Un Week-End À Madrid (5)
Ce petit mot est touchant, encore une fois, je ne mattendais pas à une telle rencontre. Il est le mec que jai toujours rêvé de rencontrer, parfait dans les moindres détails, aussi bien physiquement, que mentalement, il est bourré de qualités, douceur, tendresse, attentionné, présent et bien dautres, je nai pas pour linstant trouvé de défaut à cette carapace. Je me dépêche de rejoindre Juan. Il est là à quelques dizaines de moi, et je lui trouve moins de charme que lors de notre première rencontre. Il est excité comme une puce, sautille tout le temps, parle vite, une vraie pile électrique. Je suis complètement claqué par la nuit passée avec Felipe, jaurais besoin de beaucoup de calme. Juan me mène dans un bar à tapas très sympa que je ne connaissais pas. Nous mangeons quelques spécialités espagnoles dont notamment la « Tortilla », des « Calamares frits » et des « Croquetas de pollo » avec une « Cerveza » (une bière). Il me raconte pleins de choses, sur sa vie, ce quil fait, ce quil veut
Il mépuise. Jai envie de dormir, mais une promesse est une promesse. Direction le sauna Octopuss, métro Tribunal. Je connais très bien lendroit, il est très grand. Quand on arrive, on trouve les vestiaires, puis des cabines et au fond le bar. Au sous-sol, une piscine avec des jets de massage, juste au-dessus le sauna sec, des douches, puis un couloir avec le hammam, une petite salle avec des films de cul et au bout du couloir la backroom. Après avoir payé notre entrée, nous commençons à nous déshabiller, je porte le jock rouge en lycra. Juan ne peut sempêcher de siffler son « admiration ». « Tu étais où cette nuit ? ». « Chez un ami ! On y va ? ». Il reste perplexe devant ma réponse et nous descendons prendre une douche, direction la piscine. Juan se colle à moi, il bande déjà, mais Felipe est toujours là dans un coin de ma tête. On ne sest rien promis, mais jai limpression de le tromper en venant au sauna. Un homme denviron 45 ans entre dans leau, une vraie baraque, des épaules larges, un torse imberbe, des pecs de folie, une taille trop fine pour sa corpulence, et surtout tout rien entre les jambes, ni au cerveau à prioris, Juan le salue et me présente.
Après la nuit que je viens de passer, je nai pas très envie de baise. Jexplique à Juan que je suis fatigué, mais il me demande de la suivre. Je mexécute, petit circuit, sauna finlandais, hammam, douche, piscine et on recommence. Au bout dune bonne heure de ce manège Juan me prend la main et mentraine vers la backroom. Malgré tout ce que je viens de penser sur Felipe, la nuit, la rencontre et tout le reste, je ne peux mempêcher de bander en voyant tous ces mâles espagnols en rut en train de se sucer, de se faire bouffer le cul, se faire défoncer la rondelle, les entendre gémir, jouir. Mon instinct de prédateur reprend le dessus. Dans la pénombre de cette salle, des mecs sapprochent de moi, commencent à me caresser, touchent ma bite. Ma serviette sur les épaules, joffre à tout ce petit monde mon anatomie. Cest Juan qui le premier se met à genoux devant moi et engouffre ma bite aussi loin quil puisse lavaler. Les mecs sagglutinent autour de moi comme sils voulaient de la chair fraiche. En train de me faire pomper, un membrasse goulument, un palpe mes fesses, un joue avec mes tétons. Je narrive pas à résister à autant de tentations. Derrière moi ce trouve une banquette, je massois, Juan toujours en train de me sucer. Un mec monte sur la banquette pose ses jambes de part et dautre de mon corps et me présente son gland que jenfourne rapidement et avidement, il a une très belle bite, dune bonne taille aussi bien en longueur quen épaisseur. Puis il coince mes mains avec ses pieds et me pilonne la gorge en me tenant la tête. Juan se retourne et veut sassoir sur ma bite, je le repousse dun geste de cuisse et avec courtoisie. Il comprend et part à la recherche de son bonheur.
Ce petit spectacle terminé, la « foule » sort de la cabine, je traverse le sauna à poil, couvert de toutes ses semences, la queue encore raide, je vais prendre une douche salvatrice. Jentends des commentaires sur moi et cela ne me déplait pas. Nouvelle serviette prise auprès de laccueil pour peut-être de nouvelles partouzes.
Je menfonce lentement dans leau chaude de la piscine, les jets de massage me font un bien fou. Juan sapproche de moi encore tout excité par ce quil avait vu et entendu. « Tu es une vraie salope ! », je souris mais ne dis rien. Il disparait de nouveau, sans doute pas encore rassasié de bonne baise. Les yeux clos, je me délecte de ce moment de tranquillité, jentends les clapotis de leau, mon imagination vagabonde lorsque je suis interpellé par un « Hola ! », jouvre mon il, dirige mon regard vers cette voix que je crois ne pas connaître. Je suis surpris de trouver à cet endroit une bonne connaissance marseillaise. Il sest installé il y a quelques mois dans la capitale espagnole, ce que je ne savais pas, puis nous discutons de tout et de rien. Il me demande ce que je viens faire à Madrid et je lui explique mes différents voyages. « Et toi ? Quest-ce que tu deviens ? ». Et il me répond quil a quitté Marseille et la France pour tenter sa chance, il a ouvert un bar français dans le quartier de Salamanca pas très loin de Chueca. Il est heureux et il a rencontré quelquun avec qui il sentend bien.
« Seb ?
. Viens voir ! » Juan minterpelle du bord de la piscine. Je sors et le rejoint, il me tire une nouvelle fois vers la backroom. Là, je vois un mec très jeune à peine vingt ans à quatre pattes et une file dau moins dix mecs excités, la queue à la main, défoncer à tout de rôle ce jeune ébène. La scène est inhabituelle, mais très excitante, je mapproche pour regarder ce spectacle. Il ne veut aucune bite dans sa bouche, seul son petit cul ferme doit être sollicité, sans aucune protection, il se prend ces bites lune après lautre, après quelques va et vient, les mecs jouissent sur son dos et quitte la scène. Je suis super excité par tout ce manège, je bande, Juan se met à genoux et me suce, je ne tarde pas à vider une nouvelle fois mes bourses en lui tenant la tête pour quil avale tout. Epuisé par la nuit avec Felipe et le sauna. Je quitte Juan et je rentre à lhostal pour me reposer. Jarrive enfin à ma chambre et mécroule littéralement sur le lit, il ne faut pas plus de dix secondes pour mendormir profondément.
A suivre
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