Je Suis Un Thon (2)

Je m’appelle Gertrude, mais appelez-moi Véronique si l’on se rencontre. J’ai décidé de prendre ma vie en main malgré mon surpoids car j’ai un corps très souple au moment où vous me ferez l’amour.

Depuis un mois, je parcours une partie de l’Est de la France pour présenter les nouveautés que mon laboratoire met sur le marché. Je rencontre des médecins pour qu’ils les administrent à leur client.
Ce que j’aime par-dessus tout dans ce travail outre le contact humain c’est le moment où je quitte mon domicile abrégeant le temps passé à nous faire la gueule avec Pierre.
Je n’en dirai pas de même de mes s que je n’ai pas vus plus de dix minutes en moyenne depuis que je fais, ce nouveau travaille.
Ce qu’ils me reprochent, c’est qu’ils sont obligés de faire les taches que je faisais depuis des années leur permettant de venir se mettre les pieds sous la table attendant que je serve.
Maintenant, mon état de fatigue m’oblige à rester assise à table et j’adore qu’ils me servent. Je mets cette phrase au pluriel alors que c’est plus souvent au singulier étant seul avec mon mari à la maison.
J’ai rendez-vous demain après-midi, je suis la seule à le savoir et en partant dès le dimanche, je vais pouvoir visiter Neuchâtel en Suisse où j’ai réservé ma chambre pour la nuit deux nuits.
Depuis mon départ, il pleut.
Je viens de passer la frontière en passant par Les Rousses et à l’entrée de l’autoroute, je vois un jeune homme avec son sac à dos recouvert d’un coupe pluie ruisselant faire du stop.
Je m’arrête.

• Je vais à Neuchatel.
• Je peux monter, je vais vers l’Allemagne.
• Bien sûr, met ton sac sur le siège arrière, le coffre est plein.
• Merci beaucoup.

Il enlève son imper qu’il place derrière le siège pour ne pas tout tremper.
Il s’installe et me tend la main.

• Bruno, encore, merci, quel temps.
• Oui, c’est comme cela depuis mon départ de Nevers.


Moi c’est Anne.
• Vous êtes de Nevers, je suis de la Charité-sur-Loire.
Il y a deux jours que je suis parti.
• Tu as couché à l’hôtel.
• Non, je n’ai pas assez d’argent, j’ai couché dans un arrêt de bus le premier soir et cette nuit sur la route dans une grange.
• Avec cette eau, tu dois avoir besoin d’un bon bain.
• Surtout pas, j’ai été assez saucé comme cela.

Nous partons d’un grand éclat de rire. Il a de l’humour, ce j’apprécie assez.

• Où vas-tu si je ne suis pas indiscrète.
• Non, je vais à Berlin pour des études pour un an en échange international.
• Dans qu’elle branche.
• Le commerce international.

Nous nous taisons quelques minutes et rapidement il s’endort.
Moi qui suis d’habitude très prudente, j’ai tendance à appuyer sur le champignon.
C’est pour une bonne cause, il faut que ce petit se sèche car sinon il risque la pneumonie. Du moins c’est de cela que je me dissuade.
Arrivé devant l’hôtel, je me gare et il se réveille.

• Où est-on, vous auriez dû me laisser à l’autoroute.
• Et la douche, tu te dépêches, tu vas prendre froid.
• Je ne veux pas vous déranger.
• J’ai rendez-vous demain, tu ne vas pas me déranger.

Dès que nous sommes entré dans la chambre, je le pousse vers la salle de bains.
J’entre et je fais couler l’eau à la bonne température.

• Déshabilles-toi, je ne veux pas que tu prennes froid.

Je vois bien qu’il hésite prostré sur le pas de la porte.

• Il faut que je le fasse moi-même, tu sais, j’en ai vu d’autres.

J’allais faire un impaire, en lui disant que j’en avais vu d’autres en lui parlant de mon fils qui doit avoir à peu près le même âge.
Et si je réfléchis bien, je n’en ai pas vu autant que cela.
Je m’approche et sans hésiter je lui défais sa ceinture.
Une envie folle de m’agenouiller, de sortir son sexe pour l’avaler rapidement, chamboule ma petite chatte mais je reste raisonnable et me détourne vers la chambre pour ne pas le gêner.

Lorsque je reviens ayant simplement récupéré ma trousse de toilette pour donner le change, je me place devant lui et je commence à enlever mes affaires.

• Il y a de la place pour deux Bruno avec cette pluie moi aussi, j’ai froid, un bain va nous réchauffer.

Avant qu’il ait le temps de réagir, je suis nue et au moment où j’entre dans la baignoire, je vois qu’il ferme les yeux.

• Ce sont mes bourrelets qui te gênent, pourquoi ferme tu les yeux ?
• Non madame, c’est pour ne pas vous gêner lorsque vous êtes entré et que j’ai vu votre minou.
• Tu n’as jamais vu de chattes.
• Non, qu’au cinéma mais le temps que je ferme les yeux, la vision était très belle.
• Tu es encore puceau.
• Oui.

C’est un oui à peine inaudible que j’entends.

• Tu aimerais faire l’amour avec moi quoique je suis un peu ronde.
Retournes-toi que je te frotte le dos.

Il s’exécute et je prends le savon pour le frotter. Mes mains sont attirées sur le devant de son corps et dès que je l’effleure, je sens sa verge déjà entièrement dressée.
Je n’hésite pas et je la prends à pleines mains.

• Dis donc, je vois que je te fais de l’effet, relèves-toi que je regarde ce que tu vas m’offrir.

Il hésite une fois de plus et finit par ce lever sans pour autant me regarder.
Je le fais se retourner.

• Et bien dite donc, ta femme aura de quoi s’occuper lorsque tu seras marié, quelle belle bite la nature t’a donnée.
• Elle est trop grosse, j’en ai honte, c’est pour cela que je ne suis jamais allé avec des filles, au dernier moment j’hésite.
• Un seul conseil, le jour, où tu rencontreras une jeune fille, si c’est la première fois qu’elle fait l’amour, pénètre là doucement pour ne pas lui faire mal.
Avec une femme comme moi pleine d’expérience, tu vas voir, nous allons, nous éclater.

En finissant de lui dire cela c’est dans la bouche que j’essaye de le faire entrer mais vu la grosseur du morceau qu’il me présente même en essayant de lui faire une gorge profonde, je dois renoncer.

Parmi mes fantasmes, faire l’amour dans une baignoire en font partie.
Placées comme nous le sommes pourquoi ne pas le réaliser tout de suite.

• Assieds-toi les jambes placées de chaque côté de moi, tu vas voir.

Il s’exécute et l’eau étant savonneuse, je ne vois plus son engin démesuré.
Je me relève et je me place de chaque côté de mon étalon. Il ne ferme pas les yeux et au contraire regarde ma vulve qui est juste à hauteur de ses yeux. J’aimerais qu’il pose ses lèvres dessus mais la position et son inexpérience m’obligent à accélérer son dépucelage.
En me servant des bords de la baignoire, je descends lentement sur son sexe, je glisse sur le fond savonneux et je m’empale d’un seul coup.
Un Oh, de surprise, sort de ma gorge tellement la sensation a été forte.
Forte mais rapidement phénoménale. Son sexe est remonté jusqu’à mon cœur qu’il a éclaté tellement, je perds la notion d’où on est mais pas du plaisir qui monte en moi.
Jamais au grand jamais on ne m’avait prise avec telle fougue, un peu trop d’ailleurs car il n’arrive pas à se retenir et le fond de mon vagin est inondé par les mois de frustration du garçon.

• Pardon madame, je n’ai pas pu me retenir.
• Laisse tomber, madame, appelle-moi Anne surtout maintenant que tu fais partie des mâles dominant alors, domine-moi.
• Comment, fait-on ?
• C’est facile, tu prends une grosse voix et tu me dis.
Alors bébé, tu as bien joui sur ma queue, t’as vu comme je t’ai labouré, tu es une bonne salope et tu n’as pas fini de me sentir en toi.
• Je n’oserai jamais dire cela.
• Alors, tu ne seras jamais un vrai macho. J’en prends note, on fera avec.
Viens, on sort, j’ai froid.

Je me relève et lorsque sa queue sort de l’eau, elle est déjà aussi tendue que s’il n’avait pas déchargé.
Après nos êtres séchés, nous rejoignons le lit et après m’avoir pour la première fois embrassé il me refait l’amour et mon corps est content d’avoir une telle hampe pour le perforer.

À vingt heures, nous nous habillons et je lui offre le restaurant où de nombreux regards se portent sur nous, couple disgracieux et insolite s’il en ait.
Insolite, car tout le repas, il me tient la main faisant voir à tous que lui jeune homme plutôt bien mis se tape ce vieux thon qui ne ressemble à rien avec son gros cul et ses lunettes d’un autre âge.
Toute la nuit, chaque fois que je me réveille, il me prend, s’il ne veut pas me le dire, je vais le faire, je suis une vraie salope de baiser avec ce garçon de l’âge de mon fils mais non d’un chien que c’est bon. Chien, non gentille chienne qui se tortille chaque fois sous lui.
À part la sodomie que nous n’avons pas pratiquée, je finis la nuit avec un amant aguerri qui va rapidement trouver une fille de son âge, allemande sûrement et qu’il ne va plus hésiter à pourfendre avec son engin dont je me souviendrai car nul doute que de tel pieu ne court pas les rues.
Vers huit heures sans pudeur, je fais porter deux petits déjeuners que nous prenons ensemble avant qui il m’embrasse tendrement et que je le vois partir vers son destin de mâle dominant.
Au lieu de me lever, je me prélasse dans mon lit me caressant souvent la chatte en repassant la nuit que je viens de vivre. Avoir eu mon premier puceau voire le dernier peut-être me met en joie.
Même si j’ai un peu sa décision en entrant dans la baignoire nue, rien ne l’obligeait à avoir la trique qu’il m’a présentée et qui est entrée en moi comblant mon corps pour de longues heures de tranquillité, avant j’espère de nouvelles aventures.

À midi je veux sortir avant de constater que la pluie n’a pas arrêté.
C’est sous un parapluie que je vais au bord du lac pour manger dans un restaurant.
Je traine un maximum de temps avant de retourner à l’hôtel pour mettre ma tenue de travail.
J’opte pour un tailleur-pantalon que je décline en noir ou en bleu marine, gris ou beige.
Vu le temps, je choisis le clair à savoir le beige avec chemisier blanc.
J’aime les chaussures à talons même si je prends des risques de déséquilibre avec mon poids.
J’aime ce modèle même si je suis obligé à le prendre en 60 pour le pantalon et 56 pour la veste.
Même si j’assume mon cul, la possibilité de le perdre sans recommencer à faire un régime dont j’ai parlé au début de mon changement de vie ne me laisserait pas indifférente.
J’ai rendez-vous à 16 heures. Je vais pour sortir lorsque mon portable sonne, c’est la secrétaire du médecin Wan Lee médecin spécialiste des yeux à qui je dois proposer notre nouveau produit pour les yeux poste opératoire évitant les risques de cécité.
Notre rendez-vous est repoussé à 19 heures, le docteur a été obligé de partir à l’hôpital pour une opération d’urgence, vers un victime d’un accident ménagé.
Je ne suis pas très heureuse car demain je dois retourner à Pontarlier ou j’ai rendez-vous avec un autre médecin. Là-bas c’est tout à fait différent, c’est notre pommade pour les hémorroïdes que je dois lui présenter.
Je relie ma fiche sur ce produit pour les yeux pour pouvoir répondre à ce monsieur à toutes les questions qu’il peut être susceptible de me poser.
J’arrive devant une belle maison sur les hauteurs de Neuchatel ou ce docteur à son cabinet. Le portail est ouvert et je me gare sur le parking clientèle.

Wan ou Lee ?
Quel est le nom ou le prénom.
Je tranche dès que j’arrive près de la secrétaire.

• J’ai rendez-vous avec le docteur.
• Elle va vous recevoir, elle est avec son dernier client, essayez-vous dans la salle d’attente.

J’entre dubitatif, ai-je bien entendu : « Elle va vous recevoir »…






























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