Et Caroline

Nous sommes attablées à la terrasse d'une brasserie. Mon amie Caroline me raconte ses dernières aventures. Rien à faire, elle ne se fixe pas en amour, contrairement à moi.Elle parle un peu fort, en tout cas un voisin profite de ses confidences. Nous le regardons naturellement. Et là nous sommes un peu surprises quand nous remarquons qu'il bande doucement. Nous sommes encore plus surprise quand nous le voyons se caresser par dessus le pantalon. Nous fixons sa main, nous pouvons voir la fin par une tache humide : il a du éjaculer. Sans pudeur, il nous regarde en souriant.
Caroline se met à bavarder avec ce type. Sans se préoccuper de moi elle lui propose d'aller faire l'amour là où il veut.
Il veut bien mais avec moi aussi.
Ça ne me gêne pas de baiser avec mon amie, surtout avec elle, et ce type.
Et nous voilà partis vers la chambre de Caroline. Toutes ses allusions m'excitent. Dès que je peux je lui prend la bite et le reste dans ma main droite. Caroline commence à le déshabiller. Son ventre musclé montre sa virilité, sans doute sa vigueur. Pour nous, les filles l'important est qu'il bande longuement qu'il soit dur à jouir,qu'il soit capable de nous baiser les deux l'une après l'autre : j'espère même qu'il pourra nous la mettre devant et derrière, pour moi d'abord derrière si possible : c'est là où je préfère.
Nous sommes nues maintenant contre lui qui bande bien. Nous ne nous entendons pas pour l'embrasser : nos lèvres se trouvent sur les siennes en même temps. Trois langues se lutinent ensemble. Pas désagréable. Caroline frotte son bas ventre contre sa cuisses gauche. Il fait comme si elle se masturbait contre lui. Moi ? Je cherche entre ses fesses : ma préférence.
La bite bien dure et levée, il est prêt à baiser.
Caroline vient devant lui, prend la queue dans une main et le branle. Lui, le salaud, il la laisse faire en me touchant les fesses. Je le laisse explorer la raie.
En remuant un peu, un doigt vient juste sur l'anus.

Il commence une caresse fort sympathique. Il arrête Caroline pour qu'elle vienne se faire mettre. Elle est proche de lui, se pelotonne contre son corps. Je vois la bite contre son ventre. Il se baisse un peu pour être à la hauteur.
Le gland descend doucement avant d'aller dans la fente. Il avance son pubis, la bite va doucement dans le ventre de Caroline qui avance son sexe pour être mieux baisée.
Je reste avec mon doigt sur ce cul d'homme. Quand il commence à baiser ma copine, j'entre le bout du doigt puis l'entier. Il apprécie en caressant ma main. Je passe ma main sur la chatte pour me branler. Ah je j'avais mon gode sous la main !
Caroline ferme les yeux : elle profite du plaisir de se faire mettre. Et moi je continue à le sodomiser en me masturbant. Je sens quand il jouit aux spasmes de son anus.
Il met un temps fou avant de sortir du con de Caroline qui jouit là devant nous.
Enfin il s'occupe de moi. Il est temps !!!!
Il ne débande pas un poil. C'est bien ce que je pensais. Il se met contre moi, m'embrasse longuement. Sa langue va loin dans ma bouche. Je mouille toujours malgré mon orgasme.
Il se baisse encore un peu. Sa bite est contre mon pubis. C'est à moi de faire l'effort pour me faire baiser. Là je me tourne pour lui donner mes fesses.
Il comprend vite. Il passe la bite en haut de ma raie. Lentement, comme pour que je perdre patience, il descend trop doucement vers l'anus.
Enfin je vais me faire enculer, depuis le temps que j'attends ça. La bite touche l'anus. Elle le frôle un long moment avant de se fixer dessus.
Il ne force pas du tout, mon anus est habitué (trop) : il entre en moi facilement. Je le sens coulisser dans mon intestin. Que c'est bon d'avoir une belle queue dans son ventre.
Après nous avoir regarder un instant, Caroline se décide à participer à mon plaisir. Elle passe sa main sur le ventre, caresse autour du nombril et enfin descend là où ça fait du bien.
C'est extraordinaire de se faire sodomiser et masturber en plus par une copine.
Il commence à jouir en moi, je sens ses pulsations dans le cul. Ça me fait réagir : je jouis longuement avec sa queue toujours dans mon cul.
La vache, il jouit, il s'habille pour partir sans nous laisser de quoi le retrouver pour tirer un coup.
C'est par hasard que nous le rencontrons le lendemain, avec une suite aussi chaude à venir.