Les Filles De L'Agglo.

Je viens dans cette maison d’agglomération, pour refaire une copie d’un papier que j’ai perdu. J’entre comme tout le monde, comme souvent sans faire de bruits inutiles. Il n’y a pas la fille à l’entrée, celle qui renseigne ou fait directement ce qu’on peut lui demander. Personne dans cette pièce. Je m’assois pour attendre un peu. Je suis quand même étonné de ne soir personne. Normalement deux filles sont de permanence. Je me lève pour regarder les affiches de prochain spectacles, d’annonces diverses. La fille n’est toujours pas, pas plus que le ou la chef du bureau. Je baguenaude un moment. Je regarde par l’ouverture très petite d’une porte. Il n’y a presque pas de lumière: il me semble apercevoir deux corps enlacés.
Etonné je regarde avec plus d’attention. Je ne me trompe pas: il y a bien deux corps, pas tout à fait dans la même position. J’entre dans cette pièce, sans faire de bruit et referme la porte. Cette fois pas de doute: le spectacle m’excite à tel point que je ne contrôle plus ma bite; je bande. Il y a de quoi:
Une des filles, l’employée, est couchée sur un bureau, entièrement nue, les jambes ouvertes avec une autre tête féminine qui semple bien occupée à manger le sexe de l’autre. Elle aussi est totalement nue. Si elle suce son amie, elle ne se néglige pas pour autant: elle se caresse entre les cuisses.
Qu’elles aient envie de baiser, je n’en ai rien à faire, mais là, dans ce bureau, j’en suis plus qu’étonné. Comme je bande j’ai finalement beaucoup de bienveillance. Je me demande comment je pourrai participer à leur fête des sens. Quoi qu’il en soit, je sort ma bite et me caresse lentement. Je suis posté à un endroit d’où personne ne peut me voir.
Celle qui est sur le bureau jouit; c’est visible. L’autre se lève, va l’embraser sur la bouche et tout fort lui demande si elle a bien jouit. Dans un grand sourire, elle lui répond que pour une première fois elle ne pensait pas jouir autant. La première sucée s’assoit et l’autre va se coucher sur le bureau que normalement elle occupe pour tout autre chose.

Après un petit moment, pour s’installer, elle ouvre enfin ses cuisses et donne toute sa féminité à son assistante. Je vois clairement la tête venir s’installer dans le compas des jambes.
Je pense que si c’est une première fois elle sait bien s’y prendre pour faire un cunnilingus. Je n’en peux plus, il faut que moi aussi je participe au festin. Je suis nu en un quart de seconde. Je vais me mêler à leurs amours. Je passe derrière la chaise où est assise la suceuse de chatte. Elle ne m’a pas entendu, les oreilles bouchées par les cuisse de son amie. Je lui prend les deux seins que je caresse. Elle ne réagit pas d’un poils. C’est l’autre qui m’aperçoit et prévient son amie.
Elle l’oblige ainsi à cesser ses caresses linguales. Pour rien, puisque celle que je pelote m’a déjà vu depuis longtemps. Elle sait que je veux participer: elle n’est pas contre. Elle me demande si je ne peux pas la baiser pendant qu’elle continue à sucer. Seulement je ne vois pas trop comment faire si elle a ma pine au cul et sa langue sur le con de son amie.
Elle sait !
Elle recule la chaise, m’y fait assoir, vient sur mes genoux, se plante la bite dans son vagin, très profond, se penche en avant et reprend la moule dans la bouche. Je suis au première loges pour la voir faire. Elle ne bouge pas tellement sur moi. Je suis obligé d’assurer le minimum. Petit à petit, je sens mon plaisir monter. Je ne voudrai pas jouir avant elle.
Je suis dans un conduit étroit, très mouillé, chaud et douillé. Je pense à ce que j’étais venu faire là dans cette maison. Je tiens bien le coup. Celle sur la bureau jouit en tenant la tête de son amie et celle-ci jouit autour de ma queue. A mon tour je me laisse partir. Je ne crois pas que jamais je n’ai autant joui. Nous sommes debout dans ce bureau à nous demander ce que nous allons faire. L’employée qui semble la plus délurée fait une proposition. Au lieu de rester dans la maison de l’agglomération, nous pourrions par exemple la fermer et aller chez elle. Nous sommes tous d’accord. Nous nous rhabillons vite: c’est moi le plus long: les deux filles ne portent qu’une simple robe.
Moins de 5 minutes plus tard nous sommes chez cette fille: je n’avais jamais fait trop attention à elle: elle est brune aux yeux bleu outremer: le reste je l’ai vu en la baisant tout à l’heure: des fesses musclées un ventre à peine bombé. Par contre comme je n’avais jamais vue la seconde, sinon, nue sur un bureau, les jambes ouvertes, je peux enfin la voir dans une circonstance normale: elle est très sexy, le reste: seins, ventre et cuisses ainsi que les fesses, je connais déjà.
Nous nous déshabillons à nouveau: les deux filles commencent sans moi. Elles sont debout, poitrine contre poitrine, bouche à bouche, pubis contre pubis. L’employée, la plus dévergondée, passe une main entre les fesses de sa patronne. Elle se laisse faire, surtout quand la main arrive à hauteur de son anus. Cet endroit pour moi est sacré: j’aime y aller avec ma bite bien droite. C’est pourquoi je vais derrière la plus entreprenante pour lui caresser aussi les fesses. Elle les écartent. Je lui mouille l’entrée de son anus. Elle écarte suffisamment les jambes pour que je passe ma pine dans son cul. Elle dit aimer se faire mettre par derrière: je passe son anus sans problème et quand je suis au fond de son cul, elle accompagne mes mouvements. Elle jouit encore grâce à ma queue.
Sa patronne se doute bien de ce que je vais lui faire. Elle réclame déjà ma bite dans son cul qui pourtant est occupé par les doigts de son employée. Je vais jouer à guichets fermés. Je sais que je pourrai largement le satisfaire: après un premier orgasme je tiens longtemps la queue bandée, même si je jouis plusieurs fois.
Puisqu’elle me veux, je vais vers l’autre fille, je me positionne derrière elle, je me baisse pour être à ma hauteur, le cul est déjà bien mouillé. J’entre doucement, trop doucement pour elle qui donne un seul coups de reins pour que je soit au fond de son cul. Elle continue à embrasser son amante qui lui caresse le clitoris. Double jouissance pour cette fille. Je ne me retiens pas pur jouir dans son cul.
Je suis prêt pour la suite que je veux consacrée uniquement aux chattes.
Je me couche sur le dos, pour les satisfaire ensemble: la patronne vient s’empaler sur ma bite, non pas dans le cul, mais dans son vagin. L’autre vient poser tout son con sur ma bouche: je n’ai que l’embarras du choix. Ma langue passe partout jusque à son cul et son clitoris, en passant par son vagin où je reste une bon moment avec ma langue qui y va et vient. Je sens les crispations caractéristiques de jouissance autour de mon mandrin. Elle reste pourtant avec ma queue dans son ventre. Elle recommence encore les aller et venus que j’accompagne. Par contre ma langue et ma bouche ne chôment pas, j’ai tout un sexe féminin à contenter. Je me régale du goût légèrement musqué, et de la douceur de ce que je suce: tout y est me s’emble-t-il confort. Je mordille même le bouton, chose que je ne fait pas habituellement. De
temps en temps j’arrête, le temps d’une jouissance. Elles se font face et échangent des caresse sur les seins. Elles peuvent s’embrasser aussi
Je jouis encore: les deux filles veulent s’aimer ensemble sur le lit. Parfait ! Elles se mettent en 69. Elles se broutent les minous. Elles oublient de mettre des doigts dans l’autre partie érogène: leur cul. Je palie à ce manque, je met ma bite dans le premier derrière qui est à ma portée. J’entre facilement et pistonne cet orifice. L’autre cul n’a droit qu’à mes doigts. Elles tournent sur elles même, je change d’orifice et de fille. La suite tourne toujours selon le même principe: j’occupe ce qui est vide.
Je ne sait ce qui leur prend: elle sortent un gode de je ne sais où et en me tenant fortement, elle me le rentre de force dans mon cul. Je me débats et ne peux me défendre. Elle m’encule à fond pour me montrer que c’est jouissif. C’est vrai elle me font jouir ainsi en me suçant en même temps.
Je pose enfin la question qui me turlupine: depuis quand elles baisent ensemble et pourquoi ? Réponse très simple: ce matin toutes les deux avaient envie de jouir, la première le dit à la seconde qui du coup lui propose d’essayer de jouir ensemble, ce qu’elles font depuis 8 h300 ce matin.
La prochaine fois que j’aurais à faire dans cette maison de l’Agglo, je téléphonerai avant: je risque de tomber sur une des deux filles pour tirer un coup.