Le Dépucelage De Mon Grand-Père Pendant La Guerre 39/45.
Le dépucelage de mon grand-père pendant la guerre 39/45.
Au décès de mon grand-père, jai retrouvé des carnets remplis dune écriture serrée. Ils racontaient sa vie dado pendant la seconde guerre mondiale. Ce que je vais vous raconter est tiré de ce quil a vécu avec un rajout hot pour égayer lhistoire avec un grand H.
10 juin 1940, une date qui compte beaucoup dans mon existence
Malgré les nombreuses années écoulées depuis cette date, je men souviens comme si cétait hier.
Javais un peu plus de 17 ans à cette époque, encore un peu insouciant de ce qui allait déferler sur la France.
Mon père était le directeur dune raffinerie à la Rochelle. Jétais un peu privilégié par rapport à mes copains comme « Fito », le fils du contremaître et de Pierre, mon meilleur ami qui habitait une rue juste à coté de la base sous-marine allemande de La Palice. Il y avait aussi Henri, fils de protestant un peu imbu de lui-même. A notre trio, cest ajouté un peu plus tard Elia que lon surnommait « le nain » car il avait une taille vraiment au dessous de la moyenne. Il mavoua un peu plus tard quil était juif et quil ne fallait surtout pas le dire aux autres. On jouait encore à celui qui pissait le plus loin, cest là que je découvris ce que voulait dire circoncis en voyant le pénis dElia dont il découvrait le gland au frein coupé. Et aussi que javais la plus grande
Ah ces conneries de gosses
La fin de linsouciance arriva le jour où les « doryphores » ou si vous préférez les allemands firent irruption dans la raffinerie et nous en expulsèrent.
Avec mes copains, on était si cons quon jouait des tours de vaches aux « frisés ». Mon père Benoit dû y mettre le « holà ». Je sus plus tard pourquoi, il ne voulait pas attirer sur lui les regards des boches car il faisait partie de la résistance. Javais une sur Jeannette, un peu plus jeune que moi.
Les restrictions commençaient à se faire sentir, le café sétant transformé en poudre dorge grillé, le sucre en saccharine, le pain blanc en un ersatz de son.
Suite à ces deux causes, nourriture et risques avec les allemands, mon père memmena passer les grandes vacances à la campagne dans une ferme proche dun petit village, Thairé-le Fagnoux. Que venais-je faire dans ce trou de fin du monde ? Et comment connaissait- il ce bled perdu ?
La fermière sappelait Mélina mais tout le monde lappelait Lina. Son mari était mort sur les plages de Dunkerque. Elle avait deux filles, Ninon et Aline. Elle appartenait au réseau de mon père.
Aline avait le même âge que moi et Ninon un peu plus âgée. Lina avait une sur Luisa qui vivait avec elles. Il y avait aussi un garçon de ferme, Juan, un réfugié espagnol, homme à « tout faire ».
La première année, je me demandais ce quil se passait entre les murs de la ferme les soirs où je narrivais pas à trouver le sommeil. Jentendais des bruits de portes, des plaintes, des grognements, même parfois des cris et des râles. Un jour, je posais la question à Ninon. Sa réponse franche et directe me surprit.
-Cest Luisa ou maman qui ont rejoint Juan dans sa chambre pour se faire baiser, parfois jy vais aussi pour quil me fasse lamour. Aline voudrait aussi mais il ne veut pas car elle est trop jeune. Tu veux que je vienne le soir me coucher avec toi ?
Je ne sus que répondre à part un « ou-oui » timide.
Elle me rejoignit donc et se coucha à coté de moi, je sentais son corps nu contre le mien mais ne savais que faire. Régulièrement, elle passait la nuit près de moi, mexpliquant ce qui se passait dans la chambre de Juan.
-On se couche, moi dessous et lui dessus et il me prend avec sa queue toute dure. Tu as vu lautre jour le taureau du père Grégoire soccuper de la roussette, notre vache, et bien Juan fait la même chose. Si tu le veux, je te le ferai à toi aussi.
En même temps, elle saisissait mon sexe mais jétais si timide quelle ne caressait quune nouille molle.
Ces paysannes navaient pas de complexe et un certain matin où jétais déjà éveillé, jai surpris Lina en train de se laver à la cuisine dans un grand baquet de zinc, complètement nue.
Chez la vieille épicière du coin qui faisait aussi café, une pipelette à qui rien néchappait, ses commentaires imagés étaient encore un peu obscurs pour moi.
-Ils ny a plus que de vieux coqs tout rassis au poulailler plus bon à rien. Chez Lina, il y a encore un coq que les poules se partagent et un petit coquelet au bec court et aux ergots bien trop tendres !...
Ce fut tout pour cette année, et guère mieux lannée suivante
En aout 1942, Mon oncle Paul memmena voir mes cousines à Dieppe. Mauvaise idée... jy retrouvai mes deux cousines, Virginie et Colette. Rien de spécial me direz-vous, sauf que quelques jours après, nous étions le 19 aout 1942
En pleine nuit, la maison se mit à trembler car des chars étaient dans la rue et tiraient sur les anglais qui essayaient de débarquer. Nous nous retrouvâmes tous dans la cave en pyjama ou nuisette, serrés les uns contre les autres. Je ne sais pas pourquoi mais je me retrouvai cerné par mes deux cousines à peine vêtues qui sagrippaient à moi comme des morpions sur des couilles. Une nouvelle fois, je me retrouvais entre les bras dune fille, même de deux et malgré notre peur, je connus ma première érection au contact de ces peaux douces, de ces seins fermes de jeune fille et de la vision sur des endroits que les filles cachent aux garçons.
Puis il y eut le débarquement en décembre 42 en Afrique et les boches encore plus vaches. Elia disparut un jour ainsi que ses parents. Je ne sus jamais ce quil lui était arrivé. Mes parents achetèrent une masure à coté de chez Lina car La Rochelle subissait des bombardements. On essayait de séchapper le plus possible loin des événements.
1943. Ce fut cette année là que tout bascula pour moi. Ninon venait toujours de temps en temps me rejoindre dans ma chambre et constata que la nouille pouvait se transformer en gros spaghetti pas encore cuit. Elle me dépucela et je fus étonné de ses paroles.
-Putain Bernard ! Tes encore mieux que Juan ! Lui, il était monté comme lâne de la Louise, mais toi, tu as la queue du taureau du Père Jean !
Jétais un peu couillon et la laissais monter « à cru » son étalon préféré comme elle disait. Mais ce nétait que le début
Un soir, après le repas qui sétait terminé par une tisane au goût bizarre, je narrivais pas à trouver le sommeil et javais une trique comme jamais ça ne métais arrivé.
Comme à son habitude, Ninon vint « monter son étalon », comme elle disait, prenant bien garde à ce que je la prévienne quand jallais éjaculer pour ne pas lengrosser, et prenant bien soin à pomper les dernières gouttes et me laver le poireau. Je mendormis aussitôt quelle quitta la chambre, un peu inquiet quand même car ma verge était toujours aussi raide. Il aurait fallu quelle recommence pour me vider les couilles et que je débande, enfin
Je sortis de ma torpeur, mes jambes enserrées entre deux fortes cuisses et ma queue comme broyée. Cétait Lina qui avait pris la place de sa fille
Elle montait et descendait sur mon engin, compressant de ses muscles vaginaux mon chibre en minformant :
-Ninon avait raison, le maïs a bien poussé et lépi est dur et ferme. Le coquelet est devenu le roi de la basse-cour. Aaahhh ! Ooouuuiii !
Elle aussi ne partit pas avant davoir reçu son obole. Je retombai aussitôt dans les bras de Morphée après une nouvelle toilette du pinceau toujours dressé, mais par pour longtemps.
-Aaahhh Bernard ! Mon Dieu que tes gros, pourtant tu nas que la peau sur les os. Je ne croyais pas que tu aurais tenu le coup jusquà moi mais tu as lair dêtre un bon coup !
Une fois son affaire faite, et un dernier nettoyage, je pus enfin dormir, la queue toujours raide. Mais que mavaient-elles fait boire ? Ce nest que le lendemain que je réalisais au petit-déjeuner que trois des femelles sur quatre autour de la table avaient trouvé lorgasme en faisant du rodéo sur ma pine
Et portant, elles faisaient comme si je nexistais pas, les salopes !
A suivre
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