Schöner Abend In Berlin : Ralf
J'essaie de me rendre à Berlin tous les ans. Il est quelquefois difficile de dire pourquoi on aime un lieu, une ville, et Berlin est de ces villes là. Pas beaucoup de faste architectural ancien à part le Gendarmenmarkt et l'ile des musées mais un terrain de jeu extraordinaire pour les plus géniaux architectes contemporains. Il y avait tout à reconstruire.
La première année où j'y suis venu il avait énormément neigé, et cela continuait. Il neigeait même à Roissy et je pensais que mon vol Lufthansa serait retardé voir même annulé, en fait je suis arrivé à Tegel à l'heure prévue. J'avais repéré quels bus prendre pour arriver au studio que j'avais loué. La Eisenacherstrasse était couverte d'un épais manteau de neige. Il régnait un silence étrange, pas de voitures, quelques cyclistes prudents. L'appartement était parfaitement ce qu'il me fallait avec un grand lit et une cuisine suffisante pour ce que je prévoyais : au mieux cuire des saucisses de toutes sortes et un frigo pour l'innombrable diversité des bières.
Grâce à Gayroyal j'avais pris un certain nombre de contacts, repéré les bars gay de Shöneberg, mon quartier. Tous étaient à proximité..
Dès le premier soir, je suis allé au XXX un bar cuir de Fuggerstrasse. La chaleur, la moiteur à l'intérieur contrastait avec le froid vif qui avait succédé à la neige. Au bar, je commande une bière, assis à côté d'un habitué, pas trop déguisé, qui me demande d'où je viens... à ma réponse en baragouin allemand les barmen ont vite compris qu'il valait mieux passer à l'anglais. Finalement on a pu discuter en triangulaire. Un accueil comme ça met vite à l'aise.
Le mec me plaisait bien, mais avec lui, seul l'allemand était possible. J'ai essayé de tourner une phrase pas trop incorrecte pour le lui dire ( totalement incorrecte en fait) mais il a bien compris et m'entraîne vers la backroom.
Nous avons pu goûter par nos salives les bières différentes que nous avions bues. Coincé dans un renfoncement du sombre couloir par son corps, plus grand que moi, sa salive coulait dans ma bouche.
Il a baissé mon pantalon et le slip tendu par ma queue rigide et palpitante et s'est abouché à mon sexe essayant de le prendre dans son entier avec un grande douceur. Ses doigts continuaient de me triturer les tétons. Ainsi je deviens fou et j'ai été obliger de le repousser avec violence pour qu'il ne me fasse pas jouir. Je l'ai tiré vers ma bouche pour l'embrasser encore et à mon tour je l'ai poussé vers le mur. Il s'est laissé faire. Je lui ai tout de suite ôté le haut. Il avait des tétons magnifiques, trois fois gros comme les miens, étonnamment durs pour leur taille. Simplement les voir m'a donné un rigidité d'acier. Je les avais à peine effleurés que dans son souffle haletant s'entendait comme un léger feulement. Pendant un moment je les ai longuement caressés du bout des doigts, de ma paume ouverte, symétriquement, parfois j'en prenais un puis l'autre en bouche, les caressant de ma langue et me retirant en serrant les lèvres. Ses feulements n'étaient déjà plus un murmure. Alors, longtemps, je les ai roulés entre mes doigts, en serrant progressivement tout en tirant un peu. Son buste arcbouté tendant ses seins vers moi me montrait à quel point il en voulait encore.
Soudain il dégagea ses bras baissa son jean, empoigna mes cheveux, me rentra sa bite épaisse au plus profond de la gorge et de suite, dans un grognement sourd, il jouit, encore, encore, longuement dans ma bouche qui se délectait de son lait. Ni lui ni moi n'avions envie de quitter cette position, son sexe au chaud dans ma bouche et ma langue tactile caressant son membre épais qui peu à peu se relâchait.
Il savait qu'il n 'aurait pas grand chose à faire pour mon plaisir. Sa langue avait repris ma langue échangeant le goût de son sperme, ses doigts avaient repris mes tétons, et à mes gémissements il sut quand me prendre en bouche et recevoir mon jus brûlant.
De retour au comptoir, les sourires narquois des clients et des barmen répondaient à nos sourires béats de satisfaction. Il échangèrent quelques plaisanteries en allemand que l'on me traduisit. J'ai cru comprendre qu'il avait dit que j'étais un bon coup. Il ne m'a pas fallu de gros efforts de mime pour lui signifier que lui aussi.
Bis bald Ralf...... Ich hoffe.
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