La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 428)
Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°427
Le garde ne fit cas des deux, bien trop occupé par cette sublime fellation, il émettait de gros gémissements de plaisir, et entre deux râles, répétait sans cesse :
- Tu nes quune chienne, suce salope, avale bien ma queue !
Le petit nombre desclaves dune partie du Cheptel était maintenant regroupé dans le réfectoire aux esclaves, au total pour ce repas, cinq sujets femelles, quatre mâles. compelled reconnaissait e6934 MDE, soumise Phryné MDE, soumise Vanessa MDE, les deux autres esclaves ayant partagés sa cage le matin même, le mâle répondant au nom de e73700 MDE, la femelle soumise Emeline MDE, Il reconnut aussi lesclave femelle qui avait été conduite aux cachots après avoir été martyrisée par la cuisinière, son nom tatoué sur son fessier renseigna compelled, elle était soumise Holly MDE. Deux autres esclaves, un mâle et une femelle, celle qui suçait le garde à son arrivée ici, nétaient pas connu de lui et ne portaient aucun tatouage, mais juste à linstar des autres un épais collier aux Armoirie des Evans gravées sur le cuir. Tous se rangèrent devant une gamelle, tous à quatre pattes, la tête tenue dans un carcan, ils purent alors se nourrir. Il ne fallait pas perdre de temps, ils disposaient dun seul quart dheure pour avaler leur pitance, sous le regard du garde qui parfois leur flattait la croupe ou glissait une main vicieuse entre leurs cuisses. Sitôt leur repas terminé, ils furent conduits, à quatre pattes aux latrines et chacun leur tour durent saccroupir sur cet unique et modeste WC à la turc. Tous avaient lair heureux dêtre traités ainsi et cest sans aucune gêne quils sexécutèrent, habitués et apparemment épanouis dans leur avilissement consenti.
compelled MDE fit comme ses congénères lorsque son tour arriva, mais lui nétait en revanche pas encore habitué, il était plutôt honteux et résigné, il se soulageât sous le regard de ses frères et surs de slavitude.
Le garde se retrouva donc seul avec compelled MDE, celui-ci navait pas bougé dun pouce, toujours en position debout mais courbé sur le devant à 90 degrés, les jambes bien écartées et ses mains écartant ses propres fesses, exhibant ainsi un anus sans poil autour et largement ouvert mais plugé. Le garde sapprocha de lui et lui retira le plug, lui mit ensuite une cagoule de cuir opaque sur le visage, puis lemmena, tiré par une laisse apposée à son collier à travers ce qui lui semblait dans un premier temps être de longs couloirs froids et humides. Il eut rapidement limpression de se déplacer en réalité plus dans des souterrains voutés que dans des couloirs mais il ne pouvait le constater ayant les yeux aveuglés. Il devait se déplacer doucement en baissant les épaules sur lordre du garde afin de ne pas se cogner la tête tant le plafond vouté était relativement bas.
- Tu te trouves dans les entrailles du Château. Saches que ses souterrains ont sauvé la vie des ancêtres de Monsieur le Marquis. En effet, cest par ceux-ci, par ses souterrains secrets à lépoque de la Révolution Française que laïeul du Maître, le fameux Marquis Charles-Edouard dEvans (NDLA : lami du Marquis de Sade, voir Les Origines de la Saga) et sa famille purent fuir et ainsi échapper au révolutionnaire en 1789
compelled MDE perçut de lémotion dans la voix du garde, comme si le fait de fouler ces souterrains à connotation historique ne le laissait pas indifférent
Lévolution lente dans le tunnel continua encore quelques minutes quand à un moment donné il fut possible de relever les têtes, signe que la voûte et donc le plafond étaient plus hauts. Il lui sembla être dans une autre cave, dans un espace plus large quun souterrain en tout cas ! Alors, compelled MDE fut plaqué contre un mur froid à même le roc. Il sentit quon lui posait des bracelets en cuir à ses chevilles et poignets. Le garde lui demanda décarter largement les cuisses, puis attacha par des mousquetons chacun de ses membres à des anneaux fixés au mur, deux en haut pour les poignets et deux en bas pour les chevilles. Tenu ainsi en croix, dans le noir absolu, compelled MDE fut abandonné à son triste sort. Il avait froid, trembla de frissons de fraicheur et trouva le temps long, très long, jusquau moment où il sentit une main parcourir son corps offert. Il navait pas entendu venir vers lui quelquun. Dans un silence absolu, des doigts pressèrent fortement ses tétons, une main se plaquait contre son bas ventre et comprimait ses couilles.
- Veux-tu bien te taire salope.
Et là soudain le déclic ! Cette voix, il la reconnu immédiatement, instantanément. Cétait celle de son
chef de service !
- V.. Vous, mais
? balbutia compelled MDE
- Je tai exigé de te taire sale chienne, ne comprends-tu pas lorsquon te parle, lorsquon exige, lorsquon impose le silence à une salope de ton espèce.
Compelled MDE crut que ses couilles allaient explosées, sous leffet dune dure tension, que son téton droit allait lui être arrachés sous une pression dune densité jamais connue.
- Redresse-toi simple objet, laisse-moi chien, le loisir de te tenir par les couilles, depuis le temps que jattendais ce moment, depuis le temps que jen avais envie, depuis le temps que je thumiliais publiquement. Je le savais bien que ta place était ici, aux ordres et au service de Monsieur le Marquis dEvans, à Ses pieds telle une larve. Je savais que ton désir le plus profond était de te faire loper, de te faire dresser, de te faire enculer ! de nêtre plus quun esclave-chien docile et obéissant
La pression sur ses couilles avait diminué, compelled MDE pouvait reprendre son souffle.
- Tu es une belle salope, une vraie chienne, parait-il
réponds ?
- Oui
Compelled MDE reçut deux claques fulgurantes en plein visage.
- On dit Oui Monsieur, lorsquon est bien éduqué, lorsquon na pas envie de recevoir une dérouillée
- Oui Monsieur
- Accorde-moi un petit plaisir, mon cher compelled MDE, dit moi donc que tu es une vraie petite salope, et que tu es très heureux ici en cette Noble et Historique Demeure. Dis-moi que tu vas faire tous les efforts nécessaires pour satisfaire pleinement le Maitre de Ces Lieux.
- Oui Monsieur, je suis une petite chienne et je mengage devant vous à respecter, honorer, satisfaire le Maître Absolu, Monsieur le Marquis dEvans, quel que soient les sévices que je devrais endurer.
- Cest bien ma chienne, je suis fier de toi.
En récompense, une main caressa la poitrine de compelled MDE, glissa sur son sexe et le branla gentiment
- Je vais te faire détacher la chienne, Le Maître de cette Auguste Demeure, me fait un plaisir immense pour me remercier de tavoir conduit jusquà Lui. Il vient de mautoriser à tenculer !
Et je ne vais pas men priver
(A suivre
)
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