Ta Meilleure Amie 2
Et tes mains, à quoi servent-elles ? Reprit Angèle impatiente
Joignant le geste à la parole, elle plaqua mes mains sous ses globes et mordonna de les soupeser puis de les caresser, de les presser et enfin de jouer au nourrisson. Je pris en bouche, léchai, suçai doucement, tendrement et je me figurais ainsi tétant tes tétons de Mireille, lamie attendue. Angèle soupirait daise, mencourageait à mappliquer, à mentraîner en pensant à toi. Tu avais, disait-elle, des seins moins volumineux mais je saurais madapter. Douceur et persévérance te rendraient folle de moi si je suivais ses conseils damie de notre couple. Elle me reprenait, demandait des frictions ou des pressions moins retenues, plus dappétit pour la chair tendre. La voix geignait son plaisir. Ainsi geindrait Mireille si jétais habile. Mireille, Angèle ou Angèle, Mireille, je suçais, savourais, menivrais. Je fantasmais : Vous me remerciiez, vous me disiez que cétait merveilleux :
Encore, encore !
Le sein échappa à ma bouche. Une bouche sempara de mes lèvres. Angèle, Angèle, je perdais la boule. Elle était assise sur mes genoux, le peignoir était tombé. Deux bras serraient ma tête, des doigts senfonçaient dans mes cheveux. Mes mains saccrochaient à ses seins, bouées de sauvetage dans le naufrage de mon innocence. Entre mes lèvres serrées Angèle poussait une pointe de langue aussi dure que ses tétons, ses lèvres travaillaient les miennes. Qui aurait pu résister ? Jaurais dû, me diras-tu. Hélas, la chair est faible, tu étais en retard, Angèle minitiait et mon corps me trahissait, javais une terrible envie de me laisser instruire. Mon esprit avait quitté mon cerveau, passait lestomac et continuait son périple vers le bas, dans ma verge, où saccumulait tout mon sang.
La langue franchit mes lèvres énervées, heurta mes dents. Une pression extérieure dune main aux ongles acérés sur mes mâchoires les décolla. La place se rendit, lenvahisseur sy engouffra.
Ivre de volupté, je fus entraîné sur lample canapé. Des mains fébriles me dénudèrent, je fus aussi nu que mon initiatrice dévouée. Grand idiot, je subissais encore sans opposition laudace de cette fille. Jemplissais mes yeux de limage de ce corps de femme de mon âge, si belle dans sa nudité étalée, scandalisé puis ravi des caresses hardies de ses mains habiles sur mon pénis. Comme ses tétons dans mes mains, ma verge durcie, pieu gorgé de sang, fut envahie par des milliers de fourmis. Je devins curieux de savoir où me menaient ces sensations. Une main parcourait mon membre de haut en bas, tirait sur le prépuce, le faisait coulisser en tirant sur le frein. Cétait à la fois un peu douloureux et si bon.
Inutile den redemander, Angèle mastiquait sans fatiguer. Jétais allongé sur le dos, elle sétait agenouillée devant le canapé, couvrait la peau de mon ventre de baisers ventouses, y laissait avec la langue de larges traînées de salive, me mordillait en riant et continuait sa masturbation affolante. Ses mains se relayaient sur la hampe dressée quelle calmait dun souffle tiède. Des picotements naissaient dans mon gland, filaient par ma colonne vertébrale et embrumaient mon cerveau, des frissons me secouaient des pieds à la tête. Dune main je caressais une épaule, reprenais le coussin moelleux dun sein, taquinais un téton pointu. Je fermais les yeux sur le plaisir, je me demandais sil y aurait un après, je me sentais au bout de quelque chose. Soudain une chaleur humide enveloppa mon gland. Je regardai. Était-ce possible, était-ce concevable, était-ce convenable ?
La bouche dAngèle sétait refermée sur lextrémité de ma verge brandie, mon gland venait de disparaître entre ses lèvres.
Elle se releva, vint membrasser. Son baiser avait pris une étrange saveur. Bouches collées, je sentis ses seins venir sécraser sur ma poitrine, une jambe passa en les frôlant au-dessus des miennes, le ventre duveteux et chaud épousa le mien, les genoux remontèrent le long de mes cuisses, une main se glissa entre nos ventres, sempara de ma virilité en émoi et reprit la masturbation. Des poils énervaient mon gland décapuchonné, la main me tirait vers la chaleur humide, mappliquait contre un bourrelet de chair. Un doigt en voltigeur ouvrait larrondi, la main me promenait dans une crevasse mouillée, il y faisait chaud, jy glissais, je my enlisais.
Ça va, tu es bien ? Tu me sens ? Viens en moi, je taime !
Lannonce saccompagna dune poussée du ventre dAngèle, un manchon brûlant enveloppa ma verge. Le gland entré, par à-coups, la fille sempara, en glissant vers le bas, de la totalité de mon membre viril, vint buter contre mon pubis, mélangea sa toison brune à la mienne et simmobilisa. Jétais au paradis, paralysé par la surprise, incapable de bouger, trop bien logé, fou de bonheur, juste bon à répondre, essoufflé, au baiser qui me dévorait la bouche. Elle avait dit "je taime" et mavait pris. Jétais bouleversé par la double révélation. Au-dessus de moi, elle menait le bal à sa guise.
Vint le moment où elle fut dépassée par les sensations. À vitesse folle, avec des cris de tenniswomen des pays de lest dans une finale de Roland Garos, elle sélança dans une course folle, suant, rubiconde, les yeux révulsés.
Eh ! Bien, il était grand temps, tu en avais besoin ! commenta-t-elle.
Elle se releva et recueillit, sur ses doigts, le liquide gluant qui fuyait un sexe que je découvrais enfin, moustaches retroussées, ouverture rose entre des cuisses ouvertes. Elle se leva, partit en courant, me pria de la suivre. Assise sur le bidet de la salle de bain, elle enfonçait ses doigts dans son sexe avec un naturel déconcertant pour le novice que jétais.
Toi, alors ! Quest-ce que tu mas mis ! La prochaine fois, il faudra penser à te retirer !
Il y aurait une prochaine fois, Angèle le décrétait. On en venait à des considérations, sans doute rationnelles, mais si peu romantiques : il faudra te retirer. Je ressentis un gros malaise.
Bon, ne tinquiète pas, je ne risque rien aujourdhui ! Et surtout, pas un mot à Mimi ! Elle na pas besoin de savoir, je ne voudrais pas perdre ma meilleure amie ! Dans le fond, elle bénéficiera de ton initiation, cest un service que je vous rends bien volontiers ! Tu es un amour ! Mais si tu veux, on pourra recommencer ! Ça ta plu ?
Oui, merci Angèle
Jétais jeune, sans expérience de cette situation, jai baragouiné vaguement que javais aimé, beaucoup. À ce moment, je compris que la chair peut être triste. Angèle supposa que tu avais eu un empêchement. Par la suite, jai supposé que tu ne mavais pas fixé de rendez-vous et que jétais tombé dans une embuscade préparée par ta chère amie. Ainsi jai connu mieux que tu ne le crois celle que tu nommes « ma meilleure amie ». Quand tu liras mon récit, quand tu découvriras sa façon de tutiliser pour satisfaire ses envies, que penseras-tu ? La considéreras-tu toujours comme une amie ?
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