Parfois Il Est Bon De Céder Aux Exigences De Son Homme ...

Depuis notre sortie sur un parking où j’ai cédé à la demande de mon mari pour me faire baiser par un inconnu ma chatte et moi, qui finalement avons aimé ça, réclamons une nouvelle aventure
A mon grand étonnement Denis n’avait pas refusé que je me fasse sauter seule par un inconnu et que je revienne à la maison la chatte pleine de foutre, je suis donc prise a mon propre piège
Le soir, lorsque je rentre du travail Denis me regarde avec anxiété sans oser me demander si ‘c’est fait’, plus ça va plus je suis déterminée à le faire, reste à trouver ‘l’étalon’ qui voudras bien me bourrer sans me poser de questions a la con, je ne veux pas d’un minet bureaucrate, plutôt le genre rugbyman qui me donneras ce que j’attends, du foutre et encore du foutre
Dans la rue je me surprends à poser les yeux avec insistance sur la braguette des hommes que je croise en me demandant ce qu’elles peuvent bien contenir, certains se retournent prêts a faire demi-tour et m’accoster, mais aucuns ne s’y risque, dommage, ça faciliterait le contact
Ça me perturbe jusque dans mon boulot, parfois ma main s’égare sous mon bureau quand ma chatte me démange trop, une collègue s’en est aperçue, ça la fait sourire, d’ailleurs ce soir elle m’a rejointe sur le trottoir avant que nous ne nous séparions pour rentrer chacune de notre coté a la maison

- Je me mêle sans doute de ce qui ne me regarde pas Barbara mais tu es drôlement en manque de sexe toi
- Mais non Sandrine ! que va-tu t’imaginer ?
- Ce n’est pas de ce coté qu’il faut aller, remonte cette rue et tu va ment trouver ce que j’y ai trouvé moi même... a demain Barbara !

Qu’a-t-elle voulus dire ? Cette rue ne mène nulle part… a moins que... il y à un chantier plus haut, qu’est-ce que je risque à passer devant ?
Me voilà sur le trottoir d’en face où je tombe sur un immeuble en construction clôturé par un grillage, du bruit de la poussière et des hommes en tricots de peaux, luisants de sueur qui s’agitent en tous les sens, évidement a ma vue des cris admiratifs et des sifflets accompagnés de mots que je ne peux répéter ici mais qui veulent dire clairement ‘vient, ont ici va te baiser salope ’
Dés que je suis passée je traverse et m’arrête dans un angle invisible d’eux pour réfléchir, c’est sûrement un ou plusieurs de ces mecs qui ont baisés ma collègue …ce n’est pas le dessus du panier mais pour ce que j’en ai à faire ça me conviendrai aussi, j’adore l’odeur musquée de la sueur et leurs muscles roulant sous la peau tannée par les intempéries me fait mouiller
Y‘en a bien un là-bas qui sort du lot…il ressemble a un acteur de cinéma … non, pas Brad Pitt ! ce serai plutôt genre King-Kong, je me suis toujours demandée si dans le film il baisait l’actrice si menue, en tous cas je fantasmais là-dessus en m’imaginant blottie dans sa main et son doigt qui jouait avec ma chatounette ! il manie la pioche comme s’il s’agissait d’un jouet…zut, il m’a vue, tant pis je ne bouge pas, mon dieu, il vient vers moi …

- Vous désirez un renseignement madame ?
- Heuuu non
- Que voulez vous alors ?
- Je vous admire de travailler par cette chaleur
- Je dois gagner ma vie petite bourgeoise
- Ne vous vexez pas monsieur
- Serais tu en manque toi aussi ?
- Moi aussi ? je suis mariée et sérieuse monsieur
- Oui, bien sûr ! y’a quelques jours une nana mariée est venue se faire troncher dans nos baraquements, elle n’avait pas froid aux yeux la cochonne
- Ha ? une petite brune ?
- C’est ça, elle t‘a branchée ? tu en veux toi aussi ?
- Si ‘j’en veux ‘ ? peut-être mais avec un seul homme et ce ne serais pas ici mais dans une chambre d’hôtel
- Ainsi tu es intéressée ? avec moi tu ne seras pas déçue
- Ont dit ça …et une fois nu ont est devant un mini sexe
- Tu vois ce manche de pioche ? hé bien le mien est aussi gros et raide que cette partie là et long comme ça !

L’homme me montre la partie la plus grosse du manche et prés de trente centimètres en longueur

- Une femme normalement constituée ne peut supporter ça ….


- Tu en veux la preuve ?
- Vous déchargez en conséquence ?
- Je suis sevré depuis une bonne quinzaine, je peux te remplir la chatte jusqu’à ce que ça déborde par la bouche ! on me surnomme Raspoutine

J’ai vacillé en entendant ça …Raspoutine, un véritable ravageur de chatte, je me suis accrochée au grillage

- A quelle heure débauchez vous demain soir ?
- Quand tu veux poupée, montre-moi la marchandise à ton tour….
- La marchandise ?
- Oui, ta chatte quoi !
- Je veux bien vous montrer mes cuisses et ma petite culotte vite fait...
- Fait voir ???

Un coup d’œil a droite, un coup d’œil a gauche, je relève ma jupe jusqu’à la taille, ses yeux s’arrondissent il en lâche son outil

- Mazette ! C’est du cul ou j’m’y connais pas ! Approche toi du grillage... huuuuuuuuummmmmmmmm tu mouille salope
- N’entrez pas vos doigts sales dans mon vagin !
- Demain je serais propre comme un sou-neuf !
- Justement, lavez-vous seulement les mains, je veux sentir votre odeur de mâle
- Tu seras servie ! ont fait ça où ?
- A l’hôtel formule-1, juste en bas de la rue
- C’est toi qui paye ?
- Bien sûr, a seize heures ?
- Quatre heures ? ça va, casse toi voilà les autres

Sur le chemin du retour je sautille comme une gamine qui vient d’avoir une bonne note, quand j’arrive mon mari voit de suite mes yeux brillants

- Ça y est ? montre ?
- Non, je n’ai rien fait, mais j’ai trouvé qui … c’est pour demain après midi
- Comment est-il ?
- Boff rien d’extraordinaire, un mec tout à fait banal
- Tu es sûre qu’il va te contenter ? et moi aussi ?
- Je crois que j’aurais ce qu’il faut dans le slip... assez de question je suis troublée
- Tu veux qu’ont baise ?
- J’allais te le demander Denis chéri

Mon mari m’a limée longtemps et tendrement en me questionnant mais je n’ai rien lâché sur le vrai physique de mon ‘bourreau’

- Tu me diras vraiment tout ?
- Bien sûr, c’est l’accord entre nous
- Tu emmène une autre culotte pour mettre sur celle qui sera tachée afin de tout garder dans la chatte ?
- Si tu veux
- Fais-en un minimum hein ?
- Je me laisserai faire sans prendre d’initiatives promis, à présent n’en parlons plus, je vais me laver chéri

Le lendemain nous ne nous somment rien dit de spécial, je suis partie comme d’habitude a la différence que j’ai mis une ‘grande’ culotte dans mon sac, et sur moi un mini string et un balconnet assorti, au boulot je n’ai rien put entreprendre de la journée, je n’ai pas arrêté de regarder les aiguilles de ma montre qui n’avançaient pas, Sandrine s’en est aperçue

- C’est pour ce soir ?
- Que veux-tu dire ?
- Lequel as-tu choisi ?
- Personne voyons !
- Je suis certaine que c’est le grand barbu ! très bon choix, tu vas grimper aux rideaux crois moi ! où ça ce passe ?
- Au Formule-1
- Demain tu vas marcher ‘écarté’ !
- Je ne sais pas si je viendrais travailler
- C’est fort possible que non ! Va-y c’est l’heure !
- Déjà ? j’ai la trouille !
- Tu veux me donner ta place ?
- Sûrement pas ! à demain Sandrine
- Bonne bourre ma chérie, prends en plein la moule !

‘Raspoutine’ fait les cents pas devant l’hôtel, en short avec le même marcel maculé de sueur, a ma vue il arbore un large sourire je vais directement au distributeur de tickets et monte quatre a quatre les marches qui mènent a la chambre, il me suit, ma chatte commence à transpirer, j’entre vite et laisse la porte légèrement entrouverte, lorsqu’il entre je suis en sous-vêtements de l’autre coté du lit, écarlate mais bien décidée à aller jusqu’au bout
Raspoutine referme la porte sans me quitter du regard, sans un mot il se déshabille entièrement, le qualificatif de ‘King-Kong’ n’est pas usurpé, il est couvert d’une toison épaisse, celui de Raspoutine non plus …son membre est encore plus impressionnant que je l’imaginais, lourd, décalotté, il se balance de droite a gauche, a l’horizontale, tel un serpent qui guette sa proie, et la proie c’est moi …

- Inutile de te réfugier derrière le lit je vais te baiser comme tu le mérite, préliminaires ou pas ?
- Le moins possible
- Je vais m’allonger sur ce lit, à toi de faire connaissance avec popaul avant le sacrifice

Il se sert de sa queue comme d’une matraque en frappant son ventre jusqu'à dessus du nombril, puis jambes écartées, les mains sous la tête il s’allonge comme une masse, je m’approche, l’odeur de chairs échauffées monte a mes narines, je m’agenouille prés de la barre déployée sur son ventre, les couilles sont coincées entre les fesses musclées, j’hume cette effluve en fermant les yeux, je me courbe jusqu’à ce que mes lèvres entrent en contact avec la base du morceau
Muuuuuuuuuummmmmmmmmm que c’est boooooooonnnnnnnnn, serré dans mes doigts qui n’en font pas le tour je remonte en déposant mille baisers sur la hampe, son odeur de la journée, chaleur et urine comprise me font perdre la tête, moi qui étais très a cheval sur l’hygiène je ferais n’importe quoi, je tête le gland sous le prépuce, il râle de plaisir, sa main choisi ce moment pour venir tâter mes lèvres déjà suintantes sous mon slip, j’écarte les genoux pour lui faciliter l’intrusion d’un doigt mais ses doigts boudinés n’arrivent pas a crocheter le fond ,il décide de l’enfoncer dans ma chatte qui lui transmet l’humidité, qu’importe, toutes actions me font chavirer de plaisir

- Tu va me faire jouir salope, où veut tu que je décharge ? ne te prive pas, sache que je suis intarissable
- Dans mes bonnets de soutien-gorge !
- Quelle drôle d’idée ! mais soit, je te préviendrais

Je ne lui avoue pas que c’est pour le fantasme de Denis, je veux qu’il lèche le sperme de cet homme sur tout mon corps, dopée par sa docilité j’accélère mes manipulations autant sur la queue que sur les couilles qui roulent dans ma paume

- Prépare tes nichons ça vient …

Je me redresse, abaisse les bonnets, applique la fente du nœud sur mon bout de sein et attend la sortie de la lave, elle est annoncée par d’énormes soubresauts, le sperme sort comme d’une machine a glace italienne, je m’en asperge largement le mamelon avant de passer a l’autre nichon, une fois tari je remets les bonnets en place, la sensation de colle chaude me ravie, j’ai une pensée cochonne pour mon mari qui va lécher tout ça!

- Et maintenant ? Décide-toi vite, je bande dur
- C’est quand vous voulez, je suis prête à me laisser prendre
- Que dirait tu pour commencer de te courber et mettre ta tête entre les barreaux du l’échelle du lit superposé ? ainsi tu ne bougeras pas lorsque je donnerais des coups de reins
- Je vais me sentir prise au piège mais j’assume, je n’enlève pas ma culotte, baissez là a mi-cuisses ça suffira, car je dois la garder pour retenir votre foutre dans mon vagin, c’est pour montrer a mon mari
- Il a de drôles de mœurs ton gars ! il sera servi ! aller en position…montre moi ton cul…houa ! mon zob va se régaler dans cette petite grotte, écart bien les pieds
- Mon slip va craquer …
- Mais non !

J’entends mon amant bourru cracher sur son gland et beurrer mes lèvres de salive, de ce coté là pas de soucis de sécheresse, son bout gros comme un œuf maltraite ma vulve afin d’y faire son trou, il peste sur l’étroitesse de ma cavité et cogne au hasard

- Ça finira bien par rentrer bordel !
- Vous êtes maladroit !
- Tu va voir quand t’en auras vingt cinq centimètres dans le con tu chanteras ‘Ramona’!
- Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaannnnnnnnnnooooonnnnnnn !
- Tu vois ? !!! c’est rentré d’un coup, je te laisse t’habi à ma présence avant de te ramoner comme tu le mérite
- Vous m’avez déchirée !
- Ne commence pas tes jérémiades, bouge plutôt ton cul
- Je ne peux pas bouger
- Et si je te mets un doigt dans l’anus ?
- Au point ou j’en suis pourquoi pas, l’important c’est que vous vidiez vos couilles dans ma chatte
- Je t’en mets une giclée dans cette position et après je te cloue une dernière fois sur le lit
- Faites vite je commence à avoir des crampes
- Et moi je la tire ! hahahahaha !!!

Un véritable pieu me laboure les entailles, lorsqu’il se retire pour mieux m’empaler il me semble qu’il va extraire ma gaine vaginale de mon ventre, heureusement ma chatte s’y fait et ça coulisse de plus en plus facilement, maintenant c’est le plein bonheur je jouis sans interruptions j’en rajoute même pour l’exciter a fin qu’il décharge rapidement
Il me pilonne mécaniquement, lentement, accompagnés de coups de reins brefs, quasi brutaux qui m’arrachent des hurlements de joie et des éruptions de cyprine, c’est un bon amant mais pour femmes habituées a ce genre d’instrument
Un déferlement de sperme fait gonfler mon vagin avant de s’échapper par mes lèvres disjointes, je suis terriblement déçue lorsque je vois ces paquets de jus s’écraser sur le sol, cela feras moins de nectar à déguster pour Denis, dès qu’il se retire j’ai la présence d’esprit de remonter ma culotte
A peine le temps de récupérer et l’homme m’ordonne de m’allonger les bras et les jambes en croix sur le lit, j’ai honte lorsque ma moule fait du bruit en recrachant son trop plein de purée, a tel point que mes renvois ont le goût de sperme, au dessus de moi il s’installe en appuis sur les genoux et les mains sur mes poignets, il regarde entre mes cuisses pour diriger son sexe sans le toucher sur ma fente tellement entrebâillée que le fond du slip ne la recouvre pas totalement

- Je vais t’épingler comme un papillon, ma queue va te traverser et percer le matelas

Je suis trop lasse pour répliquer, je le laisse me pénétrer dans un mouvement ininterrompu, impossible de resserrer les cuisses, impossible d’essayer d’échapper a ce monstre car il me bloque de toutes parts, les gargouillis provoqués par sa pénétration le font rire, pour comble, ma chatte continue de réagir favorablement a ces assauts impitoyables, j’ai encore la force de faire un bilan, mes seins ont leur dose, je suis amidonnée jusqu’au nombril , mon string est a tordre, … il m’en faut dans les cheveux pour que l'expérience soit complètement réussie

- S’il vous plait ?
- Oui poupée ?
- Jutez dans mes cheveux
- Tout ?
- Un peu dans ce qui ne ressemble plus beaucoup a un vagin et le reste sur ma tête
- Sacré veinard de cocu de mari ! il s’en souviendra longtemps !
- Dépêchez vous sinon je vais m’évanouir avant la fin
- OK, je me concentre… ça monte ….
Encore trente secondes …dix, Cinq … eeeeeettttttttt voilààààààààààààà ! , vite relève la tête ….

Il me semble être chez ma coiffeuse lorsqu’elle me recouvre les cheveux de produit colorant, il enfouit son énorme bout dans ma tignasse, je sens la chaleur de sa semence sur mon crane, j’espère ne pas devenir chauve dans quelques jours !
Je serre autant que je peux les cuisses pour retenir tout ce qui reste dans mon ventre

- Passez-moi mon sac s’il vous plait …
- Tient … tu remets une grande culotte sur celle-ci ? ça va cocoter avec cette chaleur ! tu ne prends pas les transports en commun j’espère ?
- J’ai ma voiture …
- Ont se dit a bientôt ?
- Je ne sais pas, ça dépendra de mon mari….
- Tu sais où me trouver si tu veux te faire sodomiser

C’est à peine si je pouvais mettre un pied devant l’autre, le lendemain j’étais courbaturée de partout, Denis est resté a la maison avec moi pour finir sa ‘dégustation’ car nous ne nous somment pas lavés après avoir fait l’amour comme jamais, il n’a pas débandé de la nuit au fur et a mesure de mes aveux

- Tu le revois quand ???????
- Si je le revois il m’enculera ….
- Hier j’ai mis ma main dans ta chatte, la prochaine fois j’essaierais de la mettre dans ton cul

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