Noémie 3
Un beau jour, je reçus un SMS de Noémie, une fille avec qui j'avais déjà couché à deux reprises.
Elle me disait :
"Ca te dit de passer chez moi ? Y a quelque chose que j'aimerasis essayer avec toi..."
Tout en espérant que ce "quelque chose" serait un truc excitant, j'acceptais immédiatement. J'arrivais chez Noémie une heure après son SMS, relativement excité. Noémie me reçut en débardeur noir au décolleté large qui mettait en valeur sa belle poitrine, et en mini short jean, qui laissait voir ses belles jambes et moulait ses belles fesses.
"Alors ? C'est quoi ce truc que tu veux essayer ?" demandai je.
"Viens voir, c'est dans le jardin" me répondit elle.
Je la suivis dubitatif : un truc dans son jardin ? J'espérai qu'elle ne voudrait pas me montrer ses fleurs ! Elle me conduisit jusqu'à son trampoline posé au milieu du jardin, se retourna et me dit en souriant :
"Voilà ! On l'a achété hier avec ma mère il te plaît ?"
"Tu veux qu'on fasse du trampoline ?" Dis je, en essayant de cacher ma déception.
"Y a plusieurs manières de faire du trampoline, dit Noémie d'un ton doucoureux, on peut en faire en sautant dessus l'un à côté de l'autre, ou alors on peut sauter dessus l'un sur l'autre..."
Sans me laisser le temps de réfléchir à ce qu'elle venait de dire, Noémie me tira par le pantalon, m'attira contre elle, et m'embrassa langoureusement. Pris au dépourvu, je lui rendis son baiser de façon presque machinale.
Noémie me poussa sur son trampoline et vint à cheval sur moi. Elle me retira mon t-shirt et me lécha les pectoraux puis les abdos. Après quoi, elle me retira mon pantalon, glissa la main dans mon caleçon, et me branla avec dextérité. Je poussai un gémissement et brusquement sur-excité, je la renversai et l'embrassai sauvagement sur la bouche, avant de descendre sur son cou. Après quoi je lui arrachai presque brutalement ses vêtements, son débardeur, puis son mini short, puis ses sous vêtements.
Très fière d'elle, Noémie poursuivit sur sa lancée, et s'empala sur moi, pour me baiser en andromaque. Elle entama des vas et viens et je vis tout de suite qu'elle avait énormément progressé dans ce domaine : ses coups de reins étaient rapides et puissants, amplifiés par le rebond du trampoline, ils m'arrachaient des cris de plaisir et me brouillaient la vue. Souriant de plaisir et de satisfaction, Noémie dansait sur mon sexe, allant et venant d'avant en arrière. Au fur et à mesure qu'elle accélérait ses mouvements, nous commencions à rebondir de plus en plus, jusqu'à décoller carrément du trampoline. C'était une chevauchée absolument fantastique, à chaque coup de rein de Noémie je poussais un cri de jouissance, et lorsque nous attérissions après qu'un de ses coups de rein magistral nous ait fait décoller, le plaisir était telle que des points lumineux dansaient devant mes yeux. Noémie maîtrisait totalement la situation et semblait en tirer un grand plaisir : tout en me baisant elle se tenait les cheveux, me faisait sucer son doigt, me griffait le torse, se penchait pour m'embrasser, changeait de rythme, allant parfois lentement pour me faire languir, parfois rapidement pour me faire défaillir. Bref elle se débrouillait bien mieux que d'habitude !
Je décidai néanmoins de reprendre les choses en mains : au moment où nous décolions du trampoline, je la renversai en plein vol.
Au bout d'un moment, je la retournai et la pris dans ma position préférée : la levrette. La tenant fermement par les hanches, je la pillonnais, lui administrant de violents coups de reins, qui faisaient grincer le trampoline et gémir Noémie, en même temps, je lui claquai les fesses ou lui tirai les cheveux pour la stimuler et lui rappeler qui était le patron. Tout en subissant mes coups de butoir, Noémie se servait du trampoline et de son rebond pour faire d'amples mouvements : ainsi elle ajoutait encore au plaisir que nous recevions tous les deux. De temps en temps je variais le rythme : je cessai d'aller vite pour la baiser lentement et profondément, jusqu'à ce qu'elle me supplie d'aller plus vite, alors je me déchaînais. Au bout d'un moment, alors que je la baisais à une vitesse folle, et que Noémie criait carrément tout son plaisir d'être ainsi baisée, nous sentîmes l'orgasme approcher. J'accélérai alors l'allure pour le sprint final, mais Noémie me cria :
"Stop arrête s'il te plaît, je veux que tu jouisses sur mon visage !"
J'eus du mal à m'arrêter aux portes de l'orgasme, mais je m'exécutai quand même.
Après quoi, ivre de plaisir, Noémie et moi nous effondrâmes côte à côte sur le trampoline.
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