Emeline Vie Selon (2)

…Emeline le connaît et s’en donne à elle seule la suite à prendre…

Après le repas, Emeline s’y trouve en plein dedans de son « selon ». Son Loulou ne s’en plaint pas.
Il en est acteur. Il la pilonne selon leurs envies réunies …et se sont pas les moindres. Ils se donnent à cœur de joies. L’entente y est à son comble. Ce soir son mec, au plus grand contentement d’Emeline, il lui en fait voir de toutes les couleurs, en toutes postures. Cela à débuté dans la cuisine, après qu’ils aillent posés leur fourchette.
La table débarrassée, Emeline s’est vu y planter dessus. Le peu de fringues qu’elle portait sur elle – loin.
Elle était « La prime »… »Le dessert »… elle était l’équilibre de ce qu’il lui fallait. Loin d’être une pure distraction… non, un besoin. Et pour cela, pour le bonheur d’Emeline, son homme lui besogna …
Elle le sait,… elle le sait, … oui, oui, oui… le début des très longues préliminaires.
Un brouteur par excellence, il est, quand cela lui prend.
Son cunnilingus déchainé, visite anale et plaisirs clitoridiens, ne lui laisse qu’un seul choix…de s’occuper d’elle-même des ses bourgeons de tétons.
Dommage qu’il n’y a que deux mains.
Ce soir elle a passé à table. Ce soir elle a été emmenée à pousser des cris terrifiants, hallucinants.
Emeline a pu se saouler de ses plaisirs, en suffoquer presque, tellement puissants.
Longtemps après s’est vue envoyer en l’air en position « Collier de vénus » sur la table de cuisine. Lui coinçait ses jambes d’un bras contre son cou. L’autre main venait se mettre sur un nibard pressurer son téton à outrance. Douleur et plaisir entremêlent explosivement.
Pour l’instant elle n’avait rien à dire, que subir. Et quel supplice ?

En pleine entrance à son nirvana, Emeline voit Peggy, accoudé à la porte. Elle a du oublié la verrouiller.
Sans dire mot, elle dévoilait sa splendeur ébène et s’invita à la partie.


Peggy s’activait dans le fessier de l’homme et la lui gratifiait d’autres coups de buttoirs.
Puis le lâcha pour s’adonner au jeu saphique.
Emeline et Peggy, le couple de gouine black and white, se consommèrent, la main de son mec se baladèrent à choix.
Peggy est une grande clitoridienne. Elle monte sur la table, cal fourchant Emeline et lui présente le sien devant sa bouche.
Son homme venait de changer l’entrée de porte, ce qui permet à Peggy de s’occuper tactilement de du bouton d’amour de son amie.
Desservie de ses plaisirs saphiques et glissade anale, Emeline succombe comme elle veut. Peggy lui étrangle ses râles avec son « sitting ».
A bien des fois son mec lui a approuvé ses besoins.
Voyager entre son amie et lui, n’est pas un plat journalier, mais quand cela se présente, il couvre délicieusement les deux femmes.
Ce soir là, ce n’était pas sa performance habituelle d’une heure, il en ajoute une. Il fait aussi bien mousser Peggy qu’Emeline, à même titre.
Il couvre les quatre orifices et en sort toute un panneau pli de postures pour assurer la jouissance des deux femmes.
Après sa prestation, il se met dans les bras de Morphée dans la chambre d’ami.
Peggy et Emeline, elles continuent. Elles n’ont jamais assez, jusqu’aux petits heures.
Quel que soit la duré de ses ébats, Emeline est toujours fidèle au poste pour préparer le petite déjeuner à son homme, tantôt Peggy resta au lit.
Elle est comme ça, elle ne le néglige jamais. Lui part ensuite au boulot.
Emeline reçoit un appel de Luigi, son ami modiste est intéressé, mais Emiliano veut le couple « black an white ».
Elle réveille Peggy avec un cunnilingus appliqué, bois sa cyprine avec délectation, s’enivrent les deux, ensuite elle lui relève la nouvelle.
Peggy est enchanté quelle ne sera pas séparée d’Emeline et elles se projettent déjà dans leurs futures rôles. Elles dévastent le dressing, défilent devant les miroirs, prennent des poses.

Elles s’amusent.
Elles allèrent chez Luigi, excellent dans leur jeu d’aguicheuses. Luigi remet à Emeline l’adresse d’un photographe renommé pour un casting.
Allassio à son studio n’à une trentaine de kilomètres. Tout est organisé, rendez-vous pris, demain mardi.
Le quarantenaire Allassio les reçoit, les reluque un bon moment, deux nénettes et un jeunot l’assistent. Allassio n’a nul besoin de les inviter pour se mettre à l’aise.
Emeline et Peggy draguent déjà son staff. Les attouchements perplexes mettent de l’ambiance dans ce studio, tout le monde est fion prêts à attaquer le vif du sujet. Les consignes que le photographe a reçues, étaient Emeline et Peggy devaient gâcher réciproquement de leurs mains les parties non couverts par un habit présenté.
Par exemple : string à Emeline – les seins couverts par les mains de Peggy. Soutien-gorge à Peggy, la main d’Emeline couvrait son entrejambe, ainsi de suite. Quand il y a une double présentation, le staff s’occupait à couvrir volontiers les « parties » non habillés. Ils se mettent même à plusieurs, leurs boulot devient plaisir.
Le photographe a tout de suite biché les intérêts du modiste client et puis le contraste de black and white, rendait bien les clichés. Puis les assistantes étaient de trois ethnies différentes, un bon mélange.
Et comme voyeur, le photographe avait toutes friandises pour son compte. Pour ne pas être confronté à un conflit d’intérêt et problèmes éthiques, il abandonna le studio à Emeline et Peggy une heure durant. Aucune protestation ne s’entend de la part du staff et les deux modèles. Ils se tâtèrent et reniflaient goulûment.
Voilà encore une formule qui convenait à Emeline et Peggy, sans parler du staff.
Les clichés ont été accueillis avec bravoure par le seigneur de mode qui en réclamait d’avantage.
Quelques jours après, Emeline et Peggy trouvent des clips de leurs prestations dans les médiats.
Une nouvelle carrière c’est ouverte, d’autres contacts affluents.

Se présentant volontiers en friche d’aventures saphiques, Emeline et Peggy, resteront fidèles à Emiliano. Le créateur de mode italien est devenu leur mascotte.

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