humiliés. Je jubile.
Nous restons seuls.
- Je n’arrive pas à te pardonner cette trahison. En elle même, elle est banale, mais c’est la forme que tu y as mise qui m’a fait le plus mal. Une histoire de cul, on pardonne à celle qu’on aime. Sauf quand se mêlent les sentiments. Tu es amoureuse de Jacques. Je ne suis plus ton amour. Tu n’es plus mon amour. Désolé.

Je monte me coucher, seul. Elle me rejoint une heure après. La mine défaite, elle ne cesse de pleurer. Cynique je lui dis :
- Tu pourras continuer à le voir, je ne comprends pas pourquoi tu pleures encore.
- Je ne veux plus le voir. C’est un lâche. Il m’a promis et j’ai eu la faiblesse de le croire.
- Tu as perdu. Tant pis.
- Mais tu ne m’aimes plus, toi ?
- Non !
- Tu n’as plus envie de moi ?
- …
- Dis moi.
- Je ne sais pas. Je peux te le dire. Ça m’a excité grave de te voir baisée par Jacques et Philippe et même Charlotte. J’ai joui à plusieurs reprises. Oui tu m’excites encore, mais jamais plus je pourrais t’aimer comme je t’ai aimée.
- Gardes moi, je ferai tout ce que tu me demanderas. J’ai envie de sexe et je sais que toi aussi. Partageons ça.
Elle est à genoux appuyée contre le lit. Elle semble me supplier. Je reste inflexible.
Je garde le silence. Les images de son cul offert à la bite de Philippe m’excitent à nouveau et instantanément je me mets à bander. La salope s’en aperçoit. Un sourire illumine son visage.
- Tu aimerais me voir baiser devant toi avec des inconnus que tu choisirais ? Tu n’aimerais pas m’exhiber dans des lieux publics ? Fait de moi ta putain. Je te serai fidèle. Et fait moi un . Je veux regagner ton cœur en passant par ton sexe.
- N’insiste pas ! Le cul n’est pas tout ! Tu es encore amoureuse de ce con. Tu veux tout garder. Non, c’est bien fini.
Elle s’effondre contre le lit. Sanglote.
- Je t’en supplie, pardonne moi.
- Et Jacques ?
- Il n’est déjà plus rien. Je jure. Comme tu dis ne plus m’aimer, je ne l’aime plus. Je ne le verrai plus. Partons d’ici. Allons au soleil. Je veux un de toi.
Je réfléchis. Je trouve l’idée séduisante.
- Tu accepteras d’être mon esclave sexuelle ? Tu te soumettras sans rechigner ? Femme de ménage tu seras ma pute, ma chienne ?
- Oui, oui, oui ! Tout ça. Je veux te reconquérir et j’y mettrais le temps qu’il faudra.
Je garde le silence un instant avant de lancer, avec une certaine excitation :
- Alors demain tu vas au bureau sans culotte ni soutien-gorge.

FIN


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