La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 429)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°428 -
Le chef de service de compelled MDE, alias Monsieur Alain dans ce Château, nétait autre quun agent recruteur de Monsieur le Marquis dEvans. Fin psychologue, il savait en lespace de quelques minutes seulement, si celui ou celle en face de Lui était ou pas un potentiel soumis. Joueur, tel un félin avec sa proie, il savait au départ se montrer agréable, devenait très vite le confident de celle ou celui-ci en portant toujours une oreille attentive, son discours était empathique. Cétait un parfait manipulateur. Puis au fil du temps, après une analyse plus précise du comportement de lindividu, il devenait quelque peu prédateur. Il testait encore et toujours, par lhumiliation, par le rabaissement de lautre, et le conduisait vers un état dimpuissance et de soumission, pour lui faire toucher du doigt quil prenait du plaisir et une forme dexcitation érotique dans une telle situation. Et cétait bien ça quil avait détecté chez compelled MDE, il ne sétait guère trompé, un vrai soumis dans lâme, une petite salope aimant se faire dominer et prenant un réel plaisir sexuel à se laisser conduire dans la dépravation. Monsieur Alain avait beaucoup dadmiration pour Monsieur le Marquis dEvans. Il savait quavec ce grand Maître expérimenté, ceux quil amenait ici était sûrs de vivre pleinement ce pourquoi ils étaient faits.
compelled MDE avait été détaché et conduit sans ménagement par un garde dans une petite pièce rustique et richement meublée. Une immense toile trônait au-dessus dune cheminée en marbre rouge royal, aux veines gris clair. Elle y représentait un immense portrait, celui dun homme en perruque blanche, en habit de cour, dans une posture debout, tête haute, le visage sévère. Ce nétait autre quun des aïeux les plus illustres de Monsieur le Marquis dEvans, du temps où Louis XVI régnait encore, juste avant que la France ne sombra sous le joug des Révolutionnaires.
Au centre de la pièce, il y avait aussi cette méridienne dun velours épais rouge aux pieds dorés. Là, était couché nu, Monsieur Alain. Exhibant un sexe en érection, il se masturbait tranquillement sans aucune pudeur.
- Approche salope ! lança-t-il à compelled MDE
Monsieur Alain exigea à compelled MDE de se mettre à genoux près de lui et de lui sucer les tétons. La bouche et la langue de la chienne se plaqua contre le sein droit, sa main gauche glissa sur labdomen et le pubis de Monsieur Alain. Il se laissa faire, sembla même apprécier le doux traitement de ce nouvel esclave à former. Les gémissements de Monsieur Alain devinrent plus forts, plus nombreux, entre deux geignements, Monsieur Alain exprima son exigence de voir compelled MDE se comporter telle une petite chienne, une petite salope. La tension était palpable, lexcitation était montée dun cran. Jusquici, la mer était calme, mais un coup de vent subit et violent la fit se lever, se déchaîner. Monsieur Alain sétait redressé, compelled MDE fut bousculé, retourné, chaloupé et chopé. Fort excité, Monsieur Alain, le pénétra dun trait, à sec et sactiva dans son petit trou déjà bien dilaté. Empalé en levrette, compelled MDE prit au fond de ces entrailles ce sexe cramoisi de désir et se donna assoiffé, contraint de saffaler sur le ventre, les reins cambrés, sabandonnant aux rythmes lancinants de Monsieur Alain et se laissa se faire ramoner avec désir et avidité. Monsieur Alain se laissa aller alors quand dans un long râle orgasmique, il gicla par saccades et répandit le fruit de sa jouissance au fond de ce cul offert.
- Je suis sûr que Monsieur le Marquis fera de toi une bonne pute
Tels furent les mots de Monsieur Alain, comme une simple appréciation.
- Cher et Vénéré Maître, nous voici tous réunis ce soir devant Vous. En mon nom mais aussi au nom de Marie et des gardes présents, nous vous présentons nos plus humbles respects.
Le Majordome se tut quelques instants puis il reprit un cahier à la main
- Jappelle ici, le chien-soumis-esclave e6934 MDE
Lesclave en question se déplaça à quatre pattes jusquà devant lestrade. Il baisa les pieds du Maîtres, ceux du Majordome et de la Cuisinière puis sinstalla à plat ventre, bras en croix, tel un pénitent. Le Majordome reprit la parole :
- Ce chien ne sait pas encore se taire, Monsieur le Médecin la trouvé en train de discuter librement dans une des salles de bain avec lun de ses congénères.
Le Marquis dun air grave, un ton sévère nautorisant aucune réplique, annonça la sentence.
- Port dun bâillon-boule pendant les 48 prochaines heures. Ce bâillon ne sera ôté uniquement pendant les repas ET 50 coups de fouet pour ce chien. Cet esclave peut reprendre sa place.
e6934 MDE, se releva, baisa encore les pieds du Maître Vénéré en signe dune profonde reconnaissance dêtre ainsi puni et regagna sa place, toujours à quatre pattes. Walter, le Majordome reprit alors la parole :
- Jappelle ici, la chienne-soumise-esclave Emeline MDE.
Même cérémonial pour cette femelle, elle se déplaça à quatre pattes, baisa humblement les pieds, et sinstalla dans la posture requise.
- Le cul de cette chienne a refusé de prendre un plug, dune taille tout à fait modeste, à plusieurs reprises dans la matinée, Monsieur le Marquis.
Le Marquis dEvans regarda son Majordome et linterpella dun ton soucieux :
- Est-elle blessée ?
- Non Monsieur le Marquis, ces chairs intimes sont en parfait état de fonctionnement, aucune déchirure, point dhémorroïdes, cette salope naime pas prendre des godes, elle préfère des queues.
- Dans ce cas, elle portera pendant 24 heures un plug dune taille supérieure à celui quelle refusa. Cet objet devra être maintenu dans son cul par un harnais fixé à sa taille. Jajoute 50 coups de badine sur ses fesses à rougir. Cette femelle peut reprendre sa place
(Walter annonça ensuite : )
- Jappelle maintenant, le chien-soumis-esclave compelled MDE
compelled MDE avança tremblant. Lui aussi sappliqua de respecter le rituel, ému de se trouver face au Maître, il avait des frissons qui le traversèrent de la tête aux pieds quand il baisa avec crainte les vénérés pieds et sinstalla au sol, à linstar de ceux qui lavait précédé.
- Cette nouvelle salope na pas su retenir, dans ses entrailles, le divin nectar que vous y aviez déposé
Le Maître resta silencieux quelques instants, comme hésitant. Fallait-il punir sévèrement ce nouveau venu pour bien lui faire comprendre la faute commise, fallait-il être un peu plus indulgent avec lui compte tenu de son arrivée récente au Château et de sa volonté affichée de soumission ? Le Maître pourtant lui avait promis le fouet, alors chose promise, chose due.
- Pour ce mâle, ce sera 50 coups de fouet que je lui donnerai moi-même, avec quelques contraintes supplémentaires. Et comme cest ça première punition, il sera châtié ici devant nous tous, dès la fin de cette cérémonie.
Le fouet, compelled MDE, navait jamais reçu le fouet
il était terrorisé et excité à la fois !
Comment allait-il supporter un tel traitement
Il se redressa et cest encore en tremblant quil baisa les pieds du Maître dès quil en reçut lordre. Il était, certes, terrorisé mais il ne saurait dire pourquoi, il sentit une forte excitation lenvahir, une excitation mentale quil ne pouvait contenir
Savoir quil serait fouetté devant tout le Cheptel et par les propres mais du Maître quil vénérait lemplissait dun immense honneur et bonheur, à en oublier les morsures du fouet.
- Jappelle maintenant la chienne-soumise-esclave Vanessa MDE
La femelle arriva lentement et se prosterna comme les autres.
- Cette garce a cru bon de refuser les avances de Monsieur le Médecin sous prétexte quelle avait ses règles.
Monsieur le Marquis nhésita pas une seule seconde, la rude sentence tomba prestement.
- 50 coups de fouet pour cette chienne mais aussi elle devra coucher avec Monsieur le Médecin toute une nuit et subir tout ce quil exigera delle et si par malheur, il nest pas satisfait, elle sera congédiée purement et simplement du Château
compelled MDE vit des larmes coulées sur les joues de la chienne, lorsque celle-ci alla baiser les pieds du Maître. Elle resta là immobile à quatre pattes, reins cambrés espérant obtenir un adoucissement de la peine prononcée. Il nen fut rien, alors elle regagna sa place à quatre pattes en pleurant
La simple idée dêtre congédiée était plus triste à ses yeux que les coups de fouet
- Voilà qui est fini pour aujourdhui Monsieur le Marquis, vos autres mâles et femelles se sont comportés correctement.
- Bien ! dit le Maître.
Il se leva, sapprocha de ses esclaves, fit le tour deux, tous immobiles. Il les toisa de sa haute et digne stature. Puis Il attrapa la soumise Phrynée MDE par son collier, la fit se lever et lui demanda de rejoindre le centre de ce demi-cercle. Il fit la même chose avec e73700 MDE. Tous deux sinstallèrent en posture dattente. Le Maître regagna son fauteuil tranquillement, puis reprit la parole :
- Jai constaté avec plaisir que depuis plus de huit jours, vous deux navez été punis. Je sais être sévère lorsquil est utile de lêtre, mais je sais aussi être juste et encourageant, lorsque mes salves le méritent. Jai donc décidé pour vous deux de vous accorder ce soir la jouissance
(puis en regardant le mâle)
Walter va te retirer ta cage de chasteté
Vous allez donc vous branler là devant nous tous ici rassemblés. Je vous accorde dix minutes et jouissances à souhait. Cest parti !
Walter déverrouilla et retira la cage et le Maître regarda sa montre puis porta un regard attentif sur Ses deux esclaves. La femelle ne se fit attendre, elle avait déjà écarté les cuisses, se caressait dune de ses mains son clitoris déjà fort gonflé. Elle contractait les muscles de ses cuisses et fesses pour sexciter plus encore. Parfois, elle se pénétrait avec une ou deux de ses doigts. Le mâle lui avait attrapé sa nouille flasque dune main et imprimait des mouvements de va-et-vient qui la firent se redresser rapidement. De lautre, il se caressait les fesses et parfois même glissait un doigt dans le cul
Les gémissements de plaisir se firent rapidement entendre
Les deux chiennes sexcitaient joyeusement en toute impudeur sans la moindre indécence, saffichant même avec un certain aplomb ou certaine indolence, comme si lacte en lui-même leur paraissait simple, banal et parfaitement naturel. Quand un ordre du Maître claqua :
- Je veux vous voir copuler comme des bêtes et jouir dans un parfait coït !
Ils ne tardèrent pas à obtempérer ! Le mâle monta sur la femelle excitée et déjà en levrette, tête plaquée sur le sol. Il la baisa puissamment à grand coups de reins et comme il navait pas éjaculé depuis longtemps, il ne tarda pas à lâcher un flot de sperme dans un râle jouissif sans se retirer, profondément en elle, en coït. Alors elle laissa échapper, elle aussi, son orgasme ! Ils jouirent donc tous les deux dans le temps impartis. Le mâle se retira alors et la femelle, sur ordre, lécha, nettoya la verge gluante et la semence de son congénère mâle, puis tous deux remercièrent le Maître et se prosternèrent devant Lui. Ils regagnèrent ensuite rapidement leur place. Le Maître, fit claquer ses doigts, deux gardes sapprochèrent :
- Le moment est venu de punir compelled MDE, allez me le cueillir
Le deux gardes sapprochèrent de lui, lattrapèrent, le soulevèrent, lui fixèrent des bracelets cuir aux poignets, lui attachèrent une barre décartement entre les jambes. Ils le placèrent ensuite sous un palan accroché à lune des poutres du plafond au centre de la pièce. Bras tendus au-dessus de sa tête, il fut attaché au crochet du treuil et soulevé de quelques centimètres afin quil resta sur la pointe des pieds.
- Accrochez lui des poids aux couilles, un kilo devrait faire laffaire. Ordonna le Maître, toujours tranquillement assis.
Les deux gardes sactivèrent.
- Deux pinces à seins maintenant.
compelled MDE se mordit les lèvres pour ne pas hurler tant celle de droite lui faisait mal.
Marie la cuisinière et le Maître sapprochèrent avec quelques instruments de frappe entre leurs mains. compelled MDE trembla de tout son corps, et sentit son excitation intérieurement grandir. Mais déjà les premiers coups tombèrent, deux martinets frappèrent le corps tendu de compelled MDE. Bien difficile pour lui de rester impassible, se tortillant à sen arracher les couilles avec ce poids pendant entre ses jambes. Les coups portés sur son pubis le firent plus que frémir. Un coup plus fort encore vint lui arracher un des pièces sur d'un de ses tétons. compelled MDE ne put retenir un hurlement. Et paradoxalement il en était que plus excité, jouissivement excité dans sa tête !
Les coups sestompèrent
deux minutes seulement. En fait, guère plus car les affaires reprirent dune autre manière. Cette fois, avec une seule lanière pour cingler ce corps. Le Maître prit les choses en mains, doux et lent au départ. Et progressivement plus mordant, plus appuyé. compelled MDE commença à se tordre et laissa échapper geignements et soufflait bruyamment. Mais il en éprouvait un incroyable et formidable plaisir masochiste. Il sagitait et ne pouvait réprimer quelques mouvements desquive. Le voilà dans leffort, la douleur, la résistance et lincomparable plaisir maso, sous les regards attentifs du Maître, de Marie, Walter et de ses congénères. Concerto à quatre mains et une voix que le Maître prolongent à lenvie, de nombreuses et longues minutes
parfois des crescendo bien synchronisés, alternés par une séquence moderato
parfois un déluge de coups concentrés sur le même endroit du corps
Enfin compelled MDE peut reprendre son souffle
Heureux, il a joui maintes et maintes fois mentalement, des jouissances non physiques, difficile à décrire, des jouissances qui lui ont apporté un paradoxal bien-être à la souffrance. Il na demandé jamais grâce ou imploré pitié jusquà quil fut libéré ! Il ressentit alors un peu de fierté à être parvenu à montrer son endurance dont témoignent dailleurs les magnifiques arabesques sur son corps, dont il a été gratifié
(A suivre
)
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