Spécial 1 An : Katherine 1 (Pov Katherine)

Bonjour à tous, désolé pour cette longue absence, mais je n'avais pas le temps d'écrire ces derniers temps. Voilà un récit "spécial 1 an" : j'ai publié mon premier récit "Katherine 1" il y a plus d'un an maintenant, alors voici un récit un peu spécial pour fêter ça : j'ai réécrit mon premier récit paru mais en adoptant cette fois le point de vue de Katherine. J'espère que ça vous plaira !



J'ai rencontré le meilleur amant que j'aie jamais eu, lorsque j'étais au lycée, en Terminale. A l'époque nous étions en Avril, et Lui et ma meilleure amie, Laure, voulaient organiser une énorme soirée pour fêter la fin prochaine du lycée. Seulement, comme seule ma maison (assez énorme) était suffisament grande pour accueillir tous leurs invités, il fut décidée que leur soirée serait organisée chez moi. Laure, mon futur amant, et moi même nous retrouvâmes à la sortie de leur lycée, pour organiser la soirée. Lorsqu'ils arrivèrent, je saluai Laure avant de me tourner vers son ami : je craquai immédiatement pour lui, il était très beau, grand les cheveux bruns, les yeux bleus, un corps assez musclé, bref, le genre de mecs dont j'aimais faire mon quatre heure...

Décidée à l'allumer, je pris ma voix la plus basse et la plus sensuelle possible pour me présenter:

"Salut je m'appelle Katherine et toi ?"

Il rougit et bafouilla une réponse à peine intelligible. Sa maladresse trop craquante me rendit folle, et j'eus une soudaine envie de lui arracher ses vêtements sur place. Je me retins toutefois et dit à Laure d'un ton railleur :

"Ton ami a besoin d'aller chez l'orthophoniste, il a des problèmes d'élocution"

Le beau brun rougit de plus belle, et je souris intérieurement : il semblait bien que je le troublai, et je sentais bien que je n'aurais aucun mal à le séduire.

Nous allâmes Laure, moi et lui dans un café afin de discuter des détails de la soirée. Une fois installés autour d'une table, je retirai ma veste, prétextant que j'avais trop chaud, me retrouvant ainsi en débardeur.

Je fus satisfaite de voir le beau brun me mater régulièrement, et jeter de furtifs coups d'oeil à mon décolleté. Moi même je le dévorais du regard, m'attardant sur son torse musclé, me noyant dans ses beaux yeux bleus. Rarement un mec m'avait excitée comme ça, j'en devenais presque folle.

Une fois les détails réglés, le beau gosse rentra chez lui, et je restai seule avec Laure. Je lui posai aussitôt la question qu me brûlait les lèvres :

"Il a une copine ton pote ?"

"Non ! Me répondit Laure avec un petit sourire."

"Tant mieux alors, j'avais pas envie de faire de cocu !"

"J'ai bien vu qu'il te plaisait ! Tu vas essayer de le chopper à la soirée, tu sais qu'il est puceau ?" Me dit Laure d'un ton complice.

"Je m'en fiche, et non je vais pas essayer de le choper, je vais le faire, c'est tout" lui dis je d'un ton déterminé.

Laure pouffa, et changea de sujet.

Le reste de la semaine passa très lentement. J'attendais avec impatience le Samedi, jour où je pourrai enfin m'envoyer en l'air avec mon beau brun. En attendant, je tâchai de me dégôter une tenue sexy pour la soirée : une robe rose courte moulante et au décolleté large. Je souris en l'essayant : j'étais ultra sexy dedans, et n'aurais aucun mal à le faire chavirer.

Arriva enfin le Samedi soir. Je bouillais d'impatience : je recevais les invités avec Laure, mais j'attendais avec impatience la venue du beau brun. A chaque fois que la sonnette retentissait, je me précipitais vers la porte, espérant l'y découvrir, mais j'étais à chaque fois déçue. Je n'eus heureusement pas à attendre mon futur amant très longtemps : la sonnette retentit, et comme d'habitude, je me précipitai à la porte, espérant que ce soit lui, et miracle ! C'était lui !

Lorsque je le découvris sur le pas de ma porte, en T-shirt court qui moulait son torse parfaitement musculé, lorsqu'il me regarda de ses beaux yeux bleus avec son regard innocent rêveur et tellement craquant, je sentis le désir monter brutalement en moi, et eus une soudaine envie de le plaquer contre le mur et de l'embrasser langoureusement.
Je me retins néanmoins, et jugulant le désir qui bouillonait en moi, je lui dis :

"Salut ! Entre et amuse toi bien"

Il me sourit un peu maladroitement, et entra. Je remarquai satisfaite que ma tenue sexy lui faisait visiblement de l'effet...

La soirée se passait bien, mais j'avais la nette impression que le beau brun m'évitait, contrairement aux autres mecs de la soirée qui me draguaient constamment. Vers minuit cependant, mon futur amant vint me voir et me demanda :

"Katherine je retrouve pas mon pull, tu l'aurais pas mis quelque part"

Je frissonnai d'excitation en lui répondant :

"Oui j'ai rangé toutes les affaires dans la chambre en haut, viens je vais te montrer..."

Je le pris par la main, et l'entraînai à l'étage, j'étais sur-excitée : ça y est je l'emanais dans ma chambre ! J'allais enfin me le taper ! J'étais folle d'impatience !

Une fois dans la chambre, je pris son pull, et lui tendis. Il me remercia et voulut le reprendre, mais je ne le lâchai pas. Puis, brusquement, je l'attirai contre moi et l'embrassai furieusement. Surpris, il me rendit mon baiser, et je savourais ce moment tant attendu. Le désir montait en moi, et mes caresses devinrent plus insistantes, et plus pressantes. A ma grande surprise, il me repoussa :

"Katherine attends, dit il"

"Qu'est ce qu'il y a ? Me fais pas croire que t'en as pas envie, je sais bien que t'attends que ça depuis tout à l'heure !"

"On pourrait nous surprendre répondit il en désignant la porte restée ouverte"

"Je m'en fous, dis je en repartant à l'assaut de mes lèvres".

Il me repoussa une seconde fois et dit :

"Moi j'ai pas envie"

J'étais stupéfaite : c'était la première fois qu'un garçon me disait "non", et il fallait que ce soit celui qui m'avait fait le plus craquer ! Furieuse et frustrée, je quittai la chambre sans rien dire, et redescendis en bas où la fête battait toujours son plein.


Décidée à me remettre de ma frustration, je me servis généreusement de whisky coca et en bus un longue gorgée. Laure vint me voir, et me dit :

"Alors ça été ?"

"Non, il m'a repoussée..."

"A mon avis t'as été trop directe, il est vierge n'oublie pas, ça a pas du être déroutant pour lui de se faire sauter dessus par une fille canon... A mon avis si t'y vas plus doucement..."

"Non, la coupai je, il a envie de moi, il a pas assumé et m'a repoussée, tant pis pour lui, je passe à autre chose."

"Bon tu fais comme tu veux... répondit Laure"

Echaudée et frustrée, j'avais envie et même besoin de me défouler. Mes yeux tombèrent sur Arthur, un mec de mon lycée réputé pour être un sacré coureur de jupon... Il était entrain de danser avec une fille, et je souris : il était temps pour moi de le tester et de voir si sa réputation d'étalon était méritée. En plus ça donnerait une bonne leçon à mon beau brun : me voir draguer Arthur le frusterait et le rendrait sans doute jaloux, lui qui m'avait repoussée alors que je m'offrais à lui.

Je rejoignis Arthur et sa cavalière, virai cette dernière et entamai une danse avec Arthur. D'abord douce, puis nous enchainâmes sur une danse plus sexy. Entre deux danses, nous nous murmurions des choses coquines, nous chauffant l'un l'autre, et faisant monter l'excitation. Tout en chauffant Arthur, je regardai de temps en temps mon beau brun : il évitait soigneusement de nous regarder, mais semblait particulièrement dégoûté et frustré: je m'en réjouissais, ça lui apprendra à me repousser !

Vers 5h du matin, les gens commencèrent à rentrer chez cheux, et je distribuais les chambres à ceux qui restaient. Vicieuse, je fis exprès de donner au beau gosse qui m'avait rejetée la chambre voisine de la mienne : ainsi il nous entendrait Arthur et moi nous envoyer en l'air, ce qui l'incitera à l'avenir à ne plus me repousser...

Une fois dans notre chambre, je poussais Arthur sur le lit, et démara une incroyable partie de jambes en l'air que je vous raconterai une autre fois.
Tout ce que vous devez savoir, c'est que je fis exprès de hurler aussi fort que possible (quitte à simuler) pour que mon beau brun dans la chambre à côté entende tout. Notre baise dura deux heures, deux heures de pur délice pour Arthur et moi, mais qui durent être un vrai supplice pour mon beau brun, condamné à nous écouter nous envoyer en l'air...

Vers 7 heures du matin, Arthur et moi tombâmes épuisés et comblés dans un doux sommeil. Je dormis jusqu'à 13 heures, lorsque je me réveillai, j'étais toute excitée : cette fois j'allais me taper mon beau brun, aucun doute là dessus ! Je réveillai Arthur et lui dis poliment de dégager. Après quoi je m'habillai en hâte et ouvris la porte de la chambre dans laquelle le beau brun dormait : je fus soulagée : il était toujours là, entrain de dormir d'un air innocent. Je décidai de saisir ma chance : je réveillai et virai tous les invités, ainsi lorsque mon beau gosse se réveillerait, nous serions tous les deux tout seuls...

Une fois les invités partis, je rentrai dans ma chambre et enfilai une tenue sexy : un pyjama d'été dont le haut était un petit débardeur qui dénudait mon ventre et mon dos, et dont le bas était un mini short très moulant. Une fois habillée, j'attendis que mon beu brun se réveille...

Il n'émergea qu'à 16 heures, alors que j'étais entrain de faire la cuisine, j'entendis un bruit de pas derrière moi, me retournai et le vis, toujours aussi craquant avec son air mal à l'aise et un peu penaud. Il me donnait envie de lui arracher tous ses vêtements sur le champ. Une fois de plus je me contenais et lui dis :

"Salut, mon grand bien dormi ? Pas trop dérangé par les bruits de cette nuit ?"

Il répondit par un grognement et changea de sujet :

"Je peux rester pour manger ? Je crève de faim."

Je souriai et lui dis :

"Je suis sure que tu n'as pas faim..."

"Bah si, je viens de dire que je crevais de faim..."

"Peut être, mais je suis sure que tu préfererais me baiser..."

Je vis la surprise se dessiner sur son visage : il pensait sans doute avoir laissé définitivement passer sa chance... Je vis qu'il était tenté, mais qu'il restait méfiant : il me dit

"Qu'est ce qui te fait croire que j'ai envie de toi ?"

Je lui souris et lui dis :

"La bosse dans ton pantalon..."

Il rougit de gêne, et semblait toujours se demander si c'était un piège que je lui tendais ou non. Je décidai de le soulager et de lui ôter tout soupçon : je me jetai sur lui et l'embrassai langoureusement. Je le sentis frissoner de la tête au pied, et je compris que cette fois ci il ne me repousserait pas. Une fois la surprise passée, il me rendit même mon baiser avec fougue et m'enlaça puis me massa les fesses.

De plus en plus audacieux, il me porta et m'étala sur la table de ma cuisine, et m'embrassa le cou, puis le décolleté et le ventre. Après quoi il me massa mes seins au travers de mon pyjama. Je poussai un gémissement de plaisir : pour un puceau il était doué ! Après avoir bien profité de ses baisers, je le repoussai, me relevai et l'entraînai dans ma chambre à l'étage.

Sur le trajet, nous nous arrêtions régulièrement pour nous embrasser, dans l'escalier, il me plaqua contre le mur, pour dévorer chaque partie de mon corps qu'il pouvait atteindre, j'en frémissais : le plaisir bouillonait en moi comme de la lave en fusion, j'étais déjà toute trempée et je tremblais d'excitation. Rarement un mec m'avait mise dans un tel état dés les préliminaires, et dire que c'était sa première fois ! Bref la température montait dangereusement entre nous, et je sentais que j'allais passer un délicieux moment avec mon beau brun enfin conquis...

Nous arrivâmes finalement dans ma chambre, et là trop excitée pour me laisser faire, je repris les choses en mains. Je le plaquai contre le mur et lui arrachai littéralement son pull. Puis je lui massai son engin au travers de son pantalon, il lâcha un gémissement de plaisir : c'était sans doute la première fois qu'une fille le lui tripotait. Puis je l'attrapai par le T-shirt et le jetai sur le lit. Je vins ensuite à califourchont sur lui, et lui retira son T-shirt, découvrant un torse musclé et des abdos bien dessinés : je me jetais dessus, et léchai ses beaux muscles, le faisant se tordre de plaisir. De plus en plus impatiente, je décidai de passer au stade supérieur.

Je me levai et achevai de le déshabiller : je retirai son pantalon puis son caleçon, le mettant ainsi à nu devant moi. Je découvrai ainsi sa belle verge d'au moins 20 centimètres gonflée à bloc : cette vue m'excita terriblement.

Je lui dis :

"Attention mon grand, on va passer aux choses sérieuses"

Joignant le geste à la parole, je m'agenouillai devant le lit, et saisit son sexe à pleine main, puis entrepris de le branler, d'abord doucement, puis de plus en plus vite. A ma grande satisfaction, je vis que si ma branelette lui faisait un bien fou (il gémissait doucement), elle était loin de venir à bout de sa résistance : il avait beau se tordre de plaisir sous les assauts de ma main, il était loin d'avoir un orgamse. Il semblait donc plus endurant que les autres puceaux que je m'étais faits. Je décidai de tester les limites de cette résistance : je passai à la fellation.

Je m'attachai les cheveux en queue de cheval, et pris son sexe en bouche. Là encore j'allai doucement au début pour augmenter le rythme progressivement. J'étais partagée entre le désir de le ménager pour profiter de lui au maximum, et entre le désir de le pousser dans ses derniers retranchements pour tester son endurance. Toutefois je me rendis compte que je n'avais pas besoin de le ménager : au bout de plusieurs minutes de fellation, j'étais passée à un rythme élevé qui aurait fait déffaillir de nombreux mecs pas ment puceaux, et pourtant il tenait toujours bon, et semblait encore loin d'avoir atteint les limites de son endurance.

Ravie de cette découverte, je me déchaînai : je le repris en bouche, et entamai des vas et viens à un rythme effréné, allant de bas en haut, innondant son sexe de salive. Puis, je baissai le rythme, avant de réaccélérer pour le surprendre, je le léchai ensuite de haut en bas à plusieurs reprises, finissant régulièrement par lui donner un coup de langue sur le gland qui lui arrachait un cri à chaque fois.

J'étais impressionnée par sa résistance, mais je savais que si je continuais sur ma lancée je l'aurais fini dans une dizaine de minutes tout au plus. Désirant profiter plus longtemps de mon beau brun, je cessai là la fellation, et revins l'embrasser. Puis je lui demandai :

"Tu aimes ça chéri ?
J'adore, t'es super douée
Merci, je sais, et t'as encore rien vu, en comparaison de la suite, ce qui vient de se passer était ennuyeux à mourir.
J'avoue que j'ai du mal à l'imaginer, dit il pour me provoquer.

Je lui souris, et me redressai. Je détachai mes cheveux d'un air sauvage et me déshabillai promptement, me retrouvant nue devant lui : en découvrant mon corps, il eut un frisson. Moi le désir me rendait à moitié folle, je savais que le moment décisif allait arriver, et j'en étais toute fébrile, rarement j'avais été aussi pressée de baiser un mec ! Excité à la vue de mon corps nu, il se leva, sans doute décidé à me prendre sur le champ. Je le poussai sur le lit et vins à califourchon sur lui. Puis je pris son sexe et lentement je le fis entrer en moi. J'eus un frisson de plaisir : sa queue était vraiment grosse, et me faire pénétrer par cet engin était plutôt bon ! J'étais assez satisfaite à l'idée que j'étais la première à en profitier ! J'entamai ensuite des vas et viens en andromaque, d'abord doucement afin de ménager mon partenaire, puis j'augmentais progressivement le tempo. Je me réjouissais de voir son visage se décomposer sous le plaisir que je lui infligeais. Moi même j'eus rapidement des frissons de plaisir qui parcoururent le corps, et je ne tardai pas à lâcher des gémissements. Au bout d'un vingtaine de minutes, je remarquai une fois de plus que mon beau brun était tout ce qu'il y a de plus endurant : il prenait son pied comme jamais il ne l'avait pris, mais était encore loin de l'orgasme. Alors, décidé à lui offrir une première fois merveilleuse, je me déchaînais : j'accélérais le rythme de mes vas et viens, changeait parfois de direction, ondulait du bassin, variait les rythmes pour le surprendre et le rendre fou, lui faisait sucer mon doigt, lui griffait le torse et parfois, je lui donnais une claque. Lui pendant ce temps n'était pas totalement inactif, il me carresait le dos et les fesses, et parfois me massait les seins. De plus plus en plus excité, il osa même à deux ou trois reprises me claquer les fesses, ce à quoi je répondais par une (petite) gifle. Tout en le chevauchant je le regardais droit dans les yeux, et je sentais une vraie complicité naître entre nous. Ca avait beau être sa première, la baise devenait intense, il était à n'en pas douter le meilleur puceau que je me sois fait : on y était depuis une heure et pourtant il tenait encore. A chacun de mes allers et retours, je vibrais d'extase, son gros engin me faisait un bien fou. J'étais aussi perplexe : ça faisait une heure que je me déchaînais sur lui et pourtant l'orgasme semblait loin : combien de temps il me faudrait encore pour venir à bout de sa résistance ? De temps en temps, il se redressait et me dévoirait les seins, ce qui me faisait gémir. A chaque fois, il cherchait à me renverser pour reprendre les choses en mains, et à chaque fois je le rejetais et l'étalais sur le lit. Je finis par lui dire :

"Chuut laisse toi faire mon grand, tu es à moi, et tu ne peux rien y faire, profite de la situation !
Moi je veux bien répondit il entre deux râles de plaisir, mais ça fait déjà une heure qu'on y est, tu fatigues pas ?
Moi ? Tu rigoles, je pourrai continuer comme ça des heures ! De toutes les façons, je te finis quand je veux !
Tu parles répliqua t il, ça fait une heure que j'y suis et je suis sur que je peux encore tenir une heure !
Seulement si je le veux mon chéri !

Et devant son incrédulité, je joignis le geste à la parole. Je contractai mon vagin et fis des mouvements de bas en haut à une vitesse folle. Au premier mouvement que je fis, il poussa un hurlement. Sans lui laisser un seul instant de répit, je reccomençai, une seconde fois et cette fois ci il lâcha un grand "oh putaiin !" en me griffant le dos tant le plaisir était immense. Au trosième coup de bas en haut que je fis nous explosâmes tous les deux dans un orgasme dévastateur qui nous fit nous écrouler épuisés et comblés.

Qu'est ce que je t'avais dit chéri ? Dis je, je te fais jouir où je veux quand je veux !
Ok, ok j'ai retenu la leçon dit il en riant.
T'as aimé ? Demandai je souriante.
J'ai adoré, ça valait la peine d'attendre une nuit. Et toi t'as aimé ?
C'était génial, mon grand, c'était génial.

Nous restâmes un moment étendus l'un contre l'autre, un bon moment. Après quoi il rentra chez lui.

Nous nous revîmes de nombreuses fois après ça, et à chaque fois je pris un pied énorme : rapidement il devint mon meilleur amant, comme je pouvais m'y attendre après cette incroyable première fois !

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