La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 425)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Suite de l'épisode N°414 -
Monsieur le Marquis dEvans remonte son boxer et referme sa braguette après avoir uriné sur le chien-mâle N°20MDE qui sétait avéré impuissant et qui avait été condamné à demeurer en punition dans une sorte dantique baignoire-baquet en cuivre servant en quelque sorte de latrines pour tous ceux qui auraient envie de profiter de petits jeux uro et aussi de se soulager la vessie dans la bouche ou sur le corps de celui qui va devoir par ailleurs garder son « sexe-marionnette » maintenu en lair par les fils tendus qui ont permis de relever sa queue récalcitrante qui navait pas daigné se redresser à temps pour pouvoir satisfaire aux exigences de Seigneur Dées.
Lesclave est submergé par la honte de sa situation avilissante quil doit supporter pour tenter maintenant de rentrer en grâce auprès du Maître quil a courroucé en nétant pas capable de répondre à temps aux exigences de Son invité de marque, le Doyen de lassemblée de surcroît, entre les mains de qui N°20MDE avait été remis pour la soirée. Le chien-mâle trempé durine qui ruissèle sur tout son corps ressent le profond dégoût que sa position humiliante, agenouillé dans un flot de liquide jaunâtre odorant, lui inspire car il na jamais été un adepte des plaisirs D/s uro, ce que nignorait pas le Maître Vénéré lorsquil a choisi à juste titre la nature du châtiment pour quil soit suffisamment punitif et coercitif dans lesprit de lesclave défaillant.
Le chien-esclave N°20MDE a dû mal à supporter lodeur forte qui a envahi ses narines mais aussi sa gorge qui a été largement arrosée par plusieurs dominants qui ont pris plaisir à lui fourrer la queue entre les lèvres avant de pisser. Il se remémore longuement les mots du Maître Vénéré, nayant rien de mieux à faire que de patienter, de supporter et de méditer sur sa condition desclave librement asservi et sur la sanction imposée par le Dominant auquel il a choisi dappartenir : «
.
Nonobstant la répugnance quil a de devoir rester à genoux dans ce bain de diverses mictions mélangées, le chien-esclave N°20MDE se rend compte également quil est de plus en plus excité malgré lui par la situation quil se doit dendurer, mais aussi et surtout par le souvenir des propos et des gestes du Maître Vénéré, finissant par comprendre que lexcitation qui la envahi malgré la honte ressentie, ou justement à cause de la honte ressentie, est telle quil sest mis enfin à bander car son sexe vient de commencer à gonfler. Encore retenu par les fils de marionnettes qui sont serrés autour de sa queue et de ses couilles, son phallus est toujours maintenu tendu à lhorizontale, mais il saperçoit que sa queue étant en train de doubler de volume et de longueur, les fils autour sont autant de nuds presque trop serrés et qui commencent à devenir de plus en plus douloureux et contraignant. Discrètement, il essaye de tourner la tête pour voir sil pourrait apercevoir le Maître Vénéré qui lui a imposé de rester là quil voudrait au plus tôt pouvoir implorer humblement et tenter de le supplier de le détacher maintenant que son « asperge suffisamment arrosée a fini par sortir de terre ». Mais, il ny a personne dans les parages et le chien-mâle nose pas bouger de sa place au risque dune sanction qui lui serait encore plus terrible à supporter sil avait le malheur de songer à défaire tout seul les liens posés par le Maître lui-même, ou pire de se lever dautant plus quil est dégoulinant et ne manquerait pas de salir le parquet en sortant du lieu où il a été assigné pour un bon bout de temps indéterminé, qui lui parait devoir durer une éternité.
Monsieur le Marquis dEvans navait dans tous les cas sûrement pas dans lintention de mettre un terme aussi vite à la punition imposée à Son esclave N° 20MDE, ayant malgré tout veillé avant de serrer les liens que même si sa lopette-soumise finissait par se mettre à bander à force dexcitation, les cordelettes pourraient certes être contraignantes et désagréables à supporter mais absolument pas dangereuses au niveau de la circulation . Il sest donc très sereinement éloigné reprenant le tour de tous Ses Invités Domina et Dominants et sest approché dun groupe de plusieurs personnes en train de copuler, ce qui nest pas pour lui déplaire de voir ses amis occupés aux plaisirs orgiaques de la chair en cette nuitée qui savance. Le Châtelain les regarde tous avec un il presque plus attentif et scrutateur que simplement voyeur car la masse est formée par les multiples partenaires dont on distingue à peine les dominés et les Dominants, sauf à imaginer les premiers à genoux à terre et les Autres debout. Ils sont dans tous les cas tous emmêlés dans des pénétrations et caresses buccales multiples, et lensemble ne forme plus quun amas de gémissements divers où lexcitation et le plaisir charnel sont devenus tout autant collectifs quindividuels, bref cest une orgie qui bat son plein !
Au centre et à lorigine de cette forme presque pyramidale, agrégat de chairs humaines nues ou parfois encore légèrement vêtues, se trouve un couple homo de Dominants, amis intimes de Monsieur le Marquis dEvans. Ces deux Hommes inséparables vivent ensemble depuis de nombreuses années et ils ont trouvé un équilibre très particulier et assez fusionnel dans leur couple qui est très équilibré dans la vie tout autant que dans leur sexualité partagée.
Les deux « DuoDoms » nont aucun lien de sang, mais ils ont cultivé une telle ressemblance dans la manière de se vêtir, de se coiffer, de parler, de se comporter quon les prend parfois pour des sosies, et ceci dautant plus quils sont physiquement assez proche en taille et en apparence, musclée et carrée. Leurs deux vies professionnelles sont totalement séparées au quotidien puisque lun des deux est commissaire-priseur et lautre est expert-comptable, mais ils ont pris lhabitude dacheter tous leurs vêtements, sous-vêtements, accessoires et costumes en double, choisissant délibérément de porter des tenues similaires chaque jour dans le cadre de leur activité professionnelle, tenus tant lun que lautre à rester en costard-cravate toute la semaine. Cette particularité, qui reste discrète et imperceptible pour leurs clients respectifs vanille, leur permet de penser un peu plus à lautre tout au long de la journée de travail, se trouvant ainsi encore plus en parfaite osmose vestimentaire, tout autant quaffective. Pour éviter des querelles intestines qui ne serviraient à rien dans la stabilité du couple, ils ont décidés que lun des deux choisirait le costume les jours pairs et lautre les jours impairs et ce alternativement dune année sur lautre, à cause des mois de 31 jours.
Résolument homosexuels nayant aucun attrait pour la gente féminine, les « DuoDoms » ont tirés deux boules argentées et se sont vus attribués deux esclaves du cheptel de Monsieur le Marquis dEvans, les chiens-mâles N°12MDE et N°25MDE. Ils sont venus également à la soirée accompagnés de deux soumis qui ont la particularité dêtre jumeaux de naissance, ce qui navait pu que plaire à ce couple de Dominants à la recherche de deux esclaves D/s qui pourraient sentendre entre eux deux et avec eux deux aussi pour former un quatuor parfait de 2 Dominants avec leurs 2 dominés interchangeables à volonté, les deux esclaves ayant pour obligation dans cette relation D/s particulière de ne pas appartenir chacun à un seul Dominant, mais solidairement au couple formé par les « DuoDoms », adéquation bien plus difficile quil ny paraît pour trouver la paire adaptée de soumis pouvant fonctionner sur ce principe de double dualité. Lorsque fréquentant la communauté gay, ils avaient rencontré ce couple de jeunes homo qui ne rechignaient pas, bien au contraire malgré leurs liens familiaux, à partager leurs plaisirs charnels dans des ébats multiples auxquels ils aimaient à participer ensemble, ils avaient tous les quatre très vite sympathisé dautant plus que les deux homosexuels bien que nayant jamais vraiment pratiqué une sexualité SM reconnue comme telle avaient autant lun que lautre une nature de soumis lopette et ils ne demandaient quà pouvoir vivre un peu plus leurs fantasmes de soumission sous le joug dun Dominant qui saurait enfin leur relever leur vraie nature profonde. Depuis, les « DuoDoms » aiment assez régulièrement partager de nombreuses soirées D/s avec les deux jumeaux soumis, lesquels dominés sont bien trop contents de rappliquer dès quils sont conviés à rejoindre ceux dont ils voudraient bien désormais devenir des esclaves plus attitrés et résidant à demeure, mais les deux Dominants ont décidés de les mettre encore à lépreuve avant de les laisser pénétrer plus avant dans leur couple de manière permanente, ne voulant pas mettre en péril un équilibre de vie vanille pour quelques plaisirs D/s que ce soit, furent-ils pour linstant à leur convenance à tous les quatre.
Les deux Dominants ont commencé la soirée par échauffer au martinet et à la cravache les croupes de leurs deux soumis pour les rendre plus sensibles et colorées, nhésitant pas régulièrement à venir faire gicler les lanières dans lentrecuisse des deux lopettes, frappant sur les couilles et les sexes habitués à être souvent malmenés, pour ces deux soumis qui apprécient de plus en plus les plaisirs masochistes et la douleur excitante qui les fait bander intensément, décuplant après les plaisirs de la jouissance lorsquils peuvent atteindre léjaculation. Les deux soumis sont maintenant à genoux, arcboutés en levrette, presque en face à face, chacun ayant du poser son cou sur lépaule droite de son frère pour être plus proches lun de lautre. Ils portent leur collier de chienne duquel pend une chaîne qui est attaché au sexe de lautre muni dune série de plusieurs anneaux de contraintes en métal si bien que leurs gestes réciproques sont de fait solidarisés et ce dautant plus que leurs seins sont également pincés par deux chainettes entrecroisées, si bien que tous les mouvements même minimes de lun ou de lautre entrainent obligatoirement une tension supplémentaire sur le pénis et/ou les tétons des deux dominés qui arborent tous les deux une bandaison des plus respectables.
Les « DuoDoms » enculent chacun lun des deux soumis quils labourent bestialement, les ayant attrapés par les fesses déjà bien rouges quils empoignent avec vigueur pour les forcer dans la cadence que chacun impose à celui quil sodomise de se livrer et de souvrir encore plus pour une pénétration anale des plus profondes jusquà ce que leur couilles viennent en butée sur la rondelle dilatée. A chaque coup de butoir les deux soumis qui ne peuvent se dérober ressentent les deux chaines venir un peu plus tirailler leurs mamelons pincés mais également leurs sexes qui ressentent encore plus intensément les va et vient sodomites étirant par tension leur hampes et leurs deux glands, ce qui a pour effet dimposer une sorte de masturbation par chaines interposées. Pour compléter le plaisir de la pénétration phallique, les deux Dominants ont imposés aux deux esclaves-mâles du cheptel N°12MDE et N°25MDE dont ils ont la libre disposition pour toute la soirée de venir sinstaller derrière eux pour se faire lécher longuement les couilles, le périnée et le cul, afin de pouvoir augmenter leurs sensations, ce qui nest pas sans poser quelques soucis aux deux chiens-esclaves qui doivent se forcer de suivre en avant et en arrière les coups de reins pénétrants des deux Dominants dont ils reçoivent souvent en pleine figure le postérieur, dautant plus quils sont maintenus assez proches par leur laisse que les « DuoDoms » ont pris en main.
A cette heure où les ébats deviennent largement pluriels, un autre Dominant ami de longue date des « DuoDoms » sest approché, demandant sil pouvait profiter de la situation et prendre à son tour lanus de lesclave N° 12MDE qui semblait bien inutilisé dans laffaire, tandis quil se ferait lécher également le cul par son chien-mâle. Les « DuoDoms » ont sans aucun souci accepté proposant même à ceux autour qui le voulaient de continuer à se rattacher à cette « chenille » denculades multiples de chiens-mâles chargés de lécher voluptueusement le cul de celui qui se trouve immédiatement devant, pour que le foutre puisse jaillir copieusement et remplir tous ces petits trous de vide-couilles qui ne demandent pas mieux. Devant ce petit tableau presque symétrique qui na pas manqué dattirer lattention dautres invités, plusieurs se sont également pris au jeu, de venir compléter la scène relativement excitante qui ondule au gré des pénétrations phalliques des Dominants entre lesquels sintercalent des esclaves sodomisés.
Se souciant peu de ce qui se passe de chaque côté et dans leurs dos, les deux « DuoDoms » se regardent profondément dans les yeux, rythmant leur sodomie presque comme sils ne formaient plus quun seul corps se mouvant en symbiose, chacun essayant de voir le plaisir sexuel monter dans les yeux de lautre pour arriver ensemble à léjaculation suprême. Amoureusement, régulièrement ils se penchent lun vers lautre pour échanger de langoureux baisers homosexuels obligeant alors leurs deux soumis attachés ensemble à sarcbouter encore plus pour pouvoir, tout en maintenant la pénétration anale, permettre aux deux bouches des « DuosDoms » de se rejoindre et de se fondre lèvres contre lèvres, langue contre langue. Cest dans de profonds râles bestiaux quils se répandent ensemble, continuant de se vider avec quelques coups de butoir supplémentaires tandis quils seffondrent de plaisirs dans les bras lun de lautre et dans un long baiser sauvage à pleine bouche, ajoutant le plaisir du contact des deux langues inquisitrices à lidée de la pénétration de leurs deux queues qui sont encore enfouies dans les anus de leurs deux soumis. Lesquels, sous leffet des tiraillements de leurs queues attachées par une chaine et sous leffet des mouvements de plus en plus intenses des « DuosDoms » et de leur excitation croissante ont également fini par éjaculer tant lun que lautre, car le quatuor semble fonctionner à merveille
(A suivre
)
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