La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 422)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°421
Libérés du joug du Médecin, e6934MDE et compelled MDE se dépêchèrent de regagner le bureau de Monsieur le Majordome.
- Pourquoi portes-tu de telles marques sur ton fessier esclave e6934MDE ?
- Monsieur le Médecin ma puni Monsieur Walter, il ma donné la cravache parce que je parlais à compelled MDE et lui donnais quelques informations sur les règles et le fonctionnement du Château.
- Combien de coups as-tu reçu ?
- Dix coups de cravache Monsieur le Majordome, puis jai été sauvagement sodomisé
- Je te porterai vingt autres coups supplémentaires dans quelques minutes, pour bien te faire comprendre quun esclave se doit de respecter strictement le règlement ici imposé. Mais pour lheure, je veux que tu installes compelled MDE ici, en posture « muezzin » !
- Bien Monsieur Walter.
Walter avait désigné lemplacement précis : Le centre dun immense tapis persan en soie, dune très belle facture, dont le médaillon central était polygonal et richement décoré. Sans attendre e6934MDE attrapa le bras de son congénère le fit avancer de quelques pas et le posta exactement sur le lieu indiqué et lui montra la posture : Dabord à quatre pattes, puis les épaules et le front au contact du sol, les coudes pliés, les mains jointes, lune sur lautre en avant de la tête, les reins cambrés, cul en lair, génitaux bien exposés, lécart des genoux, identique à celui des coudes. Walter, sans mot dire, appuya son pied droit sur les lombes de compelled MDE pour lui faire comprendre que sa cambrure devait être plus encore accentuée. Ainsi prosterné, compelled MDE ne bougea plus, y compris lorsquil sentit une main glisser au creux de son sillon anal, encore moins lorsquun un doigt tenta de pénétrer et sintroduire dans son anus. Le Majordome ne brusqua pas cet orifice trop serré, prit une noix de lubrifiant et lappliqua consciencieusement sur ce trou offert.
- Respectons les prescriptions médicales, sans trop perdre de temps mon chien, ton cul doit souvrir rapidement pour pouvoir accueillir au plus tôt le vénéré sexe du Maître et toutes les queues quIl souhaitera te voir enfiler, pour que tu deviennes, une vraie chienne et en tout point une bonne salope !
Puis, Walter interpella e6934MDE, lui demanda de poser ses mains sur les fesses tendues de compelled MDE, de sincliner et de tendre son cul pour recevoir la punition promise. Il lui asséna les vingt coups sans état dâme, avec force et détermination. Difficile pour e6934MDE de ne pas laisser échapper quelques gémissements, lorsque la cravache cinglait à la volée ce postérieur déjà martyrisé. Sitôt la sanction terminée, e6934 MDE, prit la posture « muezzin » devant les pieds du Majordome, ne bougea pas pendant de longues minutes, puis lorsquun claquement de doigts de Walter retentit, alors il déclama haut et fort :
- Daignez accepter toute ma gratitude Monsieur Walter, cette punition était juste et méritée. Puisse-t-elle me servir de leçon pour éviter toute récidive, je vous en remercie sincèrement Monsieur Walter.
Un autre claquement de doigts retentit, e6934MDE se redressa et prit immédiatement la posture dattente. Au même moment, compelled MDE sentit le spéculum ouvrir ses chairs un peu plus encore. Le Majordome venait de faire un quart de tour supplémentaire à la molette de linstrument.
- Debout chienne ! ordonna Walter à celui qui était toujours prosterné à ses pieds.
compelled MDE eut du mal à se redresser avec cet engin dans le cul ; drôle de sensation pour lui, de se sentir ouvert, les sphincters contraints.
- Je te laisse chienne, dilate toi bien, étire bien tes couilles, travaille toi correctement
Très vite la posture devint difficilement supportable, des crampes survinrent rapidement sur ses cuisses, sur ses hanches et à chaque fois quil tentait de bouger il sarrachait un peu plus encore ses petites couilles. Pourtant il resta plus dune heure ainsi, seul, à méditer sur son triste sort. Mais paradoxalement, malgré la difficulté, il se sentait heureux de vivre intensément ce temps pénible. Il ny trouvait pas de plaisir à proprement dit, mais il savait que leffort quon lui imposait était bon pour sa condition desclave en devenir, il était bon pour lui de se sentir ce quil était, juste ce quil était, et pour ce quil était fait. Cependant, il ne fut pas mécontent dentendre enfin la porte du bureau souvrir. Il reconnut immédiatement la voix de Majordome, par contre pas lautre. Un dialogue courtois et très respectueux était engagé entre les deux hommes. Il entendit dire par Walter :
- Oui Maître, bien sûr, les consignes ont été données aux deux gardiens selon vos ordres.
Compelled MDE comprit immédiatement que Monsieur le Marquis dEvans venait dentrer
Il se mit immédiatement à trembler. Mais pourquoi tremblait-il ? Tout son système nerveux venait de se mettre en branle, une puissante montée dadrénaline lenvahissait subitement. Etait-il prêt à se trouver face au Maître ? Tremblements, gorge nouée, tachycardie
compelled MDE nen menait pas large
Ses crampes avaient subitement disparu, par contre il ressentait monter une forme de déséquilibre intérieur qui amoindrissait ses défenses naturelles, une fièvre le submergeait à lui en faire perdre sa capacité dêtre, mais qui mettait en évidence tout ce qui sommeillait dans son inconscient. Mais ny avait-il pas dans ses craintes, son histoire qui se mettait en place et simprimait dans sa chair ? Un corps qui montrait sa vulnérabilité, indépendamment de sa volonté, une opportunité sans doute pour prendre conscience de cette phase féconde, cette seconde vie pour laquelle il était fait et que lui offrait ici, maintenant, Monsieur le Marquis dEvans. Le Maître et Walter ne semblaient guère se préoccuper de ce slave en déroute. Ils continuaient à dialoguer entre eux, sans faire cas de cet humble et miséreux esclave ligoté à leurs pieds. Tous deux sétaient assis sur deux fauteuils Voltaire confortables, bien rembourré et à hauts dossiers inclinés, facilitant la position du repos. Monsieur le Marquis expliquait quil sétait consacré un long moment à lécriture de son Odyssée de la Belle Hélène et que plusieurs chapitres pourraient être postés da Sa Grande Bibliothèque dici quelques jours.
- Tiens mon cher Walter, apporte-moi deux doigts de Porto !
Et leur conversation reprit, Le Maître sinquiétant du travail à faire dans les prochains jours sur lensemble de Son Domaine et plus particulièrement de ces deux grands arbres morts à abattre dans les prochains jours, qui risquaient à tout instant de tomber sur une des granges près du pavillon de chasse. La voix du Maître était calme, posée, sereine voire rassurante.
(A suivre
)
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