La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 427)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°423
Sans bouger le nez de sa gamelle, compelled MDE cambra un peu plus encore les reins, pour soffrir et donner son trou de salope au Majordome. Il sattendait à être enculé dun trait, il nen fut rien. Il ne comprit pas tout de suite pourquoi un des doigts de Walter glissait sur sa raie anale glabre. En fait, le Majordome récupérait la divine semence de Monsieur le Marquis qui sécoulait de son cul et séchappait dentre ses fesses. Ce doigt imprégné de sperme glissa dans les entrailles de compelled MDE.
- Il serait bien salope que ton cul retienne ce quon lui donne, surtout lorsquil sagit de la plus précieuse et noble des liqueurs intimes de ce Château. Comment oses-tu laisser échapper la merveilleuse semence du Maître ?
compelled MDE ne pipa mot. Il savait quil risquait gros, il ne voulait pas aggraver son cas. Mais ni Le Maître, ni Walter nen restèrent là. Monsieur le Marquis écrasa le visage de son minable chien sur le sol avec son pied droit et lui claqua à plusieurs reprises le cul. compelled ne bougea pas, se contenta de retenir plaintes et gémissements. Walter reprit, à lattention du Maître :
- Je crois que cela mérite une sévère sanction, ne pensez-vous pas Monsieur le Marquis ?
- Oui tu as raison mon cher Walter, ce soir, au moment que je jugerai opportun, cette salope recevra le fouet.
Le fouet ! Rien que le mot terrorisait compelled MDE. Jamais, il navait subi lassaut dune lanière. Combien de coups allait-il recevoir ? Quand allait-on le lui donner ? Laisser dans lignorance lesclave était bien une volonté délibérée du Maître. Ne voulait-il pas, en plus de la future douleur physique, lui imposer une forme de douleur mentale : Langoisse de lattente ? Oui, de lanxiété caractérisée par un sentiment dappréhension, de malaise voire de terreur face à la sanction décidée.
Le sexe du Majordome labourait ses entrailles, il avait enfilé le slave sans la moindre prévention, utilisant ce cul, comme on utilise un simple objet.
- Enfile-le bien mon cher Walter, je veux te voir lui ramoner son petit cul de salope.
Est-ce ces quelques mots qui produire un effet immédiat ? Walter se raidit, se tendit et éjacula par spasmes successifs. Il se retira peu après, se redressa et enfila un plug dans le cul de compelled MDE en lui lançant :
- Voilà qui taidera à conserver en toi nos présents intimes !
- Merci Maître, merci Monsieur Walter, se surprit à dire compelled MDE alors que rien ne lui avait été exigé.
Mais ces remerciements spontanés étaient sincères, malgré ces deux sodomies imposées, malgré lhumiliation vécue, malgré labsence de tout plaisir, compelled MDE sétait sentit vraiment à sa place, rien et uniquement à sa place et cest bien ainsi quil souhaitait dorénavant vivre. Un bien-être de bonheur lirradiait en lui-même, jamais il navait jusque-là, ressenti un tel sentiment dépanouissement, comme si jusquà ce jour cette appartenance à un Maître lui manquait sans quil le sache vraiment auparavant. Walter lattrapa par son collier, le fit redresser, lui ôta son bandeau et lemmena en le tenant toujours par le collier près de Marie, dans les cuisines du Château. Fébrile, les jambes encore flageolantes, il eut du mal à tenir debout ! La sévère cuisinière le dévisagea de la tête au pied avec un regard autoritaire, lui, baissa le regard sentant la forte personnalité de limpressionnante femme qui relevait la tête hautainement.
- Monsieur le Marquis pense que tu dois avoir besoin de main duvre, fusse-t-elle peu qualifiée.
- Oui, il y a du boulot ici, ce bâtard ne sera pas de trop. Je vais loccuper à faire les pluches, pour le diner, tu nas quà linstaller dans la souillarde.
Marie posa une lourde casserole remplie deau sur une immense plaque de cuisson industrielle et suivit le Majordome. La pièce un peu en contre-bas était vaste, éclairée uniquement par des néons blafards. Aucune ouverture vers lextérieur, des murs en pierre de taille apparente, un plafond à la française avec des poutres imposantes en chêne, donnaient un aspect très médiéval à cette arrière cuisine, mais à contrario, du mobilier industriel contemporain sintégrant parfaitement dans cette grande pièce : une grande table en inox brossé, deux grands réfrigérateurs, un congélateur, trois éviers, deux gazinières, une plaque à induction, une multitude détagères parfaitement rangées sur lesquelles étaient déposés toute une batterie de cuisine. Il y avait aussi une immense paillasse en inox devant laquelle se trouvait une femelle nue, avec juste un collier autour du cou, elle épluchait des pommes de terre. Elle se figea, comme paniquée, dès quelle vit Walter et Marie approcher.
- Travaille la chienne ! lui ordonna Marie
Alors elle se remit à la tâche, en baissant ostensiblement la tête en guise de parfaite soumission. compelled MDE fut placé à côté delle sur sa gauche, Marie lui tendit un économe et lui ordonna déplucher les carottes se trouvant dans un grand panier dosier. A peine avait-il commencé le travail ordonné, que Marie sapprocha des deux esclaves et caressa leur croupe, laissant ses mains glisser sur les fesses et les raies anales des deux soumis.
- Vos culs semblent bien encombrés et occupés, mais bon, je vais bien trouver dautres petits plaisirs à vous donner, approchez-vous lun de lautre, lun tout contre lautre.
La cuisinière avait attrapé un cordage, elle fit trois tours de cette corde autour du haut de la cuisse droite de compelled MDE, la noua fermement puis avec lautre extrémité de la corde, lia de la même manière la cuisse gauche de la femelle, afin que les cuisses des deux esclaves soient jointes lune contre lautre.
Elle sortit de la pièce en riant et en annonçant à la cantonade que Monsieur le Marquis dEvans avait maintenant deux salopes siamoises
La corvée de pluches terminée, les deux esclaves durent rejoindre non sans mal, la cuisine. Il fallait absolument quils coordonnent leurs mouvements, leurs pas, le plus dur fut pour eux de monter les quelques marchent, ils y arrivèrent non sans mal. Ils plongèrent les pommes de terre et carottes dans la grande casserole bouillonnante y ajoutèrent des beaux morceaux de viande de buf et firent cuire le tout dans une eau frémissante. Le repas du soir pour les esclaves pouvait enfin mijoter, la cuisinière sembla satisfaite. Elle sapprocha des deux esclaves, attrapa la nouille de lun, glissa un doigt dans la fente de lautre en leur disant :
- Cest bien mes chiennes, vous avez travaillé correctement, ceci vous vaut une petite récompense !
Marie sagenouilla devant les deux esclaves et les masturba en même temps, tout en leur interdisant lorgasme. compelled MDE nen revenait pas, se surprenait même, lui si pudique jusquici, lui ayant toujours eu des craintes et des scrupules résultant des préceptes moraux, culturels et religieux enseignés, lui qui ne faisait lamour que dans une chambre obscure, ici, il saffichait sans honte ni pudeur, la queue raide et branlée en pleine lumière.
- Tu as une bonne queue chienne, jespère que tu sais ten servir, jaurai loccasion prochainement de lessayer !
Lesclave allait dire Merci Madame Marie mais il se souvint quil nétait pas autorisé à parler sans quon ne le lui ordonna... Alors il hocha simplement la tête en signe de remerciements. Marie remarqua ce signe du visage et elle eut un subit moment daffection, ce qui était assez rare chez cette perverse et autoritaire femme, elle caressa doucement le visage du chien-esclave avec ce que ressemblait à de la tendresse
Puis au même moment la cuisinière détacha les pinces japonaises reliant les deux esclaves par les tétons. Tous deux poussèrent des geignements sourds, qui redoublèrent lorsque la cuisinière pressa et malmena les mamelons meurtris
Ils furent détachés et tenus en laisse, furent conduits à quatre pattes dans des escaliers étroits de pierres froides et en colimaçon. Une descente dangereuse vue la pente assez abrupte des escaliers qui les menèrent jusquà une des nombreuses caves du Château, une vraie cave voutée, en terre battue, avec des piliers énormes soutenant lédifice. A lentrée, une lourde porte en bois massif arrondie vers le haut et cloutée comme une porte de presbytère, était restée entre ouverte. compelled MDE eut bien du mal à descendre les marches en pierre en cette position imposée à quatre pattes, Marie dailleurs lui donna quelques coups de cravache sur son fessier pour le faire avancer plus vite, tout en faisant attention de ne pas le faire déséquilibrer. La cave nétait autre que le réfectoire pour les slaves. Des anneaux épais de bronze étaient scellés aux murs. Chaque anneau avait une longue chaine lourde aux maillons épais. Ils y avait aussi des gamelles qui étaient entreposées dans une mangeoire de bois à même le sol. compelled comprit bien vite quil mangerait encore ce soir comme un chien. Un garde était là, il était grand et musclé, un visage presque carré comme sil avait été taillé au burin, son pantalon était baissé car une esclave nue et à genoux lui suçait sa grosse bite.
- Hector, je te confie ces deux-là, je bas le rappel et regroupe une petite partie du Cheptel, juste les esclaves affectés aux taches du jour des cuisines et annexe, le repas va être près. Lança Marie !
(A suivre
)
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