Marie, Épisode 1
Marie est ma responsable depuis maintenant un an. Dès le départ, je lui ai trouvé du charme, bien qu'un peu trop « bourgeoise » pour moi. Elle est mariée, 3 s, et à peine plus âgée que moi ce qui expliquait une certaine curiosité et attirance. J'avais pu faire connaissance sommairement avec son mari et je m'étais fait la réflexion que son mec était sûrement plus doué avec la comptabilité du foyer que pour lui amener du plaisir... Quel gâchis, car Marie a vraiment un joli petit cul, des petits seins qui semblent bien fermes, bref, tout bien comme il faut et du charme, surtout.
Je n'ai jamais su si c'est sa position de supérieure hiérarchique ou son physique simple mais très agréable qui m'a excité en premier. Je crois que les deux associés ont rapidement fait travailler mon imagination. Nous étions assez proches et nous entendions très bien, mais franchir le pas semblait impossible, la barrière chef/employé est difficile à passer, même si je lavais fait déjà il y a une dizaine dannées.
Et pourtant, nous avions l'habitude de faire un point sur l'avancement des dossiers une à deux fois par mois et je sentais doucement un rapprochement émotionnel. J'aimais ce moment où je pouvais un jour admirer son petit décolleté, un autre jour ses fesses mises en valeur par un jean serré qui lui allait à ravir. Souvent, il m'arrivait de bander et j'espérais secrètement qu'elle s'en rende compte, juste pour alimenter mes fantasmes. Plus que tout, jadorais ce petit cul et je ne me gênais pas pour le reluquer.
Je sentais parfois qu'elle était intéressée... mais mariée...
Ce jour-là, je descendais à notre RDV habituel et devais résoudre un problème sur son poste informatique. Je passais derrière son bureau où elle était assise, légèrement derrière elle, en décalé, pour accéder à son clavier. Elle portait un petit chemisier en dentelles, juste sexy comme il faut, sans la moindre vulgarité... Je sentais son parfum, très agréable, frais, sensuel.
- Nous ne devrions pas Marie, tu es mariée
- Je sais ça... Mais mon mari a d'autres préoccupations que mon plaisir, si tu vois ce que je veux dire...
- Je m'en doutais... Tu es si jolie, comment est-ce possible???
- Demande-lui!
Cette dernière phrase eu le mérite de détendre un peu l'atmosphère et je l'ai embrassé. Ma langue a lentement caressé la sienne, mes mains ont doucement saisi ses seins à travers son chemisier.
Je suis allé fermer la porte de son bureau à clef, je l'ai assise sur le bureau, jambes légèrement écartée. Ce jour-là, le hasard a voulu qu'elle porte une jupe. J'ai monté mes mains le long de ses cuisses, lentement, j'ai senti sa respiration changer. Je l'embrassais dans le cou, suçotais son oreille droite tendrement. Elle posa sa main sur mon sexe encore prisonnier. Je la suppliais de le libérer de sa cage. Sa main était douce, elle me branlait lentement. Je pris les choses en main et l'allongea sur le bureau, retira son string, remonta légèrement sa jupe pour y découvrir une jolie petite chatte bien rasée. J'adore les chattes rasées et je ne m'y attendais pas de sa part! Ma langue s'est rapidement dirigée vers ses petites lèvres que j'écartais tendrement avec mes doigts.
- Je n'ai pas l'habitude de me faire lécher...
- Laisse-toi faire.
- Je ne t'en ferai pas autant...
- La prochaine fois, tu pourras te laisser aller et me sucer à ton rythme...
- La prochaine fois...???
Alors que ma langue appuyait un peu plus fort, elle commença à gémir. Mes mains étaient passées sous son soutif et caressaient ses seins d'abord lentement, puis de plus en plus fort, suivant le rythme de mes coups de langue.
Je pris le pari de casser le rythme et de la lécher de nouveau, le temps que mon excitation redescende un peu. Alors que ma langue suçait de nouveau fortement son clitoris, je la sentis jouir, me prenant la tête entre ses mains pour appuyer plus fort. Sa chatte était détrempée, c'était délicieux. Je reculais et enfonçais de nouveau ma queue d'un solide coup de rein, elle s'accrocha à moi en poussant un petit cri jouissif. Ce qui, jusque-là, était un savant mélange de sexe et de découverte mutuelle devint du sexe pur avec l'unique objectif de jouir ensemble le plus rapidement possible.
J'accélérais le mouvement, donnant de grands coups de reins sauvages. Marie se mordait la lèvre, sa chatte parfaitement lubrifiée acceptait ce traitement avec bonheur. J'ai jouis tout au fond d'elle dans un grand soupir de plaisir, avec de légers tremblements, me retenant autant que possible de faire le moindre bruit. Je crois qu'elle a joui de nouveau, discrètement. Je l'ai embrassée longuement, continuant de très lents va et viens avant de sortir d'elle dans un dernier frisson.
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