Mariee Malgre Moi (2)

Je m’appelle Émilie et une étrange aventure m’est arrivée.
Alors que je venais d’avoir dix-huit ans mon père pour sauver notre domaine, ma carrément vendu à un homme de 65 ans que je n’avais jamais vu jusqu’au jour de nos noces.
Nous habitons à Neuilly dans une propriété avec dépendance pour les employés.
Mon mari s’est avéré être un homme énorme, voire difforme qui passe sa vie entre son lit et son fauteuil roulant aidé par un majordome.
Il a voulu avoir un certificat de virginité que je lui ai produit mais je viens de me faire déflorer par mon chauffeur avant d’aller passer ma nuit de noce.

J’enfile ma robe et je passe dans la chambre voisine où monsieur mon mari m’attend nu le dos calé par un oreiller.
Sans un mot, je le masturbe en ayant du mal à saisir ses deux centimètres de bitte qui dépasse de ses bourrelets.
Il finit par bander et j’ai quatre centimètres à ma disposition. Je me relève et en soulevant ma robe de mariée, je le chevauche.
Il souhaite me voir nue, mais non pas possible ce n’est pas dans le contrat.
J’ai eu du mal à le faire entrer car il ne me pénètre pas assez. Quand il réussit du moins, c’est ce que je lui laisse croire, je pousse un grand cri lorsqu’il croit avoir déchiré mon hymen.
Deux trois montés et descente et il éjacule, son sperme rejoignant le sperme que mon chauffeur vient de m’injecter en me déflorant lui vraiment.
Je me relève et je lui fais constater le sang qui se trouve sur son petit bout de chaire.
Heureusement, le sperme et le sang mélangé ont laissé sur son bas-ventre assez de trace pour qu’il ne puisse pas douter qu’il ait été le premier.
Il veut que je le suce pour recommencer une deuxième fois.
Et non « pépère » pas dans le contrat. Il est bien écrit deux ou trois fois par mois. j’accepte le devoir conjugal que je viens de faire mais il faut savoir en garder pour les jours prochains.
Pour l’amadouer, je lui promets de le sucer la prochaine fois.

Vu le morceau je suis sûr de ne pas m’.
De retour dans ma chambre, je passe une heure dans ma baignoire à me caresser le corps pour me décontracter et contrairement à l’institut, je me fais jouir avec les jets d’eau de la douche.

Dans la matinée j’entends du bruit. Je me lève. J’enfile le peignoir en soie mis à ma disposition et je sors de ma chambre.
Je vois l’avocat entré dans la celle de mon mari.
Lorsqu’il ressort une demi-heure après, je lui demande de venir me voir.
Je lui demande quand il me donnera la carte bancaire et le carnet de chèques prévu dans le contrat.
Il a tout à son étude et je n’ai qu’à envoyer mon chauffeur pour tout récupérer.
Je profite de sa présence pour lui demander s’il accepte de travailler pour moi moyennant une bonne rémunération.
Après son accort et l’établissement de la somme pour remplir sa mission, je lui donne les renseignements qui vont lui être utiles et il part.
Dans la matinée, j’appelle Christophe mon chauffeur pour qu’il me conduise à Paris.
Préalablement nous passons, avec la Mercedès, chercher mes cartes et carnets. C’est lui qui monte pendant que je l’attends.
Toute la matinée, je ma carte chauffe et lorsque j’ai assez, de paquets dans le coffre, je rentre déjeuné.
Après être passé par ma chambre où mon lit a été fait, je visite la maison sans avoir été invité à le faire. La salle à manger semble ne plus servir, j’arrive dans une cuisine où j’ai la surprise de rencontrer une vieille femme qui s’occupe de préparer à manger.
Elle me fait comprendre que je n’ai rien à faire là et que toutes les fois où je mange à la résidence, un repas me sera servi dans ma chambre.
Je sors et je fais une promenade dans le jardin. Sur l’arrière près des garages, je vois Christophe sortir d’une maison basse qui semble être les dépendances des employés.
Lorsque je le vois entrer dans la maison, je le suis et je le vois monter à l’étage.
J’ai cru qu’il allait frapper à ma porte mais c’est à celle de mon mari qu’il frappe.

Dès qu’il est entré, j’écoute ce qu’ils disent. À travers la porte, je l’entends répondre à son patron que j’ai été parfaite ce matin et que je n’ai regardé aucun homme.
Je constate qu’il était bien là pour être mon garde-chiourme mais que je l’ai mis dans ma poche en me laissant me déflorer.
Je redescends, m’installe dans la salle à manger et j’appelle le majordome pour être servi à cette table.
Il rechigne mais lorsque je croise les jambes en m’essayant, il a le temps de voir que je n’ai pas mis de culotte. Il cède aussitôt.
Allumer et se faire baiser par ces hommes est la seule solution pour échapper à l’emprise de mon mari.
L’après-midi, je souhaite refaire des achats. Je vais à la FNAC pour me faire livrer un ordinateur avec tout ce qu’il faut pour surfer sur le net.
J’ai appris à naviguer en Suisse avec bien sûr les blocages pour adultes afin que nous n’allions pas sur des sites cochons. Éducation quand tu nous tiens.
Ce que j’aimais c’étaient les sites de ventes en ligne.
Dans la soirée le majordome vient me voir car mon mari souhaite exercer son droit de cuissage. Je l’éconduis en lui rappelant que ce droit n’est valable que deux jours par mois au maximum trois et que si je vais dans sa chambre, il fera ceinture tout le reste du mois.
De plus je lui rappelle le point de l’accord qui précise que je dois être prévenu deux jours avant d’aller me faire mettre.
Je l’entends se faire enguirlander et bien sûr je ne cède pas. Un accord est un accord.
J’appelle Christophe car mon vagin crie famine et toute la nuit je me fais prendre comme une bête ne m’interdisant aucune envie. Je jouis tellement fort surtout au moment où pour la première fois j’ai un orgasme à un niveau d’intensité tel que mon cher et tendre ne peut pas ignorer qu’il est cocu.

J’ai beaucoup aimé le rapport que mon amant lui fait en fin de matinée lui disant que je me suis couché sagement.
Il aurait pu ajouter, sagement mais les cuisses bien écartées.

À partir de ce moment la situation commence à m’intéresser. Je sens que ma vie va devenait passionnante avec à terme l’assurance de vivre sans aucun souci financier jusqu’à la fin de mes jours avec l’argent de celui qui m’a acheté comme un simple sac à patates.
Je viens de subir une forme de prostitution.
Non, le mot de prostitué quand j’analyse les choses n’est pas trop fort car il m’a acheté à mon père même si des billets n’ont pas été officiellement échangé.

Si à part lui je n’avais encore reçu aucun argent d’un homme, le faite de me faire dépuceler le jour de mes noces par mon amant a fait de moi une belle salope.
Le lendemain, l’avocat est à nouveau convoqué et mon mari lui parle de mes turpitudes. Il ne voit aucun manquement à ce que nous avons signé entre nous. C’est la dernière fois qu’il essaye de faire casser notre arrangement.
En sortant il vient me voir et il m’annonce avancer dans ses recherches et pense me donner des renseignements positifs dans les jours prochains.
Il va falloir que je trouve un moyen de le remercier autrement que par de l’argent mais il est marié et à deux s et malgré l’évolution de mes dépravations, il me reste une parcelle d’éducation.
L’après-midi, on me livre mon ordi et je me mets à surfer.
Je veux voir ce que les gens disaient sur les couples jeunes - vieux.
Le deuxième site où je consulte montre de jolies femmes qui cherchent des rendez-vous avec des hommes. Escorte-girl.com est l’intitulé du site.
Que des filles veuillent rencontrer des hommes m’interloquent.
Il y a un numéro de téléphone ou appeler.
Pendant une heure je tourne en rond persuadé, que c’est un numéro bidon.
Pour rigoler, je finis par le faire.
Quelqu’un me répond, quelle fille j’ai remarquée et où elle peut me retrouver. Elle me donne les tarifs pour une heure une nuit, un week-end de la dame que j’ai cité au hasard.
Comment peut-on gagner autant d’argent simplement en passant une soirée avec un client ?
Je fais comprendre que je me suis trompé et je raccroche.

Intrigué tout de même je finis par rappeler.
J’ai la même personne et très vite l’homme me passe une femme.
Elle a une voie suave et directement me demande si je veux essayer de devenir escorte girl. Je relie mon contrat de mariage dans la tête, je ne vois rien qui permette à celui que j’ai épousé de le casser.
Je suis tenté de faire évoluer ma vie pour ne pas dépendre d’un homme, fût-il riche à millions.
Elle me donne rendez-vous ce soir à vingt heures au bar d’un grand hôtel parisien.
Elle aura une proposition à me faire et il faut que je sois le plus sexy possible.
Je donne mon accord et je retourne sur des sites de lingerie où je récupère l’adresse d’une boutique ou je suis sûr de trouver tout ce qu’il faut pour satisfaire la demande de la dame.
Je convoque Christophe qui vient avec moi choisir mes tenues. Les vendeuses le prennent pour mon mari. Elle le laisse entrer avec moi dans les cabines d’essayage.
J’adore son regard sur ma chute de rein quand je me mets nue et ses yeux admiratifs lorsque je passe ma première guêpière avec mes bas mon porte-jarretelles surtout qu’à ce moment, je n’ai pas de culotte et que je tient à ne pas en avoir.
Nous rentrons à Neuilly, il m’aide à monter mes achats et il a velléité à me faire l’amour. Je le vois bien tellement, son pantalon est tendu.
Je lui fais comprendre que je ne suis pas contre pour ne pas le vexer et qu’il aille rapporter à son patron que je découche et comme toute femme se refusant je trouve un bon prétexte.
Je lui dis d’aller manger car il faut qu’il m’emmène à un rendez-vous avec une dame.
À vingt heures dans une tenue proche des photos des filles du site Internet, j’entre dans ce bar et de suite je repère celle que j’ai eue au téléphone.
Une femme de sa stature ne peut être que celle qui m’a dit de venir.
Elle se présente et me dit s’appeler Valérie. Lorsqu’elle me demande comment je m’appelle et que je lui dis Émilie, elle m’arrête et me dit que pour l’organisation qu’elle dirige je m’appellerai Belle.
Belle, car c’est le premier nom qui lui vient à l’esprit en voyant ma beauté et surtout ma classe.
Elle m’offre un jus de fruit car dans ce travail pour garder son libre arbitre, il ne faut jamais prendre d’alcool.
Je suis subjugué par cette femme et lorsqu’elle me demande si je suis prête à rencontrer mes premiers clients, je ne peux que dire oui. D’autant plus que les clients sont deux et qu’elle m’accompagne.
Je viens à peine de dire oui lorsque deux hommes arrivent et viennent directement vers nous. Je vois tout de suite que Valérie doit les connaître car ils s‘adressent à elle comme à une vielle amie.
Je vois une enveloppe quitter la poche de l’un des hommes et rejoindre le sac de Valérie.
Ils nous entraînent au restaurant de l’hôtel et sont charmants pendant tout le repas.
Une ou deux allusions tout de même sur ma beauté et l’espoir que, je sois aussi performante que Valérie. Je suis à l’écoute de la manière dont la soirée va évoluer.
Il ne faut pas oublier qu’il y a moins de quinze jours, j’étais dans un institut pour jeunes filles et que j’étais vierge.
Le café bu, ils se lèvent viennent retirer nos chaises et comme s’ils avaient fait leur choix Fred, le brun me prend le bas alors que Damien le châtain en fait de même avec Valérie.
Je ne sais pas où nous allons car je marche devant Valérie mais d’un pas ferme mon cavalier semble savoir la direction à prendre.
C’est vers les ascenseurs qu’ils nous emmènent et particulièrement au cinquième que nous descendons.
Devant la porte d’une chambre Valérie me prend le bras et à l’oreille me dit de ne pas avoir peur que de bons moments nous attendent.
Dès qu’elle entre, elle embrasse Fred sans plus de cérémonie.
Moi qui pensais que nous n’aurions qu’à nous montrer au bras de ces hommes, j’ai beau être une oie blanche, je comprends tout de suite que nos corps vont être mis à l’épreuve.
Les seules expériences avec des sexes sont trop récentes et trop incomplètes pour que je refuse de connaître d’autres plaisirs qui plus est dois me rapporter de l’argent dans la transaction que Valérie à faite tout à l’heure.
Lorsque Damien m’entraîne vers une chaise où il s’assoie me plaquant contre lui, je ne rechigne pas à enlever mes vêtements. Je prends plaisir à être presque nue devant un homme surtout celui qui me prend un sein dépassant de ma guêpière, ce qui me réconforte sur la beauté des hommes comparés avec mon mari.
Je vois dans la glace Valérie qui a franchi une étape et qui a déjà le sexe de son compagnon dans la bouche.
Première fellation, j’ai entendu des filles de l’institut parlé des bites que nous les femmes seront amené à sucer pour satisfaire nos maris et éviter qu’ils ne cherchent ailleurs.
Je descends jusqu’à la ceinture du pantalon de mon client et je lui sors sa bitte.
Je la regarde bien avant de la prendre en bouche car c’est une première fois pour moi que j’ai une très belle bite devant mes yeux.
C’est très doux et au toucher et dans la bouche, je crois que la fellation sera un moment toujours privilégiée dans mon nouveau travail que je commence aujourd’hui.
Je n’ai pas encore touché mon argent mais je suis sûr qu’avec Valérie, il n’y a pas de loup et ainsi ce que nous faisons me fait entrer dans le monde des prostituées de haut luxe.
Il aime la manière de m’occuper de son prépuce et de toute la longueur de sa verge mais il ne compte pas me donner son sperme en bouche et il me relève et me pénètre en me faisant assoire sur sa tige bandée à mort.
Je le prends par le cou et je me fais pilonner par cette hampe qui me fait beaucoup de bien.
De son côté Valérie s’est mise à quatre pattes sur le lit et son compagnon lui demande s’il peut la sodomiser.
Elle lui dit oui et hélas je ne vois pas la lance qu’elle se prend dans le rectum.
Je sors mon compagnon de mon corps et l’entraîne sur le lit face à face avec Valérie.
Elle me demande si j’apprécie et à ma réponse positive, elle est contente d’avoir trouvé une nouvelle amie et escorte.
Elle me tend ses lèvres et je retrouve la douceur de ses lèvres aussi douces que celle de Camille en Suisse.
Au moment où il me rentre de nouveau dans la chatte, Damien souhaite lui aussi me sodomiser. J’ai un peu peur de cette nouveauté et je le lui dis.
Valérie intervient et interpelle le futur sodomite qu’une première de ce genre vos de l’argent et qu’elle est d’accord qu’il me prenne le petit moyennant cinq mille euros.
Il accepte et d’un coup je le sens poucer la porte interdite et venir au fond de moi.
Même pas eu mal, il a poussé lentement et en continu et mes sprinters se sont ouverts sans le ralentir et entraîner une douleur.
Dommage que je ne puisse pas avoir de photos de ce bon moment où deux femmes face à face se font prendre profondément par deux hommes bien montés.
Valérie démarre sa jouissance en étant prise par l’anus car elle doit avoir une bonne habitude de cette pénétration alors que moi qui vient de débuter mon corps ne ressent pas encore le bienfait d’une belle bite dans mon fondement.
J’arrive à un petit orgasme quand mon amie lance sa main sous mon ventre et que ses doigts caressent mon clitoris.
Fred en gentleman voyant que mon corps ne vibre pas profondément, sort de ma rosette et retourne dans ma Foune.
À ce moment, deux allées trois retours et un orgasme me dévastent suivi de nombreux les uns après les autres.
Dommage que ce soit un client car je crois que je l’aurai gardé comme amant.
Certe si je tombe sur de bon et de grands baiseurs leur liste risque de ne pas tenir dans un carnet d’adresses.
Je peux faire la comparaison lorsque Damien s’occupe de moi pendant que Fred en fait de même avec Valérie.
Je suis exténué repus de bite, de vagin lorsque ma bouche trouve sur sa route le bouton de mon amie, avant la fin de la nuit, j’avale mêle le sperme des deux hommes qui se masturbe en même temps au fond de ma gorge.
Ce qu’il y a de bien, c’est que j’apprécie le goût et je suis sûr que dans les jours et mois futurs, je vais me régaler car je suis bien décidé à demander à Valérie de m’accepter définitivement dans son organisation.
Je m’écroule lamentablement mais j’ai le temps de voir Valérie prise en sandwich entre les deux hommes. Je n’aurais jamais pensé qu’une femme puisse recevoir un sexe par-devant un autre par-derrière et exploser une fois de plus d’un plaisir dévastateur.
Il est six heures lorsque Valérie remercie les clients. Elle semble attendre quelque chose. C’est vrai mes cinq mille euros pour mon dépucelage de l’anus.
Il souhaite me faire un chèque, Valérie refuse et leur donne une adresse où déposer du liquide. Je les vois ouvrir leur portefeuille et donner des billets.
Habillés nous sortons. Valérie s’arrête dans un bistrot qui vient d’ouvrir.
Un bon café nous requinque et elle fait le partage de l’enveloppe et du supplément qu’ils ont payés car ils ont été satisfait de nous.
Deux mille dans l’enveloppe, mille de supplément pour chacune avec mes cinq mille qu’ils vont apporter dans les heures prochaines, je suis peut-être devenu une pute mais à huit mille euros la nuit, je suis partante chaque fois que Valérie me sollicitera.















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