Le Cinéma Du Cap D'Agde
Le cap dAgde et son cinéma, ouvert le soir de 22h à 1h, pour laisser sexprimer tous les fantasmes et envies
Elle est nue dans le couloir à lentrée du cinéma, juste chaussée descarpins à hauts talons, et dune chainette qui enserre son ventre. Radieuse, elle sourit à son mari qui la photographie. Son thorax est couvert de sperme et visiblement, ils ont été plusieurs à lui éjaculer dessus.
Et moi, jai raté çà. Déjà une heure que la séance a commencé et jimagine que loccasion ne va pas se représenter ce soir.
Nous sommes dans le camp naturiste du Cap dAgde et ce cinéma-là existe vraiment. Dix euros lentrée pour hommes femmes et couples.
Cest une petite salle dune cinquantaine de places, un écran qui diffuse des pornos glauques, et deux canapés sous cet écran.
Au fond de la salle, un petit cabinet de toilette, avec lingettes et préservatifs. A lentrée, une table haute et un tabouret servent de caisse ; le préposé que je connais me rassure en me tendant le billet :
- « Tu peux rentrer, il y a encore du beau monde
»
Je passe le rideau qui fait office de porte. Au fond de la piéceuse dizaine dhommes est agglutiné entre deux rangées de fauteuils. Ils entourent un couple. La femme est assise, sa jupe retroussée sur son ventre. Elle caresse les bites qui lentourent, suçant celle qui sapprochent de sa bouche. Des mains la pelotent, pétrissant ses seins, fourrant leurs doigts dans sa vulve offerte. Cest la foire dempoigne, à celui qui pourra être au plus près delle.
Impossible de sapprocher.
Au pied de lécran, sur les canapés, un autre groupe est en action. La queue à la main, se branlant pour entretenir leur érection, les mecs attendent leur tour pour empaler une autre femme. Là aussi, le mari est près delle, se délectant du spectacle de sa belle, prise par tous ces hommes en rut .Certains narrivent pas à bander, dautres sont repus après avoir aspergé la femme croisée à lentrée.
Un petit frisé, sec comme un coup de trique, la bite dure et fine, besogne sans relâche sa proie. Visiblement, elle apprécie et le fait savoir par des gémissements rythmés par les coups de dard de son baiseur. Une main masculine simmisce sous ses couilles et caresse comme elle peut la vulve pénétrée.
Spectacle sympa certes, mais vite lassant pour moi. Un regard dans la salle me fait découvrir lobjet de mon désir. Une nana seule au milieu de sa rangée. Elle regarde le film et parait sennuyer. Je mapproche et magenouille à ses pieds. Elle doit avoir soixante ans, pas très jolie, chaussée de lunettes ovales qui lui donne lair dune institutrice. Sa tenue est moins « scolaire ». Elle porte un soutien-gorge en cuir ouvert, laissant dépasser deux seins qui nont pas connu la chirurgie. La jupe est aussi en cuir, relevée jusquà laine, dévoilant une chatte glabre.
- « Vous êtes seule ? »
- « Non, mon mari est juste derrière »
Effectivement, le mari est déjà en bouche, se faisant sucer par un autre homme.
- « je peux ? »
Et sans attendre sa réponse, je lui caresse ses cuisses .Pour seule réponse, elle ouvre ses jambes quelle pose sur les accoudoirs. Toujours à genoux, jenfonce mon visage dans le compas ainsi créé. Je la fouille avec ma langue, mattardant sur son clitoris, puis lapant son vagin qui commence à mouiller. Elle aime et me le fait savoir, en pesant de ses mains sur ma tête, imprimant un mouvement de va et vient qui semble la ravir. Je descends plus bas, léchant son anus .Lodeur est forte, excitante, bandante. Je nettoie son cul, pénétrant ma langue au plus profond pas du tout dégoutté par la subtile fragrance de sueur et de merde. Le nez dans son vagin, je la baise avec mon appendice.
- « Oui, y, je jouis, continue, bouffe moi le cul, jadore
»
Quand elle a fini de jouir, elle me relève, me gratifie dun beau sourire et me colle un baiser baveux en guise dapprobation.
- « Si tu veux, tu peux me prendre Tu as une capote ? »
Je me débarrasse de mon pantalon, et lui tend ma bite .La gourmande lenfourne et me pompe avec vigueur. A mon tour, je mouille comme une femelle des gouttes translucides quelle aspire de mon méat. Je lui tends un préservatif quelle menfile avec expérience. Je me positionne entre ses jambes et la pénétré avec délectation .Son vagin est brulant, je la bourre avec force. Cest le moment que choisis son mari pour revenir près delle. Cet enfoiré approche sa bite de ma bouche, ne me laissant pas dautres choix que de lenfourner. Elle est grosse, dure et
. Délicieuse .Après quelques minutes à ce rythme, je sens son phallus encore grossir et les premières gouttes de sperme envahir mon palais. Son orgasme déclenche le mien et je remplis ma capote toujours bien au chaud dans le ventre de sa femme.
Ah, quelle belle séance ce soir !
En sortant, le portier mapostrophe : »alors, le film ta plu ?
»
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