Rien Que Du Cul
Il me semble que seule les histoires de vieux adultes sont acceptées alors voilà ma dernière.
Installé à la terrasse d'un café je matais les mecs sans aucune discrétion.
A Nice certaines sont faites pour voir et être vu, aussi je n'avais mis sur moi qu'un débardeur très large et un bermuda de plusieurs tailles au dessus de la mienne. Je savais qu'une jambe posée sur la cuisse permettait aux voyeurs excités de mater fort loin n'ayant pas mis de sous vêtements et découpé le slip résille intérieur. Précision importante j'avais plus que la soixantaine et un corps sec.
Lunettes de soleil fortement teintées je m'amusais des regards dirigés directement sur mes boules bien visibles pour les regards avertis. J'avais un bouquin ouvert que je lisais distraitement. Le titre visible de la couverture portait sur les nuances de gris. Un chapeau de paille laissait sortir mes cheveux gris.
Je me suis levé laissant le livre sur la table pour aller aux toilettes au sous-sol. Totalement carrelées pour faciliter le nettoyage des traces de vomis laissés par des malades alcoolos. Je me suis engagé dans un petit couloir après m'être assuré être suivi. La porte a claquée derrière moi. La pièce ou j'entrais était occupée par quatre mecs, la soixantaine dépassée, pantalon baissé sur les mollets poilus et secs, le slip aux chevilles.
Le mec derrière moi m'a ôté le chapeau, le débardeur et baissé le bermuda. J'étais nu et d'une bourrade, il m'a mis à genoux. Je suis passé d'une queue rarement raide à l'autre, montrant mes fesses et mes couilles très pendantes à celui qui était derrière moi.
Certains ont eut une faible éjaculation d'autres non mais je passais au suivant . Des doigts exploraient mon anus qui à mon âge se dilatait facilement et j'ai eu le plaisir pour moi d'avoir un sexe introduit. Pas petit, loin de là. Plutôt du genre de ceux rencontrés dans mes voyages en Afrique. Poussé par derrière j'ai pompé des bites molles et ils sont partis l'un après l'autre.
Des regards sont passés sur moi, je me savais salope et eux maintenant me connaissaient.
J'ai fini mon verre calmement et en refermant le livre une carte est tombée. Sans noms, une heure , ce soir , jetée du Carlton. J'ai ramassé la carte et suis rentré dans ma petite villa de retraité me doucher et faire une sieste sur la terrasse nu comme toujours. C'est l'allumage automatique des lampadaires qui m'a réveillé. Une douche rapide puis les doigts dans les cheveux et un tee-shirt et un autre bermuda slip découpé et des tennis à mes pieds nus je me suis dirigé vers le Carlton. Visiblement au loin sur un yacht une fête se déroulait . Le navire était illuminé. M'avançant vers la jetée deux hommes m'ont encadré.
Avance jusqu'au bout de la jetée. Ils étaient tout deux blacks en smoking et lunettes noires. Une annexe était amarrée, un mec à la barre retenait un bout. Dès qu'on est monté , il a lâché le bout et accéléré me projetant en arrière. Les deux mecs ont ôtés le peu de vêtements que je possédais le temps de rejoindre la passerelle le long du navire.
Une fois sur le pont j'ai vite vu que j'étais le seul mec âgé nu. La majorité étant des hommes, quelques femmes aussi ,tous vêtus élégamment. Deux serveurs asiatiques assurant le service et deux , la quarantaine ardente à la vue de leur organe évoluaient fier de leurs attributs. Les deux malabars avaient disparus sous le pont. J'ai reconnu deux ou trois des sucés mais j'ai fait comme si je ne les avais jamais vus. Un verre à la main tendu par un des serveurs souriants je me suis accoudé à une rambarde .
Je ne sais pas ce que m'avais servi le jeune mais je me suis rapidement trouvé en chaleur comme une femelle, serrant et desserrant les cuisses sur mes couilles.
Des hommes inhibés par l'alcool ont sortis leurs sexe en bien meilleur état que l'après midi. Les femmes ont simplement écarté ce qui tenait la robe dans le dos et se sont trouvées nues aussi. La musique s'est faites plus scandées, rythmée, sauvage. Les deux malabars sont remontés nus poussant devant eux les serveurs . J'ai sucé des bites, des vieilles, très vieilles même, léché des moules fripées, servi de vide couille à qui avait besoin ou n'avait que moi de disponible. J'ai du jouir car je sentais que du jus partait de ma verge.
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