Chloé 3
"Dépêche toi mon chéri ta tante t'attend !" Me cria ma mère depuis le rez de chaussée.
Nous étions un vendredi soir, et je préparais mes affaires pour aller tout un week end chez ma tante Isabelle. Celle ci m'attendait déjà dans sa voiture devant ma maison, et ma mère n'était pas très contente que je fasse attendre sa soeur. Elle me cria :
"Qu'est ce que tu cherches encore ? Toutes affaires sont déjà prêtes !"
"Un truc ! T'inquiète je sais que c'est dans ma chambre !" Répondis je.
"Mais c'est quoi ce truc ? Je peux t'aider à cherche au pire"
Je lui répondis que non, je n'avais pas besoin qu'elle m'aide à chercher. La vérité c'est que je ne voulais surtout pas lui dire ce que je cherchais : ma boîte de préservatif. Ma mère aurait en effet trouvé étrange que j'aille chez ma tante avec des capotes : elle ignorait en effet que moi et ma cousine, Chloé nous étions déjà envoyés en l'air à deux reprises...
Je finis par trouver ma boîte de capotes sous mon oreiller. Comment elle était arrivée là je n'en savais rien, mais peu importe. Je la mis dans mon sac, et descendis rapidement les escaliers. Je dis aurevoir à mes parents et sautai dans la voiture de ma tante.
"Tu vas bien ? Me demanda celle ci."
"Oui ça peut aller. Répondis je."
"Chloé était vraiment ravie que tu viennes nous voir ! Me dit Isabelle avec un grand sourire."
"Oh je n'en doute pas, moi aussi je suis ravi ! Répondis je en essayant d'avoir l'air innocent."
Une fois arrivé je saluai Chloé et lui fis la bise. J'étais déjà très excité : Chloé était très sexy, elle avait un débardeur blanc et un jean, assez moulants tous les deux, qui mettaient en valeur sa merveilleuse poitrine (95D) et ses fesses sublimes.
Une fois les salutations faites, ma tante me montra la chambre dans laquelle j'allais dormir, m'aida avec Chloé à installer mes affaires, puis nous passâmes à table et dinâmes.
"Vous dormez pas dans votre chambre ? Vous dormez dans le salon ?"
"Oui, répondit Isabelle, notre chambre est en travaux !"
"Ah d'accord, répondis je, comme si ça m'était égal".
J'échangeai un regard avec Chloé : elle avait l'air assez sombre elle aussi : nous allions devoir faire chambre à part cette nuit, pour nous deux ça allait être une longue nuit ! Effectivement, la nuit fut une véritable épreuve pour moi (et pour Chloé aussi), dévoré comme je l'étais par le désir, et je fus soulagé de me réveiller au petit matin.
En début d'après midi, les parents de Chloé partirent faire des courses, ce qui nous laissait deux bonnes heures pour laisser libre cours à notre désir. Sitôt que nous entendîmes la voiture de ses parents s'éloigner, nous nous jetâmes l'un sur l'autre, je saisis Chloé par la taille et la serra contre moi, tout en l'embrassant furieusement, elle me rendit mon baiser avec passion, et trop excités pour continuer sur un simple baiser, nous nous précipitâmes dans sa chambre.
Chloé et moi nous jetâmes sur le lit, je vins au dessus d'elle et l'embrassa langoureusement en me collant à elle, je descendis ensuite sur son cou, puis sur son décolleté, et enfin j'enfouis ma tête dedans, embrassant ses seins et les léchant.
"Oh putain j'aime trop ça ! Ca fait tellement longtemps que j'attends que tu mes les lèches! "
Je lui souris, me redressai, et retirai mon T-shirt. A la vue de mon torse nu, Chloé se releva et vint aussitôt me lécher les pectoraux, ce qui me fit frémir de plaisir. Nous nous embrassâmes à nouveau, mais cette fois ci plus doucement, d'une main, Chloé me caressait le torse, et de l'autre le dos, tandis que moi je lui tenais le visage à deux mains. Ensuite, ma cousine, me renversa et s'installa sur moi, puis me dévora le corps d'abord les pectoraux qu'elle ne lassait pas d'embrasser, voire de mordre parfois, puis, elle passa la langue à travers mes abdos, laissant un sillon brulant derrière elle. Après quoi, elle me retira mon pantalon et mon caleçon, et un sourire coquin aux lèvres elle me prit lentement en bouche. Elle entreprit de me sucer, allant d'en haut en bas, à un rythme soutenu inondant ma verge de salive et me faisant vibrer, ne s'arrêtant que pour me lécher de la base au gland, ou pour me branler énergiquement. Ce traitement me rendit très vite complètement fou, Chloé savait y faire avec moi, tout en me faisant du bien, elle me regardait avec son sourire coquin, qui s'élargissait à chaque fois que je gémissais. Au bout d'un moment, je décidai de lui rendre la pareille.
Je me rederessai, et attrapant Chloé, je l'étalai sur le lit, et la déshabillai, lui retirant son débardeur, puis son soutif, libérant ses énormes seins. Je câlai ensuite mon sexe entre ses deux magnifiques obus et les comprimai autour de mon engin, puis je fis des vas et viens à un rythme soutenu, j'adorais voir ma queue disparaître dans la volumineuse poitrine de ma cousine, ses seins étaient doux et je m'y sentais à l'étroit mais en confort malgré tout. C'était assurément la meilleure des branlettes, je sentais le plaisir monter en moi, et ne tardais pas à grimacer de plaisir, tandis que Chloé, elle, gémissait son bonheur.
Rapidement, le plaisir devint trop intense pour elle :
"Arrête tes conneries et baise moi ! Hurla Chloé."
J'obtempérai avec plaisir, je lui retirai son jean et sa culotte, et puisque nous étions d'accord pour dire que les préliminaires n'avaient que trop duré, je la pénétrai d'un coup sec. Comme je sentais que Chloé était impatient d'être baisée avec sauvagerie, je décidai de jouer avec ses nerfs, et de la baiser au contraire lentement et langoureusement. J'allais et venais en elle, tantôt profondément, allant jusqu'au bout d'elle, lui arrachant un cri de plaisir, tantôt je restais "au seuil", me contentant de la stimuler. De temps en temps, je la baisais à un rythme élevé, avant de ralentir de nouveau. Chloé était complètement folle, elle gémissait, se tordait d'impatience, me soupirait qu'elle adorait ça, avant de me supplier de la baiser plus violemment. Elle aurait sans doute bien aimé reprendre le dessus pour pouvoir mener les choses à son rythme, mais implacable, je la tenais par les mains, elle ne pouvait donc rien faire. Toutefois, je finis moi aussi par me lasser de ce faux rythme, et cédant à ses supplications, je finis par augmenter le rythme de mes assauts : je me mis à la baiser avec intensité et sauvagerie, allant et venant profondément en elle et à un rythme très élevé, la faisant enfin gémir de soulagement et de plaisir. Ravie, Chloé m'enserra avec ses jambes et ses bras, m'attirant et "m'emprisonant" contre elle, si bien que l'on aurait eu du mal à nous distinguer l'un de l'autre. Tout en la baisant, je l'embrassai avec passion, sentant la température monter délicieusement chez nous deux. Puis, je me libérai de son étreinte, et décidai de changer de position : je la retournai et la pris en levrette.
Je la tins par les hanches, et sur ma lancée, je repris mes coups de boutoir la culbutant si violemment que Chloé en était balottée. Je faisais d'amples vas et viens d'avant en arrière et me délectai de ses cris de jouissance, de la vue de son corps ainsi malmené, que je caressais sous toutes les coutures, profitant du fait qu'il était à ma disposition, profitant particulièrement de ses seins lourds qui se balançaient au rythme de mes assauts, et que j'adorais masser à l'occasion.
"Ooooh ! Arrête tu vas me ! Nooon stooop ! Oooh OUIIII !"
Très fier de moi je lui claquais ses belles fesses, lui arrachant un couinement de plaisir, et lui dis narquois :
"Tu kiffes ce que je te fais hein cousine ?"
Elle ne put répondre clairement, mais le gémissement qu'elle poussa alors suffit amplement comme réponse ! La sentant proche de l'orgasme, je lui administrai le coup de grâce : m'aggripant à ses fesses, je lui administrai à nouveau de puissants coups de reins, mais allant cette fois ci aussi profond et aussi fort que possible, à tel point que Cholé en décolla presque du matelas, et hurla de plaisir à s'en casser la voix. Elle eut un orgasme dévastateur qui la fit s'effondrer sur le matelas, hors d'haleine.
Pour ma part, je n'avais pas joui, j'avais le sexe aussi dur et raide qu'au début, mais je savais qu'il faudrait quelque temps à ma cousine pour reprendre ses esprits. Je vins alors sur elle et l'embrassa doucement, elle me rendit mon baiser, qui devint plus sauvage à mesure que Chloé se reprenait. Elle finit par me renverser et venir sur moi.
"A moi de te baiser, cousin !"
Et elle s'empala sur moi, avant de commencer à me baiser en andromaque. Je m'attendais à ce qu'elle se mette à me baiser sauvagement, mais, un sourire coquin et revenchard aux lèvres, elle entalma des vas et viens sur un faux rythme, allant lentement pour me faire languir. Le plaisir et surtout l'excitation montaient en moi, mais Chloé veillait à ne jamais aller à un rythme suffisant pour me satisfaire, me frustrant,. Et afin que je ne reprenne pas le dessus, Chloé me maintenait les mains plaquées contre le matelas me tenant ainsi prisonnier en son pouvoir, exactement comme ce que je lui faisais tout à l'heure. Elle me fit bouillir ainsi pendant un bon moment, avant de finalement se décider à me baiser pour de bon. Elle adopta alors un rythme rapide, allant tantôt d'avant en arrière, tantôt de gauche à droite, ondulant du bassin comme lors d'une danse du ventre. A chaque mouvement qu'elle faisait, ses lourds seins se balançaient, son visage se colorait un peu plus sous l'effort qu'elle faisait pour me baiser, et moi je me sentais vibrer de plaisir, de la tête au pied, et je lâchai un gémissement de plaisir. Chloé me baisait sauvagement, me faisant perdre la tête à chaque coup de reins, souriant d'un air satisfait et moqueur lorsqu'elle me voyait me tordre de plaisir. De longues et délicieuses minutes passèrent ainsi, Chloé continuait de me faire un bien fou, nous gémissions tous les deux à l'unisson à chaque fois qu'elle s'empalait sur moi, nous étions tous les deux en sueur, hors d'haleine et tremblants d'extase. Je sentais le plaisir monter en moi en vagues successives, et à chaque fois je serrais les dents et aggripai les draps pour tenter de me retenir de jouir. Néanmoins, Chloé finit par avoir raison de ma résistance : sentant que j'étais aux portes de l'orgasme, elle accéléra une dernière fois le rythme pour le sprint final, jusqu'à ce que nous explosâmes tous les deux de plaisir, l'orgasme fut si intense et si libérateur que j'eus l'impression de m'évanouir.
Essouflés, nous restâmes allongés une bonne heure, jusqu'à ce que les partents de Chloé rentrent. Alors nous nous rhabillâmes en hâte, et fîmes comme si rien ne s'était passé. Le lendemain, je rentrai chez moi, ravi de cette nouvelle partie de jambe en l'air entre cousins.
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