Un Essai De Baise En Trio
Après avoir mené une vie de patachon, je me suis rangé après avoir rencontré Paulette. Elle est grande, relativement potelée, sans plus, comme jaime bien les femmes. Ce qui ma fait tomber sous le charme se sont ses seins. Jai bien du mettre 2 mois avant de lembrasser. Pourtant daprès les on dit, elle nétais pas si difficile que ça. La réalité a fait que jai bataillé dur pour enfin lui caresser la poitrine, un soir dans un café où nous prenions une boisson. A partir de là tout sest accéléré. Au bout de quelques jours nous avons fait lamour. Elle tenait parfaitement sa place: elle aimait bien ça et me le demandait souvent en cas, rare, doublis de ma part. Et puis, un jour, nous avons rencontré et monsieur le maire et monsieur le curé.
Notre union devenait de plus en plus axée sur le plaisir.
Quand nous faisions le grand soir, cétait pour nous une véritable union de deux corps et deux recherches de jouissance. Cest toujours elle qui commençait: le soir en rentrant du travail, toujours après elle, je la trouvait nue pour maccueillir. Enfin pas tout à fait, elle portait une sorte de blouse translucide. Je pouvais distinguer son corps sans en voir les détails. Je connaissait parfaitement tous les coins et recoins et sa tenue me donner envie de les revoir tous. Elle venait se coller contre moi, membrasait et prenait ma bite en main pour la masser avant de la sortir. Elle ny faisait pas grand-chose, elle faisait descendre mon prépuce pour que je bande: elle arrêtait là sa privauté. Me prenant par la main elle me menait vers le divan et non dans la chambre. Une fois assis, elle prenait cette fois ma bite dans sa bouche et commençait toujours une bonne fellation quelle cessait quand elle sentait que jallais jouir. A ce moment là, elle venait coller son pubis contre ma bouche, écartait ses cuisses pour que je puisse passer ma langue sur son bouton, bien gonflé par le désir. Elle le décalottait pour que ma langue puisse le sucer.
Cette fois jétais le maître: je pouvais allais où je voulais à une seule condition: quelle ai du plaisir. Je recommençais à lui lécher le bouton, et dès une autre jouissance, je changeais: je lui mettait deux doigts dans le vagin et un autre, de la même main, dans lanus. Les deux doigts allaient à la même vitesse. Elle se plaignait, sans arrêt. Elle jouissait toujours de cette façon. Mon seul soucis était ma bite qui commençait à me faire mal à force de bander, je commençais à me branler: jaimais le faire devant elle, comme elle le faisait souvent devant moi.
Jarrêtais toujours avant déjaculer. Arrivait le moment où elle aussi avait besoin de baiser: elle se laissait glisser sur moi, pour arriver à sassoir sur mon nud quelle entrait facilement dans son con tout mouillé. Je me laissais faire, comme un pacha. Après tout cest elle qui me cherchait (cest ce que je pensais sur le moment avec une mauvaise fois parfaite).
Elle était contre mon torse, son dos collé à moi. Je laidais dans les mouvements. Elle arrêtait souvent pour faire durer son plaisir et le mien. Je lui caressais la poitrine lentement, en lui faisant ressortir les tétons, que jagaçais avec les pouces. Elle tournait la tête pour me donner ses lèvres. Nos baisers dans cette position nétaient pas un modèle du genre: nos langues ne pouvaient pas se caresser normalement.
Pour le reste de la nuit, là, nous étions nus, sans retenu, ne pensant quà une seule chose: baiser. A peine couchés nous nous embrassions longuement: nos langues avaient besoins de se battre. Je lui mordillais les tétons avant de les sucer et caresser les seins. Ma main droite descendais vers son ventre, je mattardais sur son mon de vénus avant daller chercher nimporte quoi dans sa fente.
Au cours de ces grands soirs, nous baisons particulièrement longtemps. Si elle ne me faisait pas jouir trop tôt, jarrivais à la lui mettre dans son con drôlement mouillé. Nous ne formions quun seul corps dont le seul but était la jouissance. Après quelle ai joui de ce coté elle se tournait pour me donner la face opposée. Elle se mouillait bien lanus, se mettait en levrette, ouvrait ses fesses à deux mains et me donnait son cul. Jaimais bien la lui mettre à cet endroit, dabord il était plus resserré que son sexe et ensuite elle aimait jouir pas là. Quand jentrais jaimais particulièrement quand mon gland passait son sphincter. Ensuite une fois en elle, je suivais ses mouvements. Elle me faisait aller et venir surtout quand jétais au fond de son cul. Je la sentais jouir souvent. Elle adorait la sodomie et enfin je jouissait dans son ventre. Elle se remettait couchée sur le dos elle me demandait ma bite pour la sucer encore. Nous nous embrassions: je lui caressais la poitrine et le bas ventre. Elle restais immobile profitant de mes dernière caresse post coïtales.
Un jour au lieu de baiser elle me faisait part de son fantasme: baiser avec une autre femme. Je navais rien contre elle me demandais de baiser avec elle la femme que je devait trouver. JE DEVAIS TROUVER. La corvée était pour moi. Depuis notre mariage, nous étions restés fidèles sans un seul écart et maintenant il fallait que je drague une femme et pour moi et pour ma femme.
Je madressais à des copains et coup de chance lun deux connaissait une fille qui entrait dans le cadre que je cherchais.
Jai pu entrer en contact avec une fille rousse qui était bisexuelle: le pied. Sans rien dire de particulier à ma femme, je lui téléphonais un jour pour lui demander de mettre trois couverts, en espérant quelle comprenne.
Le soir, comme je le craignais elle navait pas compris que je lui disais quelle se prépare pour une baise en trio. La rousse vient tout à lheure: ma femme va se changer, elle revient en toute petite tenue: elle ne porte quun string particulièrement serré. Quand la sonnette fait son office, cest elle qui va ouvrir. Stupeur de la rousse de voir devant elle sa prochaine victime déjà prête. Jétait sur le point de baiser ma femme quand lautre arrive: je ne la connaissais pas non plus. Elle est sexy, habillée très court, ses cheveux couvrant ses épaules et descendant à mi dos.
Elle restent dans lentrée: elles sembrassent sur la bouche. La poitrine de ma femme attire les mains puis les lèvres de lautre femme. La mienne se laisse faire. Elle me demande quand même de venir pour que je puisse embrasser notre future amante: elle a les lèvres douces. Je les imagine déjà sur le clitoris de ma femme.
Ma femme métonne, elle déshabille lautre, ce qui est vite fait: un t-shirt, et une jupette. Lautre lui enlève le string, les voilà bien serrées nues totalement, les poitrines bien réunis, les bas ventre aussi. Je ne peux plus tenir, je bande trop, je me dévêt aussi. Je mapproche des deux nanas: la nouvelle prend connaissance de ma queue en me branlant fort bien. Ma femme y met également une main. Je suis masturbé par deux femmes. Cest plus quagréable: je pourrit jouir aussitôt. Elles moublient en route. Avant de passer dans la chambre pour baiser sur le lit, la rousse reprend ma bite, se penche sur elle et me fait une bonne fellation qui me fait jouir dans sa bouche. Elle partage le sperme avec ma femme.
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