Pas Si Trompeur Que Ça
Parfois limage dune pub TV me parvint à la tête. Rigolote !
Femme se rendant dans la cuisine, voyant son mari saffairer bruyamment à toutes allures, dos tourné, en hauteur du bassin ! Suspicion déhanchée ! Rougeur et gêne lempare ! Envie de crier : « C H E R I !!!!! »
Offusquée, entrebâillant sa bouche !
Puis la scène douteuse se dénoua simplement quand son mari se tourna, montrant quil était en train de battre luf !
Ou « What You Expected ! », comme lautre pub dune boisson tonique !
Quel soulagement pour elle. Quelle déception pour le public ! Oahu, baouf ! Beurck!
Brisant ! Rigolote ! Enfin ? Et cela aux heures de grande écoute ! Waouh ! Devant tout le monde, s compris. Quelle « horreur » ! Puis tout de monde séclatent, riant ! Echappé belle !
Quelle leçon peut-on tiré ? Ou doit-on tirer leçon ? Franchement, où va-t-on ? Ses pubs parlent de la consommation
eh ben alors ? Zut !
Nous aussi on a droit de « consommer », partout où ça nous chante. Bon daccord le-restreignons-nous ! Pas vraiment en public ! Pssst
hors vue des âmes hypersensibles qui risquaient le brandir la bible et ses valeurs indéniables.
Mais dites le moi ! En face !
On peut, sans autre, être croyant et ne pas craindre aborder « certaines » pratiques sectaires, tapants porte à porte, de faire valoir une dissuasion marquante. La plus part de temps on se trouve sous la douche ou dans le bain, quand la sonnette retentie. Franchement pas le moment !
Et quand ça arrive pour la énième fois,
il y quoi de péter les plombs. Vite un peignoir, encore pieds mouillé on essaie répondre aux intrus, montant notre bonne éducation. En majorité, ils sont deux. Brandissant un imprimé, faisant laïus biblique.
Je nai pas faits mal à une mouche (sauf celle-là dans de mon histoire « Incroyable mouche Floflo »). Bon, pour une fois ! Mais elle est morte en héro !
Quand deux personnes (femelle-mâle toujours) non invitées, ce sont pointées chez moi pour lixième fois, trempant devant eux, jai stoppé leurs monologues et jai négligemment leurs laissé mentrevoir comme Dieu mavait crée à son égale.
Un peu long, ma préface, non ? Il vaut mieux en rire !
Pas si trompeur que ça
Lhistoire à vous faire digérer, est tout autre !
(A lapproche de mes 19 ans) Un jour jai été emmené à départager mes sentiments équivalents entre ma tante Vicky et ma cousine Kendall. La sur de ma mère était mère-fille, célibataire. La plus grande partie de mes vacances, pendant ma scolarité et mes études se sont déroulés, chez elle dabords, ensuite sa fille née. Dont jai été môme, occasion idéale pour mes parents de me caser deux mois lété. Eux, ils préfèrent de se vautrer sur les plages des Caraïbes, dans le Midi ou lÎle Maurice. Tout a été pénard, la maison belle, les bords de mer proches, sous-bois agréable, une flopée des gars et fille de mon âge. Sportives, fêtards, ma tante très tolérante.
Tes en vacances, profite-en, mais fais attention ! Ne te fais pas leurrer Benny !
Je lécoutais. Dans ce climat de confiance, bien des choses déviantes mont été épargnés.
Javais même droit à une petite éducation sexuelle, purement théorique, visant à méclaircir certaine choses, javais 15 ans ! Kendall avait 13 ans, elle aussi assistait à cette leçon. Contrairement de chez mes parents, le franc parler habitait la maison de ma Tante Vicky. Kendall sortait souvent avec notre groupe adolescents, ma partenaire de danse préférée. Un très bon brin de fille ressemblant beaucoup à sa maman. Après ses 15 ans Kendall est partie à Londres pour poursuivre ses études pour 1 an, 1 an à Berlin et 1 an à Madrid. Jai passé dont plus de temps en compagnie de ma tante.
Sa renommé nest pas à refaire dans ce milieu, elle était placardée en peu partout. Javoue que jétais impressionné. Jai été convié au vernissage de sa dernière exposition à Bordeaux. Jy allais avec un copain qui me conduisit. Je métais mis sur mon trente et un. En route je me suis surpris de regarder le paysage déroulant différemment.
Sans le chercher, jétais en quête des prises de vues, c'est-à-dire que je métais à la place de ma tante. Sur le lieu, en gallérie, le bon monde. Javais du mal à la mettre en place entourées des crétins de ville jouant des mondanités. Son succès était indéniable, heureusement ils sy trouvaient parmi du public de vrais admirateurs amateurs. Je me suis laissé instruire par lun dentre eux, la qualité expressive largement appréciée du peindre, ma tante. Vicky, non seulement, était une peindre estimée, elle rayonnait, sentourait du public intéressé. Après la visite, jai préféré de men aller et laisser jouir ma tante de son succès.
En route jétais songeur, je voyais Vicky sous un angle étrangement joyeux. Je la trouvais, encore plus belle quelle était de nature, bien que son visage soit une sculpture de caractère très bien doté. Ses traits trahissait sensibilité, et puis
Vicky avait un éclat de rire captivant ; avec sa façon, elle mettait tout le monde en confiance.
Entretemps Vicky continuait à peindre. Je mintéressais plus à sa peinture quavant. Je laccompagnais, jessayais le mieux comprendre dans le choix du sujet, sa technique. Cest essentiellement des paysages quelle reproduisit sur la toile. Je me suis surpris, à part le don ce quelle linscrivait avec de ses pinceaux, à découvrir
pas facile à en faire un résumé.
Je la regardais et mon regard était caressant
oui cest cela. Elle semblait être épanouie
moi aussi, proprement dit du paysage de son visage, ses traits, ses petits rides autour ses yeux quand elle riait. Sa bouche mouvait reconnaissable le sujet sur lequel elle savançait à formuler, avant même quelle prononçait sa phrase. Nous nous allongeons de temps à autre cote-à-cote. Regard loin au ciel. Je lui fis remarquer quelques fois limage dune constellation de formation de nuages expressive
une figurine
une perspective intense
Comme pas hasard, nos mains se trouvèrent
complaisants
ensuite Vicky saccoudait, peignant mon visage dune main
me posant un baiser léger sur mon front.
Puis elle reprit sa peinture.
Je me trouvais derrière elle. Comme une force magique, je lui ai embrassé son cou. Un court frisson, hérissant poiles. Vicky se laissait faire, appuyant même sa tête contre la mienne. Elle se complaisait. Puis continua à peindre. Manifestement, elle nétait pas satisfaite de son croquis
changeait contre une toile vierge. Contrairement à ses habitudes, elle commença esquisser un portrait en quelques traits. Deux minutes après, il y avait une ressemblance frappante
elle me peignait moi
? Dos tourné ! Comment fait-elle ?
Elle sallongea un instant après, son visage était
de quelque sorte défaite, ses yeux rivés dans les miennes
Vicky était en attente
de je ne sais quoi
ou peut-être
oserais-je ?
Oui jai osé, comme magnétisé
je mapprochais de ses lèvres. Dabords aux commissures, je caressais sa bouche à peine effleurée
puis elle a prise les devants, sa langue sortait de sa bouche à ma rencontre, désignait mes lèvres, trois, quatre secondes et nos bouche se sont soudées.
Sa beauté, ses gestes, regards, tout ma été si familier
et subitement devenue si désirable !
Sa douceur me nourrissait dune multitude des baiser, tendres, captivants
son visage séclaircissait, bonheur visible
puis la faim, langues qui senlacent
salivants, sauvagement, avidement.
Je me suis aperçu, quinvolontairement ma main se trouvait sur un sein de Vicky.
La gêne mparait, je voulais la retirer, mais elle lattrapait pour la remettre en place. Mieux encore elle défaisait quelques boutons de sa robe dété et guida ma main.
Son visage était rayonnant, mais comme véritable puceau je dépendais son instruction, de sa permission de découvrir. Bien quinstinct mâle voulait me faire avancer, en même temps, il me contrariait.
Ladolescent accueilli dans cette divinité inconnue, non pas purement étrange, mais incommensurable. Perdu dans une immensité inconnue. Vicky était là pour maider, comme elle avait toujours réponse à toutes situations. Toujours avec élégance et charme indéniable.
Belle femme comme elle était, elle avait décidée pour moi de minitier aux choses délicieuses de lamour. Jai eu la permission de leffeuiller pièce par pièce, admirer son corps naturel. Vicky mavait offert cette vue, son superbe magnétisant corps quil montrait ni ses printemps passés ni pur obsession la posséder. Non elle me faisait peindre mentalement et sensuellement sa beauté féminine, par le toucher. Elle me guidait. Malgré ma stupeur de linattendu, qui me figeait quelques parts, Vicky me divertissait à son tour, chose la plus naturelle à suivre. De mes mains elle me découvrit ses plaisirs sensuels. Avec mes mains elle se chatouillait ses intimités, me faisait savoir ses trésors à découvrir. Jadorais me laisser se faire jouir, elle me montrait ses propre sensations, elle me les gravait dans ma tête à tout jamais. Elle men faisait part bruyamment joyeusement, mentrainait, à la rendre folle, comme elle me disait. Vicky me montra de festoyer oralement. Elle sétait ouverte, elle me dirigea à la laper. Ses lèvres étaient un délice, que jétais volontaire à dévorer autant quelle voudra. Jainsi découvert sa fierté pistillaire, lui fait gorger de sang. Elle minstruisit tout ce quil faut, lui emmener comme bonheur. Je suis toujours naïve et puceau, malgré mes léchouilles, réclamées sans cesse par Vicky. Bien sûr la nature me travaillait. Bien sûr les culottes étaient trempes. Que ma trique me faisait mal, emprisonnée. Mais ma soif à servir le pur plaisir de ma tante, était primordiale. Sa mouille mabreuvait et jen demandais toujours de plus. Elle men donnait toujours plus
inépuisablement.
- Viens, on va à la maison ! me disait-elle.
On a vite fait ramassé ses outils et toiles. Vite fais rejoindre la maison. Vite dès lentrée, Vicky mavait déshabillé. Jen étais fière, juste une petite réaction de pudeur. Vicky souriait. Elle ôta ses habilles. Elle me demanda dégrafer son soutien-gorge. Tout sembla si naturel, si complaisant. Elle ôta mes mains lui gâchant mon érection, lui fait bénéficier similitudes traitements aux miens. Son premier touché fait mécrier des « Ho
Ha ? » et à peine ses lèvres sapprochent, jéjaculais involontairement dans son visage.
- Cest normal mon chou. Tu mavais tellement gâtée avant, cest logique que texplose. Chouchou, je me sens déesse dans tes mains et de la langue, cétait absolument divine. Il ne faut pas ténerver.
Elle ramassait mon sperme giclé sur son visage, portant ses doits à sa bouche.
- On recommence depuis le début, tu verras, tu as un instrument divin pour une femme.
Le disant Vicky sempare de ma verge, imprimant des allers-retours avant de lemboucher. La première fois de ma vie je me faisais faire pomper ma tige. Je meffraie au plaisir que cela me procure, suivant dun dictat naturel jappuyais sur sa tête. Je menfonçais dans sa bouche, elle hoqueta, se ressaisisse, je me retire lui demandant pardon. Elle reprend la pipe, cest elle qui me la guide au fond de sa gorge, je sens évincer sa luette. Je lui laisse faire. Encore et encore, Vicky me fait jouir, elle refuse me retirer
je lâche tout dans sa gorge, secoué au long de mon corps. Mes spasmes satténuent que lentement. Vicky se lève, me regarde, elle membrasse, je sens le goût de mon sperme dans sa bouche. Notre baiser durera longtemps, longtemps
Ce dont mes souvenirs, les plus marquants, envahissants mon esprit à tout jamais, fussent sans doute, laccouplement dirigé par ma tante. Dans mon innocence je navais rien à dire. Vicky accomplissait. Vicky lexigeait, le demandait
non, elle me prenait. Je dois dire que les films pornos à notre époque nétaient pas accessibles, aucune éducation sexuelle possible. Juste une courte instruction de vigueur de ma tante, il y a quelques temps. Jai été prise par la tourmente naturelle.
Ma tige, elle la glissait dans son fourreau, jemprunté les allers-retours, comme si javais instruite au préalable. Elle, Vicky, assise sur le coin de la table de cuisine, mon dard disparaissait aussitôt au fond, elle me commandait du plaisir et je lui donné du plaisir. Jai eu du plaisir à plus en finir. Je lui remuais ma bite, elle me répondait avec des gémissements, le plus vite que jallais, le plus saillant étaient ses paroles. Je venais de jouir en elle, elle mordonna à continuer. Oui,
oui, jai vu louragan annonçant un tsunami, ses râles et cries, me stimulaient
et elle part dans un nouveau orgasme encore plus dévastateur que le précédent
Après, je ne pouvais plus, ma virilité toujours au zénith, mais à bout de souffle
En un seul jour jai été initié, jau perdu ma virginité avec ma reine qui mavais élu. Il ne men restait que cinq jours de mes vacances. Ma tante les a embellies, les a dorés, elle sen est dorées autant. Heureusement Vicky avait conscience de peut de jours qui me restaient, nous nous étions rassasiés foncièrement. Puis elle continuait à minstruire sur des relations femmes-hommes, à ce que je sens moins le vide dans mon existence après mon départ.
- Ce fut une merveilleuse aventure. Sache, mon petit loup, tu auras toujours une place dans mon nid. Va trouver ton âme-sur, ça ne changera à rien.
Gouineur
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