La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 423)

Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°422 –

A cet instant précis, Compelled MDE, trembla, mais il était déterminé, son esprit tout entier était accaparé par ce désir de soumission. Il ne voulait être rien d’autre qu’un chien-soumis MDE qu’un esclave appartenant au cheptel de Monsieur le Marquis d’Evans. D’ailleurs il pensa : "je suis compelled MDE", comme d’autres auraient dit : "je suis Charlie". Tous ses sens étaient en éveil et lorsqu'il entendit les pas du Maître derrière lui, il se concentra un peu plus, son désir sincère d'obéissance omniprésent jusqu'ici, se consolida et s'affirma un peu plus encore. Il sentit Cette main glisser sur sa poitrine, Ses doigts attr ses tétons et les lui pincer, doucement d'abord, plus fortement ensuite. Son excitation monta alors. Il sentit sa nouille s'agiter timidement. Le Maître lui posa un collier de cuir autour du cou, le ferma avec un cadenas, acte hautement symbolique, compelled MDE le perçut bien comme tel. Le Maître Lui dit qu'il n’était plus qu’un esclave, son esclave MDE ! Première fois que la voix du Maître s’adressait à lui directement. Une voix ferme et déterminée, cassante mais pas blessante, des mots forts, clairs et précis, sans ambiguïté :
- Tu n'es qu’un chien soumis répondant au nom de compelled MDE, un simple esclave parmi Mes esclaves, montre toi fier et digne d’intégrer Mon Cheptel !
Ses mains furent attachées dans le dos dans des bracelets cuir, confiant compelled MDE se laissa faire sans crainte ni peur. Le Maître prit alors possession de son esclave, d'abord le caressa, le palpa, le fit pencher en avant, tête posée au sol, lui écarta les fesses, s'intéressa de près à son trou, lui attrapa la queue, la lui branla, lui tripota les couilles sans prévention particulière. compelled MDE se sentit alors telle une bête de foire, comme s'il était là pour être acheté après un long examen anatomique... Tête toujours posée au sol, en position de levrette, compelled MDE s'écarta un peu plus encore, offrit son entre-jambes laissa la main du Maître le branler encore.

Un ordre clair et précis tomba

- Tu n'as pas intérêt à éjaculer le chien !

compelled MDE, le savait, il n'était pas là pour prendre du plaisir mais au contraire en donner au Maître. Seul ce désir le hantait. Peu après, il sentit une chaussure pointer près de son visage, un ordre tomba sèchement :
- Lèche !

Sans hésiter une seconde, avide, sa langue passa sur ce mocassin de cuir. Il reçut quelques compliments :

- C'est bien, tu es un bon chien.

compelled MDE ressentit alors un élan de fierté... S'entendre dire qu'il était un bon clebs l'excita, sa langue redoubla d’attention. Peu après, il fut attrapé par son collier et redressé ainsi. compelled MDE n'était plus qu'un pantin et cette idée lui plut. Totalement abandonné, il se laissa guider sans à priori, il appréciait de se laisser conduire, quelle que soit la méthode utilisée. Le Maître lui ôta son bandeau, lui laissa voir quelques instants son visage. compelled MDE, toujours tenu fermement par le collier, fut attiré par ce regard Dominant, à la fois sévère et bienveillant, ascétique et complaisant, exigeant mais aussi compréhensif et conciliant, un regard d’un bleu intense. Mais très vite il se fit reprocher de regarder trop longuement le Maître, il reçut deux paires claques, il baissa les yeux dans l'instant pour montrer son obéissance. La tête de nouveau posée au sol, il resta là, prosterné quelques instant puis dut lécher cette fois-ci le pied nu du Maître. Sa langue s'égara de nouveau et glissa entre les orteils. L'autre pied du Maître écrasa au sol le visage de compelled MDE, un sentiment fort d'impuissance l'envahit : N'être plus rien, (comme si on lui demandait d’être quelque chose !), si ce n'est d’être qu'un esclave MDE à disposition. Il comprit alors toute la puissance, la force, la détermination, la volonté de Domination de Monsieur le Marquis d’Evans.

Saisi de nouveau par le collier, Le Maître exigea qu'il se redresse, qu'il se mette à genoux.
Walter tendit un feutre indélébile au Maître. L’esclave vit s’inscrire sur son pubis glabre trois initiales : MDE Beau tatouage éphémère que l’esclave reçut comme un cadeau. Un jour viendrait sans doute, où il serait tatoué définitivement, comme son congénère e6934 MDE, mais il restait encore pour lui tant de chemins à parcourir. Tête cette fois-ci posée sur un des fauteuils Voltaire avancé par le Majordome, toujours à genoux, reins cambrés, compelled MDE laissa accès de nouveau à son intimité. Son cul fut fouillé par un doigt, puis dans l’instant, sitôt le doigt retiré, un gode le pénétra. L'objet le blessa un peu, mais très vite il prit place dans son anus et ne le gêna plus. Le Maître redressa la tête de compelled MDE, posa son auguste fessier sur le fauteuil et lui tendit son sexe.

- Montre-moi comment tu suces, fais-moi bander, chien !

Pris par tous les trous, parfaitement avili, compelled MDE prit un plaisir immense à happer et à sucer ce vénéré phallus, sa bouche s'activa et le sexe du Maître se redressa rapidement, il s'engouffra profondément dans cette bouche servile. Les Mains du Maître attrapèrent la tête du chien et par des mouvements de va et vient lui imposèrent un rythme soutenu. Avide, l’esclave se laissa conduire, avalant parfois le membre du Maître jusqu'à la garde, parfois le gardant enfoncé en lui avec bonheur et délectation. Mais peu après, Le Maître se dégagea de cette bouche et frappa le visage de compelled MDE, avec son sexe dur et érigé ! Sans laisser le moindre répit à compelled MDE, Le Maître lui ordonna de s'installer à plat dos sur le parquet ciré, lui fit mettre les mains sur la tête, lui posa un bâillon-boule dans la bouche, lui remit le bandeau sur les yeux, et lui exigea d'écarter les cuisses. Il joua quelques instants encore avec la queue tendue de son clébard, puis décida de lui poser des pinces sur les tétons, pinces agrémentées de petits grelots, tous estampillés des nobles initiales ‘’MDE’’ ! Le gode fut enlever du cul de compelled MDE sans le moindre ménagement, Walter lui essuya la marge anale, provoquant chez l’esclave un ressenti fort humiliant.
Toujours très actif, Le Maître prit un cordage, bonda sommairement compelled MDE, jambes relevées sur la poitrine, cul bien offert, puis l’encula d’un trait, sans autre préambule ! compelled MDE, contraint se donna telle une belle salope ! Cette fois-ci, Monsieur le Marquis d’Evans le possédait totalement, compelled MDE devenait sa chose, son objet, il lui appartenait corps et âme. La sodomie fut longue comme si Le Maître voulait bien faire comprendre à ce chien sa désormais ‘’slavitude’’, il lui donna encore et longtemps de grands coups de boutoirs profonds, puissants, le ramona avec une virilité impressionnante, le pénétra furieusement jusqu’à ce qu’Il le remplisse de sa divine semence. Cette fois-ci, compelled MDE était à Lui. Monsieur le Marquis d’Evans se retira. A genoux, chevauchant le chien, il ôta le bâillon et glissa sa queue dans la bouche de compelled MDE.

- Décrasse-moi maintenant, salope, nettoie ma noble verge et ne laisse perdre aucune de mes intimes et divines sécrétions…

compelled MDE exécuta avec bonheur et délectation, il avala ce membre encore tendu, glissa sa langue sur ce gland frémissant, le pompa et l’aspira goulûment. Puis au bout d’un long moment, le Maître se redressa pour mieux s’accroupir sur le visage de son chien. Il sentit près de sa bouche l’anus du Maître l’effleurer.

- Lèche ! Lèche-moi bien le cul, salope !

Sa langue glissa alors sur cet intime anneau en cherchant même à s’y introduire. compelled MDE heureux, excité, bandé était le plus heureux des slaves, enfin il vivait ce qu’il attendait depuis toujours… compelled MDE détaché, mais toujours un bandeau sur les yeux, dut se mettre à quatre pattes. Impossible pour lui de voir une gamelle d'eau posée sur un petit tapis près de lui. Il la renversa. Le Maître lui fit constater son manque d’attention et son manque de rigueur.

- Tu n’es qu’un bon à rien, chien ! Lui dit-il avec un peu d’irritation froide

Il lui posa un pied sur son visage pour le lui écraser sur ce tapis trempé.


- Tu vas être puni, on ne souille pas un tapis de cette valeur sans en être puni… reprit-il calmement.

compelled MDE présenta ses plus humbles excuses, mais Monsieur le Marquis n’en resta pas là. Avec un vice certain, Il exigea à ce chien honteux, le nombre de coups qu'il devait immédiatement lui appliquer sur les fesses. Hésitant, compelled MDE annonça timidement vingt coups, ne sachant pas trop où placer la barre... Le Maître lui indiqua que lui en aurait donné dix seulement, mais pour satisfaire son chien, ce serait bien vingt coups qu’il recevrait. compelled MDE alors en levrette, présenta son fessier au Maître et décompta chacun des coups portés en le remerciant systématiquement à chaque coup. Le Maître n'eut guère de pitié, il frappa son esclave sans complaisance. Malgré ça, compelled MDE trouva le châtiment totalement fondé et accepta la correction sans rechigner. La gamelle de nouveau remplie, compelled MDE dut la boire à quatre pattes, cul en l’air, tel un bon clébard. La posture donna sans doute des idées à Monsieur le Marquis... Il interpella son Majordome :

- Mon cher Walter, ce cul offert et bien chaud n’attend qu’une seule chose, d’être sailli… alors, Je te l’offre !

(A suivre…)

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