L'Arrivée De Corinne

Après un footing d’une dizaine de kilomètre sous un radieux couché de soleil, j’avais filé sous la douche, avais savonné mon corps puis l’avais rincé hâtivement. En effet, d’une minute à l’autre, Corinne devait arriver depuis Paris pour passer la semaine sur la côte normande, dans la maison de mes parents, je tenais donc à être prêt pour la recevoir.
Parisienne d’une quarantaine d’année, Corinne était élégante et distinguée, possédant un visage envoutant et un corps de déesse. Du moins, c’était ce que m’évoquait mes souvenirs, cela faisait plus de trois ans que mes parents et elle n’avaient plus échangé leur résidence le temps d’une semaine pour profiter des vacances quasi-gratuitement. La dernière fois, je n’avais que 15 ans.

Quelqu’un avait frappé à la porte. Fraichement habillé et parfumé, je l’accueilli en émoi. Corinne se tenait au pied de la porte, sa silhouette svelte m’attendait. Ma mémoire ne m’avait pas fait défaut, elle portait un tailleur raffiné composé d’une jupe noire qui partait de son nombril pour arriver au dessus de ses genoux. Un chemisier blanc décolleté lui habillait le haut et laissait apparaitre une légère partie de sa poitrine. Son teint éclatant faisait rayonner son visage, elle souriait mettant en valeur sa dentition parfaite et ses lèvres maquillées d’un rouge éclatant. Ses yeux pétillaient et n’étaient que très légèrement maquillés mettant en valeur la clarté de ses pupilles.
Quelle sublime créature !

Elle me fit la bise en n’hésitant pas à me tenir par la hanche libérant en moi une puissante énergie affectant mon entre-jambe, je pris ses valises, gêné par mon érection soudaine, et la fit entrer dans la maison. Je ne pouvais m’empêcher de contempler ses formes discernables sous son tailleur. Déjà mon cerveau était plongé dans un abime d’illusions quant à son corps ôté de tous vêtements. Corinne, remarquant mes regards indiscrets, ne fut en aucun cas gênée par mon comportement importun.



Prétextant la fatigue due aux quelques heures de route, elle justifia vouloir prendre une douche et aller au lit dans la foulé. A peine sa phrase fini, mes méninges ne purent s’empêcher de la concevoir, nue, sous un faible débit d’eau, occupée à se savonner en se frottant le corps… Mon érection n’en fut que plus forte !

Elle alla en effet prendre une douche dans la foulé, j’attendit innocemment qu’elle soit montée à l’étage prendre place dans la salle de bain, puis monta diaboliquement écouter le son de la toilette de Corinne. Plaqué contre le mur, juste à coté de la porte fermée au verrou de la salle de bain, j’écoutais et les yeux fermés, voyais Corinne étaler son savon sur ses seins, ses fesses, et le reste de son corps, remarquais sa mains descendant lentement sur son clitoris, discernais le mouvement de son doigt sur son entrecuisse, percevais le jet d’eau jaillir sur sa vulve, saisissais ses faibles gémissements et découvrais l’orgasme de Corinne.

Sans m’en rendre compte, j’avais descendu mon jeans et mon caleçon, empoigné ma verge, et commencé une série de vas-et-viens avec ma main droite. Le ruissellement de l’eau avait pris fin, Corinne pouvait sortir incessamment, je me rendis donc dans ma chambre, elle devra passer devant celle-ci pour rejoindre la sienne. La porte de ma chambre entrebâillé, je vis Corinne qui traversait en effet le couloir. Une serviette trop courte l’a recouvrait cachant ses seins mais dévoilant son fessier d’une fermeté remarquable malgré son âge. Elle se savait dans une maison occupée mais n’hésitait pas à se promener dénudée.
Aimait-elle cela ?
Savait-elle que je l’observais ?
Voulait-elle que je l’admire ?

Ma mains, toujours agrippée à mon sexe, continuait de coulisser faisant augmenter mon rythme cardiaque, l’image de cette femme, déambulant dans le couloir, gravée dans mon cerveau, j’avais chaud, ma verge était dur et inflexible. Je touchais au but lorsque mon amante entra dans ma chambre, s’approcha de moi et m’embrassa goulument.
Une vague d’énergie s’empara de mon organisme, le parcourant d’un bout à l’autre avant de se concentrer au niveau de mon entre-jambe lors du contact de sa bouche contre la mienne, j’agitais plus que jamais ma bite. J’eu l’impression qu’elle explosa. Les contractions violentes de mon sexe n’en finissaient plus, tout comme sa bouche qui ne voulais pas décrocher la mienne.

J’ouvris les yeux, j’était seul dans ma chambre, ma main et le sol étaient souillés par mon fluide, Corinne demeurait dans sa chambre, personne ne m’avait embrassé.

La semaine ne faisait que commencer…

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