Ta Meilleure Amie
Ta meilleure amie !
Mireille,
Ah ! La merveilleuse soirée de bal : je tai rencontrée. Immédiatement nous avons vécu un coup de foudre réciproque. Jai lu une promesse dans tes yeux. Angèle, ta meilleure copine, a remarqué notre rapprochement. Du coup elle ta envoyé un autre cavalier pour nous éloigner, puis hardiment est venue minviter. Notre conduite avait été sage. Avec elle les choses prirent une autre tournure. Dès les premiers pas elle colla ses hanches et son ventre contre moi, à chaque occasion elle frotta sa poitrine de garce de 20 ans délurée, contre ma chemise pour mallumer. Ses tétons durs et pointus étaient une révélation excitante.
Elle me serrait de près, emprisonnait ma jambe entre ses cuisses, me chauffait des pieds à la tête et ses yeux provocants ne lâchaient pas les miens, me lançaient des éclairs et me défiaient. Mon sang malgré moi bouillonnait et mon érection subite lamusa. Sans vergogne elle accentua la pression de son bassin sur le bas de mon abdomen en faisant basculer son dos en arrière pour mieux mobserver et lire dans mes yeux le trouble où elle me plongeait. Je transpirais, cela lui permettait de me plaisanter sur la vivacité de mes sentiments et la qualité de mes réactions physiques.
- Hé, ben, dis donc, tu flambes au premier contact ! Tu démarres au quart de tour. Quel joli étalon. Tu es un amour de garçon, bienvenue dans notre troupe.
Quelle garce ! Elle poussa le culot jusquà me demander si je tavais draguée en te serrant daussi près.
Par bonheur elle était entourée dune cour nombreuse dadmirateurs, de soupirants impatients et devait entretenir leur flamme, attiser leurs désirs pour les conserver dans son sillage parfumé au « Suivez-moi, monsieur. » Sûre davoir su me faire entrer au rang de ceux qui souhaitaient lui faire lamour, elle décida de me faire languir un peu. Cétait une technique éprouvée. Elle croyait minspirer de la jalousie en me laissant tout excité et chaviré pour aller se jeter dans les bras dun autre et lui procurer les mêmes sensations sous mes yeux.
Je retrouvai mon sang froid, nous échangeâmes un sourire, je pris le courage de tinviter à danser. Ton corps gardait la distance, ta présence me calmait. Jétais bien avec toi, sans tourment de la chair, mais serein, heureux. Je sus précéder en tinvitant rapidement les tentatives de ta copine, qui aurait voulu exciter la jalousie dautres prétendants en me conduisant sur la piste. Ce jeu maurait transformé en hochet, ou en cape rouge pour les taureaux quelle faisait baver de désir. Toi et moi avons terminé ensemble les dernières danses, et tu semblas lapprécier. Ton baiser chaste lors de notre séparation et ta promesse de me revoir memplirent de joie pour toute la semaine.
Lorsque, au hasard dune rencontre, Angèle mapprit que tu me donnais rendez-vous chez elle le dimanche suivant, je fus submergé de bonheur. Je me souvenais de ton baiser si tendre, jen espérais dautres, cétait le début plein démotion dune magnifique histoire damour. Fou de bonheur, jarrivai un peu avant lheure pour ne pas manquer ce premier rendez-vous avec toi. Angèle ouvrit la porte, vêtue dun peignoir léger dont les pans sécartaient en haut ou en bas au gré de ses mouvements. Par léchancrure du col je voyais tantôt larrondi délicieux dun sein ferme et bien plein, tantôt une aréole sombre surmontée en son centre par la pointe du sein. Dans le bas, ses jambes en mouvement dégageaient la plénitude adorable des cuisses fuselées. Je découvris même à plusieurs reprises la tache sombre de son pelage pubien. Jen eus le souffle court. Mais avec une parfaite désinvolture Angèle me déclara en me fixant dans les yeux pour y lire mon trouble ou pour mhypnotiser :
Excuse-moi, je sors du bain, il faisait chaud, je transpirais et les odeurs de sueur mincommodent.
Enfoncé dans un fauteuil confortable je reçus la caresse de sa chevelure soyeuse et dus respirer lodeur enivrante de son cou avant de la complimenter pour la qualité de son parfum. Je la connaissais à peine, je la savais capable de me tenter, de me frôler adroitement pour éveiller mes sens, capable de samuser à provoquer une érection. Mais elle avait été lange annonciateur de la bonne nouvelle, par elle javais appris ton désir de me revoir. Jétais naïf, pas méfiant : Jétais décidé à passer sur son exubérance et sa trop grande familiarité parce quelle me permettait de te rencontrer dans des conditions idéales : dans sa maison, en tête à tête. Personne au salon, personne dans la maison, vous aviez bien choisi le lieu et le moment. Son parfum capiteux, la chaleur de son accueil, le spectacle de son jeune corps menvoûtaient et je ne regrettais pas vraiment ton retard. Angèle me servit un double whisky pour me faire patienter. Tu ne tarderais pas. Cétait mon jour de chance. Fort innocemment elle se pencha pour me remettre mon verre. Ses deux seins bronzés firent un bond hors du peignoir, sous mon nez. Jen fus ému jusquau plus profond de mon être. Devant mon visage congestionné, la somptueuse naïade juste sortie du bain éclata de rire :
Mon Dieu, on dirait que tu nas jamais vu une poitrine de fille ! Eh bien, regarde, profite du spectacle puisque le hasard et les lois de la pesanteur toffrent cette vue.
Le hasard et la pesanteur ou la malice de leffrontée ? Aujourdhui je suis certain quil sagissait dun calcul de la belle. Elle tissait sa toile et ma naïveté lui donnait tous les atouts.
Tu les trouves comment ?
Je bafouillais ; ému, surpris par tant daisance et de simplicité.
Beaux, très beaux !
Touche-les ! Ne sont-ils pas doux et de belle forme ?
Je navais rien dun expert, je devins chèvre et balbutiai, une main tendue vers lopulente poitrine, incapable de bâtir une dissertation sur le sujet.
Oui, ils sont doux et de belle forme. Euh !
Bien, tu apprécies, merci
Touche les pointes et vois. Quen dis-tu ?
Elle avait saisi ma main, placé son téton entre mon pouce et mon index. Je devais le faire rouler entre mes doigts. Je le sentis durcir et je le vis sallonger. Elle me dévisageait, incrédule.
Oh ! Le timide. Tu nas donc pas de sur ? Pauvre garçon. Je vais en faire office. Lautre
Oui, touche lautre sein : ce nest pas un péché. Un homme doit voir, toucher, émouvoir. Cest naturel.
Je menhardis et pris le second qui salua ma caresse en raidissant à son tour. Je les faisais rouler et mamusais à les voir grandir à mon contact.
Les filles adorent ces caresses. Tu devras faire la même chose avec Mireille, elle aimera, crois-moi.
Ce retour à Toi, chère Mireille, était une ruse habile. Elle me rappelait que je tattendais, que je devais rester et lui permettait de lutter contre un éventuel désir de fuite inspiré par ma pudeur. Comment savait-elle que ce type de caresse te plairait ? Et jeus honte davoir complètement oublié « Mimi ». Je lâchai prise et allais mexcuser.
Ah ! Non ! Ne tarrête pas en si bon chemin. Si tu délaisses ainsi ta petite amie, tu la décevras. Ton apprentissage est à faire de A à Z. Tu as de la veine de mavoir rencontrée. Ecoute mes conseils : Tu dois déposer des baisers sur les seins. Allez, pose ta bouche ! Oui, un peu partout, cest bon. Naie pas peur
Et là, surtout sur laréole et le téton
Voilà, tu comprends vite, ouvre les lèvres et suce légèrement. Brrr, encore
plus fort
Hoooooooo, que cest bon. Tu es doué
Et lautre maintenant.
Cétait un ordre plus quune prière.
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