Eleve Avocate Apprentissage Difficile

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Ceci est une fiction :
Je me prénomme Elise, j’ai 24 ans et je suis actuellement élève avocate au barreau de Paris. Je suis blonde, mince, mesure 1m67 pour 50 kilos. Je ne suis pas dénuée de forme et suis fière de ma poitrine et de mes petites fesses rebondies.
L’histoire que je vais raconter est celle que je vis actuellement durant mon stage final qui doit me mener à prêter serment à la fin de l’année.
En ce 4 janvier 2021, à l’heure de prendre le métro ce matin, je suis nerveuse, c’est mon premier jour auprès de ce prestigieux cabinet d’avocats d’affaires anglo-saxon ou j’ai réussi à décrocher mon stage de fin d’études.
Ce stage est particulièrement important car il doit s’il ne débouche pas ment sur une embauche me donner une porte d’entrée dans tous les cabinets d’avocats de la place parisienne. Il est l’aboutissement de six années d’études ou j’ai particulièrement travaillé pour intégrer de prestigieux master parisien.
J’intègre un cabinet d’une centaine d’avocats ou je sais que je serai mêlée à plusieurs stagiaires au sein de mon département, celui des fusions acquisitions.
Pour ce premier jour, j’ai adopté une tenue vestimentaire stricte, à savoir tailleur noir et chemisier blanc et derbies noir, la seule touche féminine que je me suis accordée c’est un discret mais élégant maquillage. J’attends d’être dans la place pour voir si je pourrai opter pour des tenues plus féminines.
Arrivant au cabinet, je suis immédiatement conduite par une hôtesse habillée d’un élégant uniforme au nom du cabinet, chemisier blanc, jupe de taille raisonnable mais talons vertigineux, elle me présente les différents espaces du cabinet puis me conduit à mon département.
J’ai à peine posé mon manteau qu’un jeune collaborateur me salue et me propose de me présenter l’équipe, me voici à faire le tour des bureaux de la quinzaine de membres que compte l’équipe.

Il n’y a que trois femmes, elles sont toutes collaboratrices juniors. Je n’ai pas pu voir comment elles étaient habillées, mais elles sont fortement maquillées, je suis assez surprise.
Je regagne mon poste de travail, un petit bureau que je partage avec un jeune collaborateur, nous discutons deux minutes de mon parcours puis il m’informe que la réunion d’équipe commence.
Nos descendons dans une salle de réunion du rez de chaussé, j’ouvre la porte, l’ensemble de l’équipe est déjà là. Deux places sont disponibles au fond de la pièce, je m’y rends et j’ai à ce moment-là l’impression que l’ensemble des regards sont posés sur moi. Je crois que l’associé a observé mes jambes.
C’est celui qui ouvre la réunion, en saluant d’abord mon arrivé et en me souhaitant un bon stage dans ce qu’il décrit comme une équipe jeune, talentueuse et amitieuse. Je comprends immédiatement que le chef de la section c’est lui, on fait le point sur les dossiers en cours, une grosse opération concerne une grande société pétrolière qui a décidé de racheter un champ d’éoliennes pour un montant qui dépasse les deux milliards d’euros. L’associé prévient que la semaine va être longue et difficile avec sans doute quelques nocturnes. Il me lance un :
-Elise, tu vas être rapidement baptisée.
J’acquiesce avec un sourire, je ne m’attendais pas à autre chose dans un cabinet de cette envergure. La réunion se termine avec pour chacun des taches précises et avec des dead line à réaliser. L’associé me demande de rester.
Je suis seule avec lui, il s’enquiert de mes expériences précédentes et de mes attentes pour ce stage, il s’est rapproche de moi, nous sommes cote à cote. Je suis assez intimidé par cet homme de 45 ans que je sais être l’un des plus réputés avocats de Paris, il à la fois froid mais séducteur et je ne sais sur quel terrain me placer. A la fin de l’entretien, il me dit,
-Demain je t’amène à un rendez-vous client, essaye de t’inspirer du style vestimentaire de Julie et Claire, si on recrute des femmes ce n’est pas pour que vous soyez habillées comme des hommes.

Si je suis assez surpris, j’acquiesce car je ne connais pas les pratiques du milieu et c’est vrai que ma démarche de m’habiller comme un homme peut sembler un peu ridicule.
Durant la pause du déjeuner j’aborde discrètement le sujet avec les jeunes collaboratrices, elles me regardent avec un sourire.
-Tu sais Elise, les hommes même dans ce milieu, il faut les séduire, je suis toujours en talons et pour le reste je me demande toujours s’ils auront plaisirs à regarder ou non, ce n’est pas plus compliqué.
Elles sont habillées ce jour l’une d’un pantalon noir en cuir et de bottes cavalière et l’autre d’une jupe assez courte avec de jolis talons de 8cm. Pour le haut, chemisier qui n’est pas boutonnés jusqu’en haut …
En rentrant dans mon petit appartement du 17ème arrondissement, j’essaye de me concentrer sur ma tenue vestimentaire pour le lendemain. Je dois etre sexy mais pas vulgaire. La frontière est souvent mince.
J’opte finalement pour une jupe en cuir à crayon noir qui me va à la perfection et un pull sans manche de couleur blanc qui souligne ma poitrine. Pour les chaussures, ca sera une paire d’escarpin noir de 9 cm. J’opterai pour un maquillage soutenue.
Le lendemain, l’associé sans aucun préavis passe dans mon bureau à 11h et me dit, on ‘y va. Je le suis en vitesse. Nous sommes cote à cote dans le taxi, l’associé m’explique rapidement qui nous allons voir, il s’agit d’un fonds d’investissement français qui tente de proposer une offre de rachat d’une grande société cotée française victime d’une OPA.
L’enjeux est de taille, je suis très fière à l’idée de participer à une réunion avec les protagonistes qui font tous les jours la une du journal les échos.
Arrivé à la réunion, je suis d’emblée présentée comme sa collaboratrice. Je suis impressionnée par la démonstration d’intelligence de mon associé. Celui-ci maitrise son dossier à la perfection et le présente avec un calme et aplomb absolu, c’est une grande leçon de maitrise que je reçois aujourd’hui.

Les clients sont conquis et me lance des regards assez interrogateurs, je n’ai pas ouvert la bouche de la réunion et me suis contentée de sourire.
En sortant de la réunion, nous nous retrouvons à deux dans un ascenseur avec l’associé, je vois dand le miroir l’associé regarder ma jupe avec un plaisirs certains, chose alors incroyable, il passe sa main sur ma jupe.
-Belle matière le cuir, dorénavant vous ne porterez que cela.
J’essaye immédiatement de changer de sujet :
-Merci beaucoup pour m’avoir convié à la réunion, c’était très instructif.
Il continue de caresser mes fesses et je me retourne pour mettre fin à ce supplice.
-Mais Monsieur ce n’est pas approprié, je pourrai être votre fille.
-Pourquoi fais tu ce stage ? répond t’il immédiatement.
-Pour apprendre Monsieur.
-Je vais t’en donner de l’instruction petite salope tu vas voir.
Je suis choquée, je n’ose plus dire un mot, comment un avocat, associé d’un des plus grands cabinets de Paris peut avoir un tel comportement. Il m’a traité » de salope 2 minutes après être sorti d’une réunion ou il négociait la résolution d’un litige à plusieurs milliards d’euros. Je n’arrive plus à avancer, je suis abasourdie.
-Avance on ‘a pas la journée.
On reprend alors le taxi qui ne prend pas la direction du cabinet. Il s’arrête devant le Platza Athnée, un grand palace parisien. Je pensais qu’il parlerait avec moi de l’événement de l’ascenseur, mais rien il est plongé dans ses mails et ne dit pas un mot.
Devant mon regard interloqué il me lance on’a pas fini
Je descends du taxi et nous entrons ensemble dans le palace ou il semble avoir ses habitudes, il ne s’arrête pas à la réception et se dirige directement vers l’ascenseur. Je le suis en pensant qu’une négociation va avoir lieu dans une suite.
On arrive au sixième étage dans une suite déserte.
-Nous attendons quelqu’un ?
-Non cette fois ça sera juste toi et moi.
-Je suis morte de peur.
Je crois comprendre ce qu’il veut, mai je ne peux pas faire ca, je ne peux pas non plus partir en courant, ca marquerait la fin de mon stage, 6 ans d’étude pour rien. Je suis sous le choc, je ne parviens pas à réfléchir.
Pendant ce temps-là, lui s’est assis sur un fauteuil de la chambre. Il a jeté sa verste de costume sur le lit. Il attend sans dire un mot en me regardant. Je me rapproche de lui.
-Que voulez-vous faire Monsieur ?
Sans dire un mot, il se lève et vient passer ses bras autour de moi, il palpe à nouveau mes fesses et empoigne mes seins. Ses bras appuient sur mes épaules.
-A genoux salope.
Sans réfléchir, je m’exécute toujours aussi tétanisée. Je ne comprends pas ce qu’il se passe, hier, je démarrais le stage de ma vie, aujourd’hui je suis à genoux dans une chambre d’hôtel devant un homme de 45 ans qui est en train de retirer sa ceinture.
A ma grande surprise, il passa sa ceinture au tour de mon cou. Il resserre la ceinture et la tire vers lui.
-En attendant la laisse, te voila en bonne chienne petite salope, maintenant suce moi et applique toi.
Je suis devant sa bite, d’une taille importante mais sans être énorme, elle est bien tendue, mais je suis toujours tétanisée. Il s’impatiente devant mon manque de réactivité. Il tire violement sur la ceinture, et me rapproche de sa queue.
Il s’amuse alors à me bifler, je sens les larmes monter et j’ouvre la bouche. Il enfonce alors directement son membre dressé dans ma bouche, il a bon gout, c’est déjà cela. Il s’assoit et j’entreprends de le sucer comme je sais le faire, j’alterne, je lèche sa verge, son gland et j’englobe aussi loin que je peux son membre puis je joue avec ma main ce qui lui déplait, je retire donc mes mains. Il appuie alors ses mains sur ma nuque et c’est lui qui donne la cadence.
Il me baise littéralement la bouche, je suffoque, je bave, je pleure, il ne s’arrête pas pour autant bien au contraire. Il me lance un « respire à fond » et s’enfonce au fond de ma gorge, je sens que je vais vomir il continue. Je déglutie, il me traite de chienne dégelasse, mais il recommence.
Tout mon maquillage a coulé sur mon visage, je suis méconnaissable. Personne ne m’a jamais traité comme ca, je prie pour que cela s’arrête.
Alors qu’il détend sa pression sur ma nuque :
-Tu es une bonne chienne, mets-toi à quatre pattes sur le lit et retire ta jupe.
Je m’exécute sans rien dire. Je retire ma jupe devant lui et me présente en string devant lui. Quelle idée, j’ai eu de mettre un string…
-Oh la salope, elle avait envie de se faire baiser ce matin. Une ficelle dans les fesses, tu n’as pas honte ? Venir au cabinet habillé comme une pute, tu vas voir ce que j’en fais des putes moi. Je ne me contente pas de leur baiser la bouche. Cambre-toi plus, écarte tes fesses avec tes mains
Je me cambre au maximum, la situation est indécente, encore plus qu’elle ne pouvait l’être, il se rapproche de moi. Il arrache mon string qu’il met aussitôt dans ma bouche.
-Je ne veux pas t’entendre petite chienne.
Je sens sa bite se pointer à l’entrée de mon vagin, il entre sans résistance, bien qu’inadmissible, la situation m’excite. Il me pilonne alors, je fais tomber le string et me mets alors à hurler, de douleurs, de plaisirs, les deux sont indissociables tant la situation est étrange.
Il att la ceinture et me tire vers l’arrière, je suis vraiment montée comme une chienne, je sens que je vais jouir lorsqu’il s’arrête.
Il présente alors son membre à l’entrée de mon anus, je suis prise de panique, je n’ai jamais pratiqué la sodomie, sans préparation, il va me déchirer. Je crie tente de fuir mais il resserre sa poigne sur la ceinture et s’enfonce sans ménagement dans mes entrailles. Je pleure tellement la douleur est horrible, j’ai le sentiment d’être découpée en deux, il n’y a aucune complaisance dans ses gestes, comme si la douleur n’était pas assez vive il me frappe violement les fesses, en me traitant de chienne.
-Dis moi que tu es chienne, dis le petite salope sinon je vais te défoncer encore plus.
-Je suis votre chienne votre salope, votre chienne salope.
Il se retire et m’ordonne de me mettre à genoux.
-Supplie moi de donner mon sperme, supplie moi sale pute.
-Donner votre sperme Monsieur, je suis votre pute.
Je sais qu’il va m’éjaculer dans la bouche, mais à ma grande surprise, il ne choisit pas ma bouche, mais mes cheveux. C’est une quantité impressionnante qui sort de sa queue. J’en ai partout, il m’a littéralement repeint les cheveux.
Il me présente alors sa bite que je dois nettoyer, mon dieu qu’elle sent mauvais après un passage dans mon cul.
-Tu aimes le gout de ton cul ?
-Non Monsieur, ca sent mauvais.
-Je suis d’accord, désormais tu te feras un lavement tous les matins, en attendant nettoie bien la merde sur ma bite.
Me voici désormais à lécher une bite à l’odeur insoutenable, je me retiens de ne pas vomir.
Satisfait il se relève et va prendre une douche. Je suis seule, tétanisée, toujours à genoux, il ressort de la douche et saisi la sangle de la ceinture qu’il tire, je le suis comme une chienne à la salle de bain. Il m’installe dans la douche. Je ne comprends pas ce qu’il veut jusqu’a qu’il me dise.
-Ouvre la bouche.
Il me pisse alors dessus et m’ordonne d’avaler.
-A défaut de sperme, tu vas avaler ma pisse salope.
Le gout est horrible, j’essaye de ne pas penser, j’avale.
-Retourne t’habiller, on rentre au cabinet.
-Mais je dois prendre une douche.
-On ‘a pas le temps, débrouille toi pour faire sans.
Je comprends alors que je vais passer la journée avec du sperme collé dans les cheveux. J’essaye comme je peux de me refaire une beauté, mais je ne peux réussir à décoller tout le sperme qui a séché dans mes cheveux, mon dieu je vais avoir la honte de ma vie, enfin n’est ce déjà pas le cas ?
Je me rhabille sans culotte vu que mon string n’existe plus.
-Alors instructif ce rendez-vous ma belle ? On remettra ca, je vois un beau potentiel chez toi, tu feras une collaboratrice formidable. Ce soir n’oublie pas de passer dans mon bureau pour me dire bonsoir, tu verras la moquette est confortable…
-Oui Monsieur.



Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!