Titput 3
CENTRE COMMERCIAL
Les deux femmes me rejoignent au garage, je suis en train de sortir notre auto, elles montent derrière toute les deux.
- Tu vois en plus elle va nous conduire, la petite salope. Ont vas à la galerie marchande. Allez.
Elles narrêtent pas de papoter pendant tout le parcourt, une demie heure après nous nous garons dans le parking du super marché. Je les suis sans grande conviction en me désespérant de faire les boutiques. Jai horreur de ça ............ Et c'est partie, deux gamines dans les rayons, d'un coup elle mappelle.
- Viens voir par la toi !
Je m'en sors pas trop mal, pour cette fois j'ai échappé à mon surnom de "Tit put ".
- Regarde ça, tu serais mignonne, la dedans.
Elle me plaque sur le corps un ensemble de lingerie assez séduisant il faut dire, mais je suis mort de honte, le magasin est pleins de bonne femme qui furètent de partout, je ne sais plus ou me mettre.
- Et le truc en nylon la, ça ne lui irait pas mieux.
Voila que même Martine sans mêle maintenant, elle me recolle un vêtement devant moi. Ont dirais quelle prennent plaisir à parler de plus en plus fort, j'ai honte.
- Tourne-toi pour voir.
Ainsi elle me présente de ou trois modèles différent et elles donnent leur avis à voix haute. Puis viens le rayon des bas et collants.
- Il faut vraiment lui en prendre une autre paire, s'exclame Marie, les siens sentent de plus en plus mauvais.
- Et quelle taille elle fait notre grande, surenchérie Martine.
- Oh elle doit faire au moins du quatre, il me semble.
Cette fois elles se sont donné le mot, c'est la fin, il me semble que tout le magasin me regarde, je ne sais plus ou me mettre. Le passage en caisse ne se passe pas trop mal, à part que Marie me représente la tenue devant mon torse dans la file d'attente de la caisse, en disant.
- J'espère que l'on ne c'est pas trompé pour les tailles.
Enfin dehors, je respire, je suis rouge de honte .nous retournons à la voiture.
- Tu nous attends ici nous, maintenant nous allons faire de courses pour nous, ne bouge pas.
Les deux femmes s'éloignent. Bras dessus, bras dessous.
- Tu vois, je suis sur qu'au fond de lui même, il adore ses moments ou il est humilié de la sorte, je suis sur que pendant que l'on se moquait de lui, il avait une érection.
- Si c'est vrais, il est quand même vraiment bizarre t'on mec.
Les femmes reviennent une bonne heure après les bras chargé de sacs de toute sorte.
- Je crois que l'on c'est un peut lâchées sur les achats tantôt, rentrons vite pour faire des essayages. C'est superbe ce que nous avons acheté.
Voila demi -tour et retour à la maison. Une fois l'auto rentrée dans le garage, les paquets posés au milieu du salon. Les deux femmes s'installent dans le canapé.
- La petite boniche, elle va nous servir un truc bien frais. Puis elle va nous faire voir sa nouvelle tenue.
Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que ça vas encore être ma fête. Je leur sers à boire dans le salon comme elles me le demandent.
- Bon fait-nous voir à quoi tu ressemble maintenant, tu essaye tout. Allez file et tu reviens nous monter.
Docile je prends mon sac au passage et vais me changer.
Une fois en tenue quelques instants plus tard, je suis dans le couloir, n'osant pas aller à leur rencontre.
- Allez approche, viens nous faire admirer ta nouvelle tenue ma petite cochonne.
J'approche maladroitement, c'est une des rare fois que je porte des talons, ma démarche n'est pas trop assuré. Je suis en sorte de nuisette transparente, elle me tombe à mi-cuisse. Les bas noirs qui recouvrent mes jambes sont retenus par un porte-jarretelle noir également. Je suis affublé d'un soutien-gorge noir qui laisse apparaître le haut de mes seins, c'est plus un rehausseur de poitrine en fait. Finalement, je suis assez fière de m'exhiber ainsi.
- Tourne-toi pour voir,.......... Encore ........... Penche-toi en avant. Quand pense tu Martine j'ai bien fait, ou pas ?
- Je dois reconnaître quelle fait carrément pute comme cela. Pas mal.
- Tu vas rester comme ça toute la soirée, je suis sur que cela vas te plaire. Hein dit que tu es contente. Et dis pas merci non plus.
- Merci Marie.
- Tu veux que je recommence comme ce matin, qu'est ce que l'on dit ?
- Pardon, merci Madame.
- Ah, j'aime mieux ça, est tu contente d'être habillé en petite pute comme cela.
- Oh oui Madame, merci Madame.
- Reprend tes frusques de ce matin et tache de t'occuper.
- Tu vois Martine il suffi de le traiter comme il mérite, et il, ou plutôt elle est contente. Quand je te dis que je peux en faire ce que je veux et que c'est une grosse cochonne........ Bon a nous maintenant essayons nos achats.
Les deux femmes vont du salon à leurs chambres en revenant à chaque fois avec des vêtements nouveaux et se font mutuellement des compliments. C'est évident que Martine est très sexy, ces robes sont plus courtes et lui arrivent pour la plus longue au milieu des cuisses. Tandis que Marie elle est beaucoup plus réservée sur sa tenue.
Dune dimension plus disons "classique". Jattends avec impatiente l'essayage de leurs nouveaux sous-vêtements. J'ai toujours eu un faible pour cela ou bien les admirer ou bien même en porter, chose donc je ne me prive guère. Marie ayant cédé là-dessus pour me faire plaisir de temps en temps. Ainsi il n'est pas rare que, je sois dans la maison carrément en fille, j'adore être vêtu de la sorte, je me sens disons plus moi, en tenue légère voire même carrément en jupe et chemisier, De plus Marie m'oblige à porter des chaussures avec un peut de talons chose dont j'ai beaucoup de mal à m'habi.
Elles essayent leurs culottes et soutien-gorge, en allant se changer chaque fois dans leur chambre. Je m'aperçois, quelles sont quand même de la pudeur entre elle cela m'étonne un peut.
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