Moi, Je Sais, Comment Me Faire Engendrer

Il n’y a plus de doute à avoir. La réunion familiale de hier l’a mis au jour, que je me le fasse, mon gendre. Je l’ai vu de mes yeux, dans mon propre jardin, niquer la fille du voisin. Je les ai surprises. Ils se découplèrent instantanément. Je n’ai pas étais aussi sotte, j’attendais bien le bon moment juste avant que cette Trichine allait jouir, emmanchant goulûment cette magnifique ampleur de dague de mon gendre dans son ventre. Merci Trichine ! Sorry pour interruption ! Mais que cela me sert ! Grâce aux râles de cette midinette, j’ai découvert le pot-au-rose. Avant qu’elle se fasse arroser joyeusement du précieux liquide de mon gendre, tant leurré par moi.
- Oh Julienne, belle-maman, j’ai….
- …Honte tu veux dire ? Non, ce n’est pas vrai, tu baise Trichine dans mon jardin, dans le dos de ma fille et moi ? Ça va te coûter un paquet, tu peux compter dessus ! Non, tu t’imagine le scandale !
Et me dirigeant vers Trichine :
- Toi, on a deux mots à se dire. Je te trouve ce soir à 21heures dans cabanon du jardin ! T’as intérêt d’être à l’heure !
Elle s’en va en courant et en pleurant.
- Eh bifton des pucelles, tu ne te rends pas compte de ton adultère, quasiment sous nos yeux ?
Zac, mon gendre resta planté tétanisé, probablement en cherchant désespérément à vouloir s’expliquer.
Oh quelle scène, son dague autrement fier pendouillait de sa braguette. Malgré le chic coupé, la longueur de sa bidoche était impressionnante. En tout cas pour moi, n’ayant plu d’homme dans ma vie à seulement 43 ans et ayant toute les qualités féminines et atouts en place, un éventail à faire rêver des mâles.
- Belle-maman, qu’est-ce que je peux faire pour me faire pardonner ? En train de remettre en place son tuyau de sailli.
- Stop ! Stop…pas si vite ! Montre-moi ce tuyau d’incendie ! Ordonnais-je, autoritaire et irrémédiablement ! En nouveau Zac se montrait choqué et ne bougea plus d’un poil.
Je prends mon gendre comme une bête d’expo, -entre-nous-dit, ça vaut la peine-, il y a bien et belle une épaisse corde de chair, pas loin de 20 centimètre pendouillant, laissant encore tomber des gouttes de sève.

Je l’attire vers le banc à coté, m’assois :
- La pétasse t’as même pas essuyée, je vais te la nettoyer avant que rejoigne ma fille, la pauvre !
J’enfile ma main dans sa braguette, empoigne les balloches de mon gendre. Le pantalon me gène, je lui ordonne de l’enlever. Fin prêt l’autre main cherche à s’accrocher dans la raie de son postérieur, ses quelques secondes seulement ont suffit pour que sa ‘chibrette’ impressionnante se présenta arrogamment toute seule devant ma bouche. Invitation, ou accident naturel ?
Impossible de lui refuser un soin familial. Je m’écris :
- Mon Dieu ! Tu en as pour deux. Je t’en prends juste la moitie, tu donneras l’autre à ma houppette fille Zazie, hein ? Hein, tu va la zigouiller avec le reste de ton braquemart, dit ! J’y veillerai !
De toute façon, Zac n’a pas le choix, deux doigts accrochés et burinant dans sa truffe anale, ses burnes bien en mains, je me le chibre à travers ma luette en forte aspiration. Tout en constatant le bon goût de la cyprine enduisit l’hampe géante par Trichine. On vérifiera cela à 21 heures ! Me dis-je.
Zac a pris goût et je lui permettais de baiser la gorge de sa belle-maman. Je voudrais bien avoir un cheptel de globetrotteurs à ma disposition. Trois ce serait idéal pour entretenir mes cavités vacantes. Le troisième je préparerai avec une embouchure du tonnerre, avant qu’il burine le fion d’un autre. J’aime bien voir enculer mes baiseurs en même temps qu’ils me besognent.
Mais revenons à nos moutons.
Je dois dire que ma fille a de la chance ! Après que Zac m’a inondé son gosier avec une jute monstrueuse, j’ai profitais… -c’était plus fort que moi, il n’y a pas vraiment adultère de se faire clouter par son gendre- … m’a conscience ainsi rassuré, je me suis présentée en levrette, mains bien accrochées à la banquette.
- Vas-y, Zac, embronche-moi ton monstre… avec toute la part à moi. Je vais te faire oublier ton adultère avec la nénette Trichine. Je m’en occuperais.
T’as rien à craindre, elle en sera servie. C’est la dernière fois que tu baise hors famille, je te le jure ! Quoi qu’elle est une très lointaine cousine de mon ex.
Ceci dit, Zac avait imprimé son rythme diabolique en déployant la totalité de sa colonne de chair, il trouvait plus équivalant de me laisser bénéficier ses 25 centimètres en entier, partageant l’intégralité à chacune, non pas seulement ma moitié revendiqué. Comment refuser sa générosité. Son quart de mètre allait nous envoyer Zazie et moi à juste titre dans un partage familial, un de plus enivrant.
Jetant un coup d’œil vers la terrasse où l’heure de sieste s’était installée, j’ai pourvoyais les allers-retours avec mes contrecoups de rencontres sur cette majestueuse manche de mon gendre :
- Ah…a…ah…han, han, han, han. …..oui, oui, oui, ouiiiiiiiiii…..oh… oh... ohhhhhhjoh… !
Zac me bâillonnait ma bouche, sinon j’aurais ameuté toute la famille.
- Julienne, belle-maman, attention ! Tu vas les réveiller !
Rien à faire j’ai hurlais, hurlais à travers mes mains d’entraves qui étouffaient mes râles de bonheurs. Zac a nettement ralenti ses enfilades dans mon vagin et il continua à caresser mes parois… c’est délirant, encore plus goûteux que son cinglage… Afin, pas pareil.
J’ai donc ondulé mon bassin, remuais l’embranchement pénien, j’ai fais le contour de son nœud dans les moindres recoins vaginale. Pardi quelle baise. Le cocktail de nos jus s’esquivaient de tous les cotés, j’avais l’impression que jamais encore mes lèvres vaginales se sont régalées pareilles. Mon clitoris frappé par ses couilles m’excitait :
- Fais-moi le jouer s’il te plaît, Zacy !
- Non ! Ça sera une autre session belle-maman Julienne ! J’ai encore une surprise pour toi ! Ne bouge pas !
Il plonge encore quelques instants dans mon marécage, récolte l’effluve du trop plein de mon berlingot, tellement bien tringlé, enduit l’entrée du canal voisin, à en un tour de passe il y fore deux doigts, son demander mon avis.
Zac positionne son gland dans ma corolle qui s’ouvre, ramène encore du liquide et y enfourne sa bestiole lentement, mais inlassablement jusqu’au butoir. La tige de Zac à honoré mon colon, s’y arrête un moment laisser distendre le conduit, échapper des pets.
Comme ventousé il dégaina mon boyau, pour le ramoner ensuite. Que le vide se fasse à chaque aspiration, suivi du remplissage. Son nœud prend encore et encore du volume dans mes entrailles :
- Ah ! Ah ! Zac, Zac, Zaaaac ! de moi, s’il te plaît, défonce-moi, encore, encore….enc…Ouh ! Ouh ! Mon cul joui… ouh, ouh, oh mon gendre, oui, oui, oui, c’est ça, engendre-moi ! Waouh ! C’est délicieux !
Après cette dernière jouissance, Zac me laissa sur le banc, me morfondre d’avoir dédaignée sa trique avant cet événement. De toute façon, impossible de me montrer au public dans l’état où je suis. Il faut d’abords que mes spasmes cessent. Lui c’est armé de son pantalon et rejoignit la troupe. Zac ne m’avait fais aucun câlin, ni à ma chatte, ni clito, ni nichons ; tout ce qu’il m’avait dit :
- N’oublie pas la prochaine séance, la Julienne s’y habia plus vite que tu pense belle-maman !
Au bout d’un moment mon corps c’est calmé et je m’esquivais discrètement joindre la salle de bain. La montre indique 18 heures 30. Ce salaud m’a beuglé une heure et demie. Je suis encore toutes choses.
Ce qu’il m’avait atterrée était la défonce de mon cul. Avant j’avais tout maitrisée, mais là, sans crier garde, j’étais dégradé comme objet de son plaisir. Non que je le regrette, loin de là ! Mais à mes 43 ans, mon gendre m’a dépucelé de mon fion, mes douleurs se sont vide esquivées pour faire place à une enculade onéreuse et savamment dégustée.
Cette nouvelle expérience nervalienne m’a littéralement assommé. Oh ! Quel bonheur de se faire frotter les nervures en paroxysme et se faire apparenter en plaisir ultime ce conduit anal. Rassure-toi, mon gendre, ce ne sera pas la dernière fois que tu me ramoneras cette cheminée !
Aussi bien que les tigettes bien montées feront du malheur à ma grotte et ma bouche, je reviens toujours à mon fantasme de pouvoir faire y habiter plusieurs.
Ne t’inquiète pas mon gendre, la tienne restera réservée à ladite cheminée. C’est toi qui me la dévirginisée, à toi l’honneur de l’entretenir.
Faudrait que je trouve un Zic qui arrondira la magne de Zac, puis un Zuc pour le plaisir buccal. Je parviendrai, -ma parole d’honneur-, à les entrainer à entre-culer, mais à mon sandwich, j’y tiens ! Avec le gourdin de mon gendre au cul.
Ma fille Zazie avait préparé le dîner entretemps, principalement avec les restes du midi, oncle, tante et sœur nous quittèrent. Je renvoi les amoureux dans leurs quartiers, vaisselle et rangement fait, il est 20 heures 45.
Je fini tranquillement mon maquillage, enlève ma culotte trempe qui avait aspergé les précieux sucs de mon gendre et moi, déculotté j’y vais à mon rendez-vous avec Trichine. J’arrive au cabanon, elle m’attendait, apeurée.
Je l’a fais entrer, le cabanon est une pièce de repos à l’ombre avec quelques meubles usés.
Je m’assois avec elle sur la psyché, je l’allonge, au lieu de la réprimander et donner une leçon de moral, -ce qu’elle attendait sans doute-, je lui parlais d’un ton calmant, un peu autoritaire :
- Laisses-toi faire fillette, d’une façon où une autre, je te comprends. Mais que cela ne se reproduit plus, compris ? Mon gendre est tabou pour toi !
- Oui, ma marraine, je te le promets !
Ouf, j’ai complètement oublié que j’étais sa marraine. L’âge tendre de fillette passée, à ses 20 ans, je n’avais plus d’obligations et responsabilités envers d’elle.
- Trichine je vais, au lieu de te gronder, donner une petite leçon de vie… et de joie ! Tu es très belle fille, maintenant adulte et tu t’intéresse à la vie sexuelle. En voici une forme ! Tu le dégusteras !
Je me suis mise à bécoter son visage angélique pour s’unir dans un baiser tendre, nos salives s’échangèrent, d’abords tendre et plus avidement. Le lui demandé de s’assoir et faire promener sa mais dans mon entrejambe sous ma robe. J’écartais mes jambes, elle se trouvait dans ma fente.
- Mais tu mouille marraine, comment ça ce fait ?
- Ne t’inquiète pas, c’est résiduel. Mais tu va me faire l’effet, j’en suis sûr. Vas-y fouine !
- Tu sais ça je n’ai … jamais fais avec une fille. Dis-moi, comment ?… c’est doux, oh, oh tu es épilée… tout lisse…c’est agréable marraine, …bigrement agréable…ohhh !
- Vas te coucher ! Enlève ta culotte ! Non, enlève tout !
Trichine s’affaire, elle ne montre plus aucune pudeur, elle me dévoile des magnifiques seins de tailles moyennes. Rien pendouille, fièrement dressés droits. Quelle arrogance, à coté mes poids lourds, des tétons boursoufflés…ohwouh, je craque. Etant mise à poile à mon tour, je m’agenouille et je m’arrache cette arrogance en plein bouche.
Elle aussi elle craque, elle gémit sous ma langue experte. Deux minutes après, comme miracle il n’y a pas deux, Trichine joui par la seule magne de ses mamelons caressés.
Bon dieu, la jeunesse !
Je suis presque jalouse de son hypersensibilité.
Trichine aiguise mon appétit, j’outrepasse les autres étapes prévues. Elle m’avait mise en rage. Je lui propose tout de suite la position d’excellence d’une gouine, le soixante-dix-neuf, d’abords par-dessus.
- Waouh Trichine tricheuse ! T’as bien cachée ton jeu, toi aussi t’es rasée, chouette !
Sa fente juvénile est aussi vite embouchée, … elle m’imite…oh, oh. Du pareil au même, nos langues fouinent réciproquement nos intimités. Nos succions clitoridiens ne s’attardent pas, ni l’entraides manuels par nos doigts.
- Oh marraine, marraine….oh, oh….ohhh !
Mon Dieu, mon Dieu, j’en veux à cette jeunesse, qui pisse la cyprine au moindre touché. Qu’est-ce que ça va donner encore quand je m’empare de son point sensible. Je ralentie un peu, je veux lui juter la mienne aussi, elle est en-dessous, elle va en baver de mon liqueur…
Ça y est j’ai ouvert mon robinet….eh ça coule, et coule…elle n’arrive plus à laper et avaler…comme il se doit, elle en bave, s’y noie !
- Oh marraine qu’est-ce c’est bon ! Ta mouille ! Humm, miam, miam….
- Viens on se met de coté…il aura une surprise ma belle ! Appelle-moi Julienne, j’ai fini à te ‘marrainer’. Dès maintenant tu as besoin d’autres attentions !
On reste en tête-bêche, une jambe dirigée en haut.
Comme toujours, Trichine m’imite fidèlement.
Nos bouches, du bas et haut, se remarions à nouveau goulûment et comme ce n’est pas permit Trichine jouira en nouveau au bout de deux, trois minutes. Je lui vide sa petite cassette, aspire tout. Je me concentre sur sa petite partie rugueuse…waouh, un crie exigu traverse le cabanon…je ne le lâche pas, elle pleure la jouissance, gigote de tous les cotés…
- Marrai…Julienne, oh, ah, …c’est féerique, féerique….. Elles sont toutes pareilles les filles ?
- Attends-voir ma bichette ! Tu n’es pas encore au bout du tunnel !
Ceci dit, je m’emploi à lui faire connaître les plaisirs annaux. En ramassant un maximum de sa mouille, j’enduis la raie de son fessier, le coulé arrivé sur son œilleton, j’introduisis doucement mon majeur. Pardi, ça recommence son hurlement !
- Non, non, non, Julienne, j’y suis vierge !
- Je veux bien te croire, mais plus pour longtemps ma chocotte, tu va en baver aussi par là, tu verras, tu m’en redemanderas Trichine.
Ce n’est jamais trop tard de devenir femme à part entière. Je vais m’outiller une prochaine fois. ! Tu m’en demanderas de t’enculer !
Un très long baiser arrondira notre séance lesbienne.
J’étais en train de me rhabiller quand j’ai vu que Trichine léchait notre débordement de jute sur la psyché, tel comme un petit chaton. Je lui laissé à son plaisir pour rejoindre la maison.

Pas plus tard qu’une occasion se présentait le lendemain, j’ai pris mon gendre de coté,
-pratique quand on habite au même endroit-. Je lui ai exposé mon fantasme, il y a adhéré, deux copains à lui feront l’affaire.
Zac était très touché que je lui ai accordé l’exclusivité de ma gaine anale.
- Ecoute belle-maman, après le dîner Zazie va faire des commissions l’après-midi, moi j’ai envie de t’enculer devant moi dans la cuisine, on sera tout seul, tu pourras chanter autant que tu voudras, je te bâillonnerai plus !
- Voilà mon petit gendre, ce que j’appellerai de m’engendrer comme il faut ! A plus !

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