Escortes-Girls Ninja Et Ogive
- Pas de question de refuser ! NON ! Dit Noëlle.
- Sinon je vais te billarder tes boules dune façon que tu te souviendras longtemps. Alors tu te décide ?
- Jne sais pas
tu crois ?
- En attente que tu te décide, Bruce, viens dans mes pattes et chimère-moi ma coquille !
Il me faut un ptit déjeuner consistant
. On non reste, je men sers de ton chibre en « cavalière », comme ça tas le temps de réfléchir.
Je sais que mon amant apprécie cette position, lui donnant main libre à me fionner en savant doigtage. Ça facilite aussi de lui changer la gaine, honorant ses préliminaires. Puis jaime bien être indépendant, mexprimer de ma façon de pilonner mon con.
Pour du consistant il y a de quoi, quand son poireau est au fond de ma marmite à bites, je lui assigne des fortes poussées en avant et en arrière, sa longue tige me pousse la matrice à lextrême, je la cuillère dans mes bas fonds, plaignant mon bienêtre.
Je suis toujours surprise de lélasticité de mes parois et antre. Je me les imagine, comme dans les reflets devant un miroir déformant. En générale jen ai trois orgasmes jouxtant, avant de soulever mon cul pour relayer le doigtage de Bruce. Et là, la manche sur-lubrifiée, y glisse à fond dun trait.
Jai exprès vidé mon boyau avant, pour laccueillir sans contrainte au plus profond de mon colon.
Lhabitude il y est, pas besoin dune halte pour adapter son gourdin à ma conduite intestinale. De lui imprimer en sauterelle mes va-et-vient, lui ploté comme un pacha au dos, et « noëllelant » mes deux orifices par son chibre pour son plaisir inouï et sans retenu.
Oui, je connais les faiblesses de mon mec, et je men sers à bon compte. Il vient se sortir de son orgasme saillant. Mon but est atteint, je lui arrache, séance donnant, son accord pour mon projet.
- OK ! Tas gagné ! Jaccepte ! Cest pour quand ?
- Ce soir chéri !
- OK, elles sont combien ? Dailleurs, qui cest ? Tu les connais ?
- Elles ne sont que deux ce soir.
- AH ! Pourquoi tu ne las pas dis toute suite. Je naurais pas eu besoin de réfléchir !
- Ah ! Sale queutard ! Mais tinquiète tu vas savoir ce que cest des vraies putes, elles te gonfleront tes fantasmes salasses en pro. Elles sont des « Escortes-Girls », je les ai engagées pour nous assouvir à lextrême.
- Elles sappellent comment ? Quel âge ?
- Oui, tranche de 18/20 ans, la bonde se fait appeler « Ninja » et la brune « Ogive » !
- Comment tu les connais ?
- Facile, je suis tombé sur leur site et tout de suite reconnues, pris rendez-vous et tarif engagé.
- Tarifé ? Mais Noëlle
?
- Ouais ! Mais cest un tarif tout à fait spécial. Elles cherchent des faveurs auprès de quelques poids lourds politiques féminins et masculins, et je les connais depuis mon cabinet. Je partage souvent la table avec eux. La baise pour nous, elle est gratuite, en avance pour services rendus !
Les filles assises à chaque coté de Bruce, je prétends vite de moccuper à la cuisine. Ninja et Ogive entretiennent une conversation qui tienne debout. Quand je viens de repaître, jai tout de suite compris que ce nest pas que la conversation qui brandissait valable.
- Entre vos chiffonnades les filles, voilà un verre réconfortant. Vous êtes deux, relayiez-vous ! Hé chéri : taime bien quon te façonne, hein ?
- Ouais, mon amour, tas raison, il me faut une bonne interprétation de leur faveurs qui me fera amèrement regretter de ne pas les avoir connues bien avant ce soir.
Je dégage vite la scène, jetant juste un coup dil en arrière, Ninja est en train de défaire la braguette de Bruce et Ogive lui passe lolive de lapéro de bouche à bouche. Je ne peux autrement quactiver la moule de ma main, retenant la brûlante envie de participer au spectacle. Jy parvienne dune force inouïe abandonner provisoirement ma chatte en feu et je lance :
- Dans 20 minutes le dîner sera prêt.
Je mesquive. Jai bien fais de ne pas considérer ce dîner comme une attablée ordinaire, je gère malgré mes envies irrésistible le menu pour mes invitées de marque :
Lufs de cailles braisés au campagne, coquilles Saint-Jacques, julienne de légumes, sol meunière, patates en robe de chambre, coulis raifort-gingembre, Marcelin tiède,
et comme dessert : un enveloppe contenant les positions divers de Kâma-Sûtra à emprunter.
Voilà comme je vois les choses. Je suis en avance et en parcourant les images de postures, je craque, je massois
oui je me doigte mon calice à pourvoir.
Humm
je trouve ses suggestion sont sublimes.
Zut ! La minuterie se déclenche ! La table est mise à même la cuisine. Je fais comme annonce, pour ne pas à nouveau perdre ma maitrise, -sans me montrer-, sonnant délicatement la cloche de table:
- Le dîner est servi !
Les invitées apparurent, Bruce au milieu, sa masculinité découverte, je ne fis quautre remarque que :
- Allons-nous nous occuper dautre mets. Asseyez-vous !
- Jai punie Bruce ! Me dit Ogive.
- Ouais, Noëlle, il doit rester comme ça à table ! Réplique Ninja.
- Eh ben, je vois quon est en bonne compagnie. Allez-y les filles, régalez-vous de ce que vous voulez ! Bruce ! Enlève ton pantalon, tu seras mieux à laise !
- Chiche ! Acclament les filles.
- Bonne appétit à vous toutes ! Noubliez pas de câliner aussi vos palais en gâteries !
Ninja sassois à mes cotés, en face de moi Ogive, à ses cotés Bruce. Ogive mange de la main gauche, la droite nest pas visible, mais Bruce acquiesce son bonheur. Cest alors que Ninja saffaire de mon buste. Elle trouve son emballage indécent pour un dîner chaud, me dégrafe et dénude le haut.
- Voilà, quelle bonne paire, tu vois Ogive ! Mumm, miam, miam
!
Ninja me force ma gauche lui laissant agir. Elle mérige, agasse mes mamelons, aucun résiste à son assaut, je me force de ne pas sursauter en râlant mon plaisir.
- Waouh ! On ne sera pas rentrées avant demain, Noëlle
tas prévu tous cela ?
Personne ne veut un café. Ninja me fait volte face-à-face, effeuilla mon corps à nue, elle se met à mon égale. On saffaire à débarrasser la table de tout.
- Tu sais, je nai pas vue des postures de gouine dans ta gamme de Kâma-Sûtra, je vais te lapprendre !
Elle me met sur le coin de la table pour une posture, après elle me place sur table pour deux autres.
Notre entrain a chassé Ogive et Bruce dans lautre coin. Ogive lui orchestre une fellation sur le banc murale. Bruce tape sa tête contre le mur dans lextase et sagrippe à sa cure-chevelure et transforma la fellation en gorge profonde gratifiant.
Il sagenouille et la prend en position dArtilleur, planta sa raideur, en soulevant ses fesses, bruyamment et à au fond de sa casserole. Sous les coups butoirs Ogive acclama son ramonage. Passant de lentrée, point G, urètre
et à fond aves fracas. Ogive crie son plaisir, tout comme moi des gâteries de Ninja. Je viens prendre le dessus, à lui faire payer au comptant létreinte saillante. Jaime sa cantate quelle crie en jouissant :
- Ouais ! Oui, ouiiiiii Noëlle, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
.encore, encore, encooooorre !
Je suis pour le coté pratique. Dans différentes pièces de lappart jai toujours sous les mains des godés nécessaires à lemploi. Ce fut le cas, épris par ma fureur jai sorti le ceinturon (sans ceinture), menfilant dans ma chatte la bite à moi, je tourne violemment Ninja, la pliait à plat ventre sur la table, je rotonde lengin sur son illet, montre le maître à son sphincter et avance logive dans son boyau.
Bruce et Ogive nous rejoignent à table, appuyant ses fesses au coin de table, Bruce pourvoit Ogive dans la position de Suspendue. Avec ses bras autour du cou, Ogive se déclare actrice avisée de cette baise.
Fortiche dune bite factice, Ninja se couche au sol, ceinturon au vagin, elle minvite à me faire du plaisir en posture de Cavalière, dos tourné.
Ogive et Bruce se joignit dans le lit conjugale pour tester la position de Charrue, jambes croisées sur son dos. Ninja et moi nous allons les rejoindre sur le lit et jai incité notre groupe à un soixante-neuf ensemble. Cette fois-ci, javais la chatte dOgive à lécher, Bruce pourvoyait goulûment les deux orifices de Ninja. Sous peu un concert de jouissance traversait la chambre à faire des envies au voisinage.
En plongeant ma main dans le tiroir jai repris un autre ceinturon pour cingler le trou de balle dOgive en position de La croix enflammée.
Ninja cest vu prendre sa vulve par Bruce dans la gentille posture de La cuillère.
Ogive me demanda ensuite : laquelle ? :
- Prends-moi en Levrette sil te plaît !
Mon cul laccueille, je rectifie son tire et place lengin sur ma rosette, après son humidification vaginale. Là elle me prend par mes cheveux, lançant des coups fatals et assassine mon rectum, sans oublier des fessées saillantes. Elle galopait dans mon colon comme une forcenée. Terrassé par le galop dOgive, jai demandé une trêve, en regardant mon homme de remueur lentement son gourdin dans Lentrevue de la mystérieuse.
Ogive et moi reprenant les jeux saphiques pour recharger nos piles. Bruce et Ninja nous rejoignîmes. Nous sublimons, léchons, titillions, caressons, suçons en quatuor, reprenant souffle.
Ultime dessert, exigé par moi :
- Allez-y, bite vivante, bite factice
baisez-moi.
Ogive place le ceinturon, lempale dans mon rectum, mon homme menconne, Ninja joue avec mes nibards et agasse mes tétons, mon bassin bouge sur les deux bites. Quelle volupté !
Ninja réclame son tour.
Ogive le sien.
Les premiers rayons soleil rentreront dans la chambre saluer le matin. Les oiseaux chantonnent. Nous dormons.
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