La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 431)
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré Suite de l'épisode N°418 -
Le Marquis dEvans est resté seul avec Sa chienne-soumise Thaïs MDE qui vient de subir un véritable interrogatoire dans un contexte plus D/s que professionnel, puisquelle a dû répondre, tout en étant nue, agenouillée, les yeux bandés et les mains attachées dans le dos, à de nombreuses questions sur sa société qui vient dêtre reprise et avalée par la holding financière du Châtelain qui assume les fonctions de Président Directeur Général. Une expérience particulièrement éprouvante pour lesclave qui ne sattendait pas du tout à un rendez-vous daffaires de cette nature, mais également très excitante de se savoir ainsi sous le regard Dominant du Maître Vénéré, dans une position inconfortable pour la femme chef dentreprise libre et indépendante quelle était jusque-là, mais si conforme à sa nouvelle condition desclave-soumise MDE, qui ne cherche quà satisfaire en tous points Celui dont elle est devenue la propriété exclusive.
Lesclave Thaïs MDE est inquiète des derniers propos du Marquis dEvans à son égard, lorsquil a constaté quelle avait été amenée dans la salle de réunion dans un état de saleté quIL vient de découvrir et de lui reprocher, avec du sperme séché qui a coulé de son anus. Son sang na fait quun tour en entendant le Maître lui dire que cela nallait pas se passer ainsi. Elle ressent une puissante boule qui est venue se former juste au-dessus de son plexus et qui la prend à la gorge la faisant presque suffoquer de honte autant que de crainte et la paralysant presque comme foudroyée sur place. Thaïs MDE sait pourtant quelle na rien fait de mal intentionnellement, ne faisant que de se laisser faire pour obéir aux ordres et ne sopposer à rien de ce qui lui serait imposé. Elle repasse en mémoire chaque seconde depuis son arrivée dans lenceinte de limmeuble des bureaux du Marquis dEvans, dabord conduite par lun des chauffeurs qui la fait monter dans un ascenseur et la ensuite conduite les yeux bandés dans une pièce où il la fait installer à quatre pattes après lui avoir bandé les yeux et bâillonné la bouche à lair dun masque muni dun ball-gag.
Entre temps, il y avait eu « Cet » homme qui était arrivé sans dire bonjour ni même daigné se présenter, et qui était reparti comme il était venu après lavoir enculée sauvagement et tout cela sans prononcer le moindre mot, à part un petit « ah, ah, ah », râle de plaisir jouissif au moment de son éjaculation, exprimé dune voix masquée que la soumise navait pas été en mesure de reconnaître. Elle aurait tant aimé que ce soit Le Maître Vénéré qui soit rentré dans la pièce et qui ait eu envie de la sodomiser avant de commencer Sa journée de travail, histoire de se mettre en forme, mais « Linconnu » (le Marquis dEvans en personne qui avait volontairement choisi de rester anonyme et de ne pas se dévoiler à ce moment-là) navait rien dit qui aurait permis à Thaïs MDE de lidentifier. IL lui avait asséné deux fessées bien appuyées comme « mise en bouche » pour marquer sa présence et sans perdre de temps lavait pénétré dans son intimité la plus secrète, pour la labourer longuement, bestialement, ne cherchant que son propre plaisir et à se vider dans le fondement de celle qui nétait là que pour le satisfaire. La chienne-femelle navait pris aucun plaisir jouissif dans cette pénétration quelle avait dû subir nayant reçu aucune autorisation en ce sens.
Et surtout cest elle la première qui aurait bien aimé pouvoir aller se laver avant de se rendre dans la salle de réunion, mais le sous-directeur administratif et financier ne lui en avait pas laissé lopportunité, malgré le fait quil navait pu que relever son état et remarquer le sperme sortant de son cul lorsquil avait fait une inspection inquisitrice de celle quil était venu quérir, ne se gênant pas au passage de la rabaisser par tous les moyens, en lui faisant remarquer quelle était sale et pleine de foutre dégoulinant.
La chienne-esclave commence surtout à culpabiliser. Les idées les plus contradictoires fusent dans sa tête, car elle sait que le silence quobserve le Marquis dEvans pèse lourd dans son cur et aussi sur sa conscience intérieure, même si elle ne se sent pas vraiment fautive. Elle se demande bien comment il aurait pu en être autrement. A lintérieur des bureaux même du Marquis dEvans, elle se croyait à labri, presque même espionnée à tout moment par des caméras de surveillance installées dans chaque pièce, car elle se doute que si elle avait eu le malheur de bouger dun pouce lorsque ses muscles engourdis par la longue attente lui faisaient tant mal, cela naurait pas manqué dêtre reporté au Marquis dEvans dune manière ou dune autre, car ce dernier tient à avoir une maîtrise parfaite et un contrôle total sur tout ce qui se passe et sur tout ce qui touche à Ses esclaves. Elle se dit aussi quà tout prendre, elle a été plus victime par ignorance dans laffaire que coupable « consentante », abusée par une personne qui lavait peut-être juste aperçue par hasard dans cette position dattente, tout simplement virilement excité dapercevoir une chienne en levrette, dénudée, bâillonnée, les yeux bandés, à merci du premier venu, si vulnérable et si offerte, quil en avait profité pour se vider les couilles avant de disparaître.
Lhomme qui la enculé a du bien se jouer delle qui ne bougeait pas dun millimètre, se laissant sodomiser, sans réagir et sans rien dire (bien incapable au demeurant de parler avec le ball-gag). Thaïs MDE se dit que ce ne pouvait être que quelquun qui devait savoir quétant esclave-soumise MDE, ce qui se voyait au collier de métal quelle portait autour du cou et à son attitude de chienne-femelle à quatre pattes, elle ne réagirait pas et se laisserait pénétrer, habituée à subir et dressée à obéir. Thaïs MDE pense donc quil doit sagir dune personne de lentourage proche de Monsieur le Marquis dEvans connaissant Son côté Dominant D/s, ou encore un soumis MDE qui au mépris du respect du Maître aurait profité de la situation pour une petite baise après de longues privations plus frustrantes. Cest le Marquis dEvans qui rompt le silence car de toute manière lesclave Thaïs MDE naurait pas bronché avant, gardant juste la tête basse sans rien à dire de peur de courroucer encore plus le Maître.
- Je viens de te poser une question en te demandant ce que je voyais sur ton corps ? Es-tu sourde, à la fin ? Je suis las dattendre de savoir si cest bien du sperme séché qui emplit ton cul de chienne en chaleur. En réalité, je ne sais même pas pourquoi je te pose cette question, puisque la réponse en est plus quévidente et ton silence est évocateur.
Thaïs MDE se met à trembler compulsivement. Elle nose pas bouger, ses lèvres sont closes car aucun son ne sortirait de sa bouche.
- Outre le fait que tu devrais déjà être punie pour avoir osé participer à la réunion dans cet état de saleté devant tous mes collaborateurs et en Ma Noble Présence, je voudrais également savoir comment tu as pu faire pour oser te laisser embrocher sans Mon autorisation. Cest inadmissible ! Je te lai déjà dit et tu mobliges à me répéter, ce que je naime absolument pas, tu ne dois pas lignorer depuis le début. Tu comprends bien que je ne peux absolument pas admettre un tel comportement... Je pensais que tu mappartenais totalement, ce que tu narrêtais pas de me dire à chaque fois, et que sauf ordre express de ma part, aucun autre homme ou femme ne pourrait te posséder et te donner du plaisir charnel, car je ne compte pas comme tel tout ce qui tes imposé directement ou indirectement, règles, punitions, contraintes, récompenses, dans le cadre de ton dressage au Château pour te permettre de taméliorer dans ta manière de te comporter et de me servir de tout ton corps et de toute ton âme
Le Marquis reprend son souffle et continue :
- Je suis extrêmement déçu, interloqué, déconcerté, sidéré, hébété, effaré, outré même, de voir à quel point tu mas trahi allant jusquà moffenser presque sous Mes propres yeux et également dans Mes bureaux daffaires, et ce sans la moindre honte de ta part et sans idée du respect que tu dois à Ma Noble Personne. Jai bien envie de te chasser sur lheure avec un simple « adieu », dégoûté de te savoir ainsi prête à te comporter comme une vulgaire putain quon baise à tout bout de champ, une salope sodomite prête à offrir son cul au premier venu par pur plaisir de se faire enculer et remplir de foutre par tous ses trous. Je ne comprends même pas pourquoi je perds Mon temps à discuter avec une vulgaire chienne des rues en chaleur, qui ne mérite aucune attention de Ma part, et surtout pas une place à Mes pieds, fut-elle microscopique.
Lesclave-soumise Thaïs MDE sest effondrée en entendant les propos du Maître Vénéré qui sont autant de couteaux qui percent son cur meurtri à lidée dêtre chassée sans préambule et sans autre forme de procès. Elle ne sait comment répondre et réagir, de grosses larmes quelle ne peut retenir envahissent ses joues, car elle se sent perdue avant tout. Elle sagenouille, se recroqueville, gardant le front collé au sol et les bras devant elle avec les mains jointes en prière entre les deux pieds du Noble, espérant que le Maître Vénéré lui permettra de parler et de se justifier, et surtout de pouvoir demeurer comme esclave-soumise sous Son Joug. Mais en fait, elle ne sait même pas comment elle va tenter de lui expliquer ce qui sest passé précisément, alors même quelle ne pouvait ni parler, ni voir ce quil en était sous son masque. Elle se demande craintivement comment elle va essayer de raconter ce quelle a subi bien plus que désiré, malgré la honte qui la submerge car elle se rappelle avec de plus en plus de remords quelle a ressenti du plaisir à avoir été ainsi sodomisée après de longues minutes dattente solitaire même si elle nen a pas joui, mais dans sa tête, en se livrant sans retenue à celui qui lenculait, elle ne faisait que son devoir desclave obéissante et ne songeait pas un seul instant quelle pouvait avoir été dupée. Elle se sent prise dans un piège, un étau qui se referme sur elle, car du fait de sa condition servile jamais il ne lui est venu à lesprit de demander à lindividu qui sétait approché qui il était et sil avait bien préalablement reçu lautorisation de profiter analement de celle qui appartenait au Maître des Lieux, et dailleurs comment laurait-elle pu physiquement alors quelle avait la bouche obstruée par une boule de plastique solidement attachée.
Elle en arrive à penser quelle est une esclave docile sous la protection du Maître après tout, et une part delle plus négative commence à gronder en sourdine à lintérieur se disant que le Marquis dEvans aurait pu, ou aurait dû même, prendre toutes ses dispositions pour la protéger et faire en sorte quelle ne puisse être abusée et elle en vient même à ruminer quelle pourrait presque dire du coup « violée » à son insu. Tout en même temps quune autre part delle, en contre écho positif, lui répond que le Maître nest en aucun cas « à sa disposition » et encore moins 24h sur 24, juste là pour la surveiller, la protéger, léduquer, se charger de la faire grandir dans sa soumission ; cest elle qui a fait librement vu dallégeance et dappartenance, ce qui impliquait quelle se devait de respecter son engagement dans toutes les circonstances. Cest donc totalement anéantie que lesclave-soumise MDE attend le verdict qui ne devrait tarder de tomber, car elle sait que si Le Maître Vénéré est dune grande magnanimité pour des fautes légères et involontaires quil daigne pardonner ce qui nexclut pas une juste punition au passage adaptée à la gravité de la faute, il nacceptera jamais de passer léponge facilement cette fois et de lui accorder Son pardon sIL reste persuadé que Son esclave la délibérément et volontairement trahi. Cest ainsi que Thaïs MDE, qui ignore tout de la mise en scène du Marquis dEvans quelques heures plus tôt, imagine à cet instant précis les pensées défavorables et affligeantes du Maître Vénéré à son encontre, eu égard à la teneur des derniers propos du Dominant plus quirrité.
Outre le fait quelle sait quelle nest pas autorisée à parler avant dy avoir été invitée, elle se dit également que toute tentative dexplication risquerait dêtre vaine aux yeux du Dominant, voire de ne faire quaggraver son cas, car devoir se justifier cest déjà presque se sentir coupable, et dune certaine manière, cest également faire remarquer au Maître quil y a eu une défaillance quelque part, et ment de sa part en quelque sorte à défaut de pouvoir en attribuer la responsabilité à tout autre. Il ne lui reste plus que lespoir que le Maître ne perde pas confiance en Sa soumise si dévouée, et quIL se rappelle tout ce quelle a pu faire jusque-là pour lui exprimer sa dévotion, sa soumission, son abnégation, son bonheur davoir pu trouver une petite place aux pieds du Maître Vénéré et son désir de pouvoir devenir digne des Nobles initiales MDE quIL lui a permis de porter accolées au nom desclave quIL lui a choisi. Plus que jamais, elle se sent vulnérable dans sa condition desclave-soumise à la seule merci du Maître Vénéré, ayant perdu toutes ses ultimes certitudes après avoir été éprouvée de multiples manières depuis le petit matin, après quelques jours de dressage au Château déjà difficiles à endurer pour lesclave malmenée sans répit par Walter, le Majordome, et Marie, La cuisinière
Cest ainsi que Le Maître Vénéré la voulait, devenue plus fragile et ne pouvant plus se retrancher derrière sa grande force de caractère acquise dans sa vie vanille professionnelle de dirigeante
(A suivre
)
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