Mon Patron Et Ma Femme
Mon patron n'essayait jamais vraiment de maider dans ma tache bien qu'il détenait une pile dinformations en forme de rapports et de recherches sur son ordinateur portable. La plupart du temps, il ne faisait que se tenir au courrant de lévolution du travail, et sattribuait le mérite de la réussite des projets, quil ait été impliqué ou pas. Il passait le clair de son temps à sa passion; les femmes. Bel homme, il laissait peu de femmes insensibles et au bureau on lui prêtait une quantité de conquêtes féminines et descapades amoureuses.
Un jour, alors que je rassemblais les données pour un projet de construction particulièrement important, je réalisais quil me fallait fignoler le tout avec des chiffres à partir des sondages effectués sur le sujet. Une fois de plus, mon patron était la seule personne à détenir ces informations. Je décidais quil me serait dune aide précieuse d'accéder secrètement son ordinateur afin de pouvoir compléter le projet dans le temps. En même temps, les rapports que jy trouverais me permettrais de mettre sur pied ma propre base de données pour dautres projets à venir, ce qui serait intéressant dans loptique dune promotion dans mon travail dans le long terme.
Depuis quelques mois ma femme Sanjana insistait pour quon aille rendre visite à ses parents. Une fois de plus, le projet tombait au mauvais moment. Je lui suggérai de sy rendre seule et promis de la rejoindre une fois la présentation terminée. Laéroport se trouvait tout près de lhôtel où mon patron et moi comptions séjourner pour mettre la dernière main à notre présentation; aussi je proposai à Sanjana de my accompagner.
Cette solution menchantait. Ma femme Sanjana tiendrait compagnie à mon patron pendant que moi j'irais fouiller dans son ordinateur. Le patron ne verrait pas dinconvénient à ce que jemmène ma femme; il nétait pas du genre à sennuyer en compagnie d'une belle femme. Cependant je choisis de ne rien dire à Sanjana au sujet de mes intentions.
Au fil des mois, après une dure journée de travail, il marrivait de tenir ma femme au courrant des difficultés que je rencontrais au bureau. Il nous arrivait den parler des heures, et souvent les conversations au sujet de mon beau patron et ses succès avec la gente féminine occupaient l'essentiel de nos soirées.
Lorsque Sanjana et moi atteignâmes l'hôtel, il était déjà tard le soir. Mon patron était déjà arrivé une demi-heure avant et il vint à notre rencontre. Je lui présentai ma femme et partis aider à porter nos valises jusquà notre chambre d'hôtel. Le patron et moi avions réservé des pièces attenantes avec une porte communicante, ce qui marrangeait. Quelques instants plus tard je rejoignis Sanjana et nous prîmes congé de mon patron. Au moment darriver à notre chambre, je demandai à Sanjana son opinion sur mon patron. Elle dit « Tu avais raison, il est un flirt ».
« Pourquoi ? Ta-t-il dit quelque chose? » je demandai.
« Il m'a fait des éloges et a dit beaucoup que tu as de la chance d'avoir une femme aussi belle » répliqua Sanjana.
« Sur ce point, il se pourrait quil ait raison, » je répondis en la taquinant.
Le jour suivant, laissant Sanjana à elle-même, je rencontrai mon patron dans la salle de séminaire mise à notre disposition. On passa toute la matinée, puis toute laprès midi à travailler. A la fin de la journée, lorsque notre session de travail toucha à sa fin, je proposai au patron de se joindre à ma femme et moi pour le dîner. Il accepta gracieusement, ce qui me réjouit au plus haut point. Cétait l'occasion que jattendais. Je rentrai à l'hôtel et demandai à Sanjana de se préparer pour la soirée.
Trente minutes après, nous étions assis à une table dans le restaurant de l'hôtel. Toute de suite je me mexcusai, prétextant devoir aller chercher la présentation de notre projet sur film pour le lendemain.
Bien sûr javais organisé avec l'hôtel pour aller prendre le film à ma place. Je me dirigeai donc directement vers notre chambre et par la porte communicante, accédai facilement à la chambre du patron. Je trouvai son ordinateur portable sur sa table de chevet et la fis fonctionner. Toutefois, à peine ai-je commencé à copier les dossiers sur ma disquette quand jentendis des pas qui venaient vers la porte.
Agissant par réflexe, je pris le portable avec moi et me dirigeai précipitamment vers la salle de bains que je fermai derrière moi. Je laissai toutefois une petite ouverture pour que je puisse voir la personne qui allait entrer. Je fus fort étonné de voir que cétait mon patron accompagné de ma femme Sanjana. Ils devaient s'ennuyer à m'attendre dans le restaurant. J'étais curieux de savoir quel prétexte mon patron avait bien pu utilisé pour que Sanjana le suive jusquà sa chambre.
A travers la porte entrouverte je vis mon patron sortir un album de photos de sa valise et commencer à montrer à Sanjana des photos quil avait prises dans différents pays au cours de ses voyages. Sanjana rêvait plus que tout de voyager et je me rappelais en avoir parler au cours dune conversation avec mon patron.
Je me sentais pris au piège : je ne pouvais pas sortir de ma cachette car je n'avais pas d'excuse dy être. Je me résignai donc à les regarder alors même que mon patron aidait ma femme à admirer son album de voyage. De temps à autre, mon patron laissait glisser ses doigts qui se posaient sur ceux de Sanjana au moment où il tournait les pages de lalbum avec elle.
Bien que Sanjana fit semblant de ne rien remarquer, je savais quelle en était consciente, elle comprenait ce quil cherchait à faire et cela la rendait nerveuse.
Bien que visiblement mal à laise, Sanjana ne trouva pas quoi dire. Mon patron s'approcha delle et dit « Nous ne faisons rien de mal, n'est-ce pas ? »
Il posa sa main doucement sur ses bras en la regardant directement. Sanjana détourna son regard comme pour éviter ses yeux sur elle. Il continua à la dévisager et dit : « Quand une femme rougit, cela veut dire que soit elle est gênée ou elle est fâchée. Lequel êtes-vous maintenant? »
Sa voix était très légère, comme une caresse sur elle, et elle rougit encore un peu plus. Il approcha son visage plus près de la sienne et dit : « Cela vous gênerait-il encore plus si je vous embrassait? »
Sa dernière phrase eut pour effet de faire réagir Sanjana. Elle se retourna vers lui et arriva à dire " Vous
nous
nous ne devons pas faire cela. »
« Vous voulez entendre quelque chose que j'ai jamais dit à personne dautre? »
« Quoi ? » lui demanda-t-elle.
« Ce matin quand je me suis réveillé, cest à vous que jai pensé en premier, à vos jambes telles que je les ai vues hier à travers votre jupe
à lenvie soudaine que jai ressenti de les caresser, peu importe le moment ou le lieu. Jai pensé à votre bouche, à vos lèvres
à la manière particulière que vous avez de prononcer délicatement chaque mot dans une phrase
à la couleur qui apparaît sur vos joues chaque fois que vous êtes embarrassée
comme maintenant »
Ses mots semblèrent la prendre par surprise. Il s'était rapproché delle, sa bouche se posant presque sur ses joues lorsquil lui parla.
Elle était inclinée maintenant contre le mur, son visage tourné dans lautre direction de lui. Le bout de son doigt suivait les contours de son visage.
Ils sembrassaient maintenant avec fougue, totalement inconscient de tout autour deux. Le bruit qu'ils faisaient avec leur bouche sentendait à travers la pièce.
Pendant un court instant je pensai devoir intervenir pour mettre fin à cette scène. Au fond de moi, cependant, je n'étais pas sûr de ce jétais sensé faire. Je n'étais pas sûr davoir un certain contrôle sur ma femme. Je sentais que Sanjana pourrait ne pas m'obéir. Même si elle faisait, son corps ne le ferait pas. Elle non plus ne semblait en avoir contrôle. Son corps lui répondait à lui, fiévreusement. Je me résolus donc à regarder, n'ayant même pas le courage de détourner les yeux.
Mon patron embrassait maintenant la gorge de ma femme pendant que sa main caressait son corps de long en large, pour venir se poser sur son sein. Il baissa la tête et plantant un baiser sur le bout de son sein à travers son linge.
Personne nentendit le coup sec sur la porte. En tout cas, pas tout de suite. Sanjana fut le premier à réagir. Elle sortit de son étreinte et séloigna quelques pas de lui, tout en reprenant son souffle. Mon patron se tourna vers la porte et louvrit. Un garçon d'hôtel entra, portant deux cocktails sur son trolley. Ils devaient les avoir commandés pendant quils mattendaient au bas dans le restaurant. Le garçon d'hôtel plaça le trolley dans un coin de la chambre et partit.
Pour quelques secondes les deux restèrent sans bouger. Ma femme Sanjana avait retrouvé son calme et semblait gênée de sêtre laisser aller. Elle commença à se diriger vers la porte mais mon patron se mit au devant delle. Il essaya de la retenir et tenant ses bras dans ses mains.
« Nous n'aurions pas dû faire cela, « lui dit-elle.
« Attends..., » lui répondit-il en plaidant.
Ses mains se glissèrent le long de son corps pour venir sarrêter sur sa taille. Elle redressa sa tête et osa le regarder dans les yeux et dit : « Vous avez promis. »
Elle était maintenant adossée à la porte de la chambre.
« Juste cinq minutes, » plaida t-il, en s'agenouillant devant elle. Il lui tenait toujours la taille et pressa son visage contre son corps. Lentement elle toucha ses cheveux et commença à jouer avec. Ses doigts se déplacèrent sensuellement sur ses sourcils, son nez jusquà ses lèvres.
Toujours agenouillé devant elle, il embrassa ses doigts et les pris tour à tour dans sa bouche. Ensuite, avec la plus grande délicatesse, il ouvrit la fente de sa robe, révélant la blancheur de ses jambes. Lentement il parcourut sa main sur son mollet et monta vers le haut, en prenant son temps. Ensuite il embrassa ses jambes, ses lèvres remontant le long de sa jambe, caressant et couvrant de baisers
de milliers de baisers.
Ma femme était toujours adossée à la porte, elle faisait de plus en plus deffort pour garder son équilibre. Son corps entier frissonnait et sa bouche était légèrement ouverte. Soudain elle laissa échapper une plainte étouffée « aahhh... ».
Un tremblement traversa aussitôt son corps tout entier et sa gorge sembla palpiter.
Mon patron sembla prendre le gémissement de ma femme comme un signal. Il se redressa en la soulevant avec lui et la porta jusquau lit. Il entreprit de déboutonner sa chemise à lui pour révéler sa poitrine. Ensuit il commença à ouvrir la fermeture éclair de son pantalon. Pendant tout
ce temps Sanjana narrêta pas un seul instant de lui fixer des yeux.
Je sentis mon estomac se serrer. Cela ne pouvait pas arriver, pas à Sanjana, pas à ma femme dévouée. Elle ne se laissera pas faire, je pensais. Elle ne le fera pas.
Mon souffle faillit sarrêter lorsque mon patron sortit son sexe. Sanjana s'était approché de lui, et baissant sa tête, le prit dans ses main et l'embrassa. Elle se laissa ensuite tomber sur le lit, ses yeux toujours posés sur lui. Elle lui avait laissé comprendre quelle soffrait totalement à lui
Jamais je navais envisagé voir ma femme embrasser un pénis, même pas le mien. Je me rendis compte quelle devait l'avoir senti contre elle quand il l'embrassait contre le mur. Elle devait y avoir pensé à ce moment là. Elle devait en avoir eu envie.
Mon patron navait pas besoin davantage dencouragement. Il prit la jambe de Sanjana et la caressa avec sa main de bas en haut jusquà sa cuisse, puis souleva sa robe pour révéler sa culotte. En un mouvement rapide il l'enleva pour avoir accès à sa chatte. Tout en embrassant sa jambe il la pris contre lui. Ensuite il tira Sanjana vers lui et dirigea son membre à l'intérieur delle. Il ne portait pas un préservatif. Elle ne sembla pas sen soucier. Elle le voulait en elle; elle ne voulait pas qu'il sarrête, même un instant.
Avec des mouvements légers, mon patron emmena le corps de ma femme à bouger à la cadence quil voulait. Quant à elle, son corps commençait à sarquer en arrière à mesure que le plaisir montait en elle. Des gémissements séchappaient de sa gorge.
La fente de sa robe était remontée au-dessus de ses genoux révélant ses jambes, impudiques, mais merveilleuses comme je ne les avais jamais vu. En fait, avec un pincement de douleur, je me rendit compte que Sanjana navait jamais été aussi désirable, aussi épanouie, aussi femme.
Soudain mon patron arrêta son mouvement et une vague sembla passer de son corps à celui de Sanjana. Elle se pencha encore plus en arrière. Ensuite mon patron commença à la pénétrer plus rapidement et longuement, entrant au plus profond delle à chaque fois. Les gémissements étouffés qui séchappaient d'elle étaient maintenant plus bruyants, son souffle était plus court.
La vue de ma femme, si fière et respectueuse, jouissant de plaisir, les jambes écartées dans les bras de cet homme, était quelque chose à laquelle je n'étais pas préparé. Le corps que javais toujours tenu pour sacrée maintenant était envahi et exploité comme un vulgaire objet.
la suite a tres bientot
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