La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 432)
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré Suite de l'épisode précédent N°431 -
Cest ainsi que Le Maître Vénéré la voulait, devenue plus fragile et ne pouvant plus se retrancher derrière sa grande force de caractère acquise dans sa vie vanille professionnelle de dirigeante, avec sa carapace de protection dont elle abat rarement les remparts qui lui permettent de se défendre dans le monde des affaires rempli de crabes vorace dans lequel elle évolue. Le Marquis dEvans la désirait avant tout moins sûre delle et moins assurée de son avenir desclave-soumise et de femme dont elle avait volontairement décidé de perdre la maîtrise permanente et le contrôle absolu pour les remettre entre Les Mains expérimentées du Maître. Le Marquis dEvans se recule légèrement tandis que lesclave tremblante et en pleurs est toujours prosternée à terre. Il pose Son pied sur le dos de Thaïs MDE, presque au niveau des épaules et de la nuque, appuyant sa chaussure de luxe en cuir verni noir avec une pression certaine, mais non dangereuse, pour marquer sa présence et surtout sa Dominance avant de sexprimer.
- Fallait-il donc que je songe à cadenasser en permanence les orifices dont Je suis Le seul propriétaire pour être certain que tu naies pas des envies lubriques de les faire remplir ? Alors auras-tu enfin le courage et laffront de mavouer avec qui tu es allée tenvoyer en lair et à qui appartient cet infâme résidu qui te colle aux fesses ? Réponds immédiatement !
Dune toute petite voix tremblante, lesclave-soumise Thaïs MDE essaye de parler, en bégayant démotions :
- Mm
Maî
Maître Vé
Vénéré, Votre esclave-soumise Phryné MDE est bien en peine de pouvoir Vous
Vous répondre
Ce
ce matin, lun de Vos chauffeurs ma conduite ici dans ces bureaux. En
ensuite, jai eu les yeux bandés avec la
la bouche bâillonnée, et jai
jai du attendre longuement jusquà ce que Votre
Votre sous-directeur administratif et financier vienne me
me chercher pour me conduire à
à la salle de réunion.
- Longuement dis-tu ! Mais ne sais-tu pas encore quune soumise ne doit jamais faire preuve dimpatience. Tu es à ma disposition à toute heure de la journée et de la nuit. Et donc ce matin, cest parce que tu trouvais le temps trop long que pour passer le temps plus agréablement tu as interpellé le premier venu pour prendre un peu de bon temps à te faire mettre.
Le Marquis dEvans parle dune voix ferme et froide, à la limite dêtre sarcastique, avec une mauvaise foi simulée quil ne laisse pas transparaître mais qui en aurait exaspéré plus dun dans un contexte vanille. Lesclave-soumise Phryné MDE à linverse se sent inquiète et troublée en se demandant comment Le Maître Vénéré qui pourtant est censé connaître sa dévotion totale, sa soumission désirée et la profondeur de son âme, en arrive à de telles suppositions qui ne lui ressemblent pas, surtout quelle vient de tenter de Lui expliquer quelle avait les yeux bandés et la bouche bâillonnée, ce qui donc faisait quil lui était au moins physiquement impossible dinterpeller qui que ce soit.
- Maî
Maître Vénéré, je
je ne sais comment Vous
Vous dire sans avoir lidée de Vous contredire
Ce
ce nest pas cela
- Comment oses-tu, impertinente ! Aurais-tu en outre le culot de me dire en face que Le Maître Vénéré se trompe ou encore pire quIL ment ? De mieux en mieux ! Je devrais te faire jeter ainsi directement sur le trottoir et tabandonner à ton triste sort de chienne qui est juste bonne à trainer dans les caniveaux pour se faire monter par les cabots bâtards qui trainent dans les rues au lieu dêtre tenu en laisse.
- Maî
Maître Vénéré, ayez pitié de Votre esclave-soumise. Je
Je Vous en supplie, croyez-moi. Je
Je nai interpellé personne de ma propre initiative. Je nai
Je nai pas cherché à Vous trahir et à trahir ma promesse de
de Vous appartenir entièrement et de nêtre quà Vous
Ce
ce matin, je me suis juste laissé faire sans réagir et sans bouger quand
quand une personne que jignore sest approché et sans un mot ma
ma enculé parce que je pensais en toute bonne foi
qu
quil ne pouvait agir que sous Vos ordres quil
ne métait pas donné de connaître.
- Alors dis-moi, as-tu au moins cherché à ty soustraire puisque selon toi tu aurais été pénétrée à ton insu ?
- Maître Vé
Vénéré, je nai pas cherché à me dérober, puisque
je
je pensais que je devais me soumettre en bonne esclave docile.
- Alors, tu serais prête à te soumettre au premier venu, même sans ordre de Ma part. Moi qui croyait naïvement que jétais LE Maître Vénéré, le seul que tu avais reconnu comme tel, le seul à qui tu avais fait vu dallégeance le plus total.
- Maître Vénéré, Vous
Vous
êtes le seul et Vous serez toujours Le seul Maître Vénéré pour
Vo
Votre esclave-soumise Phryné MDE. Je
Je ne me suis pas soumise à un autre, mais seulement soumise à un acte
que
que jimaginais commandité par Le Maître en personne
Je Vous assure que cest ainsi que je lai imaginé et vécu.
- As-tu pris un quelconque plaisir pendant cet acte de sodomie ?
- Maî
Maître Vénéré, dune certaine manière, je
je dois avouer que « Oui »
. Bien sûr, je nai pas joui charnellement, car
car je navais reçu aucune autorisation, mais
mais cependant je dois reconnaître humblement que jétais excitée et que
et que jai pris du plaisir parce que je pensais que cétait au Maître indirectement que
que jobéissais en acceptant de Lui tout ce quIL exigerait de mimposer, à moi, qui ne suit rien de plus que son esclave prête à satisfaire la moindre de ses exigences.
- Tu imagines bien quil nest pas question que je puisse mettre ma Noble Queue maintenant dans un trou qui a été sali par un vulgaire inconnu qui ta saillie comme une catin.
- Pitié, Maître, punissez-moi si Vous me jugez coupable, je Vous en supplie, mais ne me chassez pas de grâce et permettez-moi de conserver une petite place à Vos pieds.
- Alors commence par arrêter de larmoyer. Tes pleurnicheries et tes jérémiades minsupportent au plus haut point. Jai dit !
Le Marquis dEvans appelle Son assistante-esclave Emeline MDE par linterphone pour lui demander de venir.
- Maître Vénéré, je suis à Vos ordres. Je Vous apporte ce que Vous avez exigé.
- Très bien, Ma chienne ! Mon esclave-soumise Thaïs MDE a besoin dun sérieux nettoyage de peau, et il nest pas question que je mabaisse à la décrasser moi-même.
Le Marquis dEvans exige de Son esclave-femelle quelle se redresse à quatre pattes en écartant bien les jambes, ce qui laisse son intimité et son petit orifice très apparents aux yeux de tous. La secrétaire-soumise Emeline MDE habituée à répondre à toutes les exigences du Maître, et Patron de surcroît, quelles soient dordre purement professionnel ou beaucoup plus D/s, enfile le gant de crin véritable quelle avait apporté conformément aux ordres du Dominant. Elle commence à frotter sur les fesses de Thaïs MDE suivant les directives du Marquis dEvans, nhésitant pas à venir sengouffrer dans la raie anale. Les crins de cheval très rugueux ont vite fait de faire rougir la peau du postérieur de la soumise qui ne bronche pas, malgré la sensation irritante des passages réguliers sur son arrière train qui senflamme dautant plus vite que le gant de crin est utilisé à sec et sans ménagement. Emeline MDE, continuant à suivre les instructions du Marquis dEvans, se met à frotter également sur la face arrière des cuisses et avec plus de légèreté les parties plus sensibles de lentrecuisse, cherchant malgré tout à éliminer toutes les traces de sperme séché qui sont restées collées sur la peau.
Le Châtelain regarde avec un plaisir voluptueux qui ne le laisse pas insensible sa soumise qui subit ce décrassage sans rien dire, presque trop heureuse de pouvoir être encore lobjet dattentions de la part du Maître, fut-ce sous la forme dune punition chauffante, ce qui ne manque pas très rapidement de léchauffer de lintérieur et de lexciter intellectuellement et charnellement.
- Et bien, voilà au moins un bon décrassage en bonne et due forme ! Mais je ne vais pas en rester là pour ta punition, tes punitions devrais-je dire. Disons que cela nest quun avant-goût pour celle qui avait le feu aux fesses et qui sest laissé enculée avec plaisir par un inconnu qui lui a laissé du sperme en cadeau de départ.
Le Marquis dEvans vient de se planter juste devant Sa chienne-femelle à quatre pattes. Sans attendre, celle-ci sincline et embrasse les deux chaussures en cuir vernis du Maître avant dajouter.
- Merci, Maître Vénéré. Merci davoir daigné me punir et également de mavoir permis dêtre nettoyée par Votre soumise Emeline MDE que je remercie également pour le mal quelle sest donné, même si elle na fait quobéir à Vos ordres.
- Sois heureuse que je nai exigé de Ma chienne quelle ne te frotte que sur le côté pile, comme tu mas avoué navoir été pénétré que du cul, car je peux tassurer quun bon nettoyage côté face de ton intimité, de ton pubis, et de tes lèvres roses au gant de crin pour en enlever tous les résidus indésirables aurait été autrement irritant et douloureux.
Thaïs MDE nose même pas imaginer comment cela aurait pu être possible, tant elle a limpression que ses fesses la brûlent encore alors quelle sait que la peau y est déjà plus épaisse et capable de supporter bien des petits désagréments ou plaisirs D/s. Pendant ce temps-là, le Châtelain remercie Sa secrétaire-soumise Emeline MDE lui faisant signe de se retirer pour Le laisser seul à nouveau avec Son esclave érubescente, avant de reprendre.
- Je pense que tu es consciente que tu dois également être châtiée pour avoir tout simplement osé paraître dans la salle de réunion dans cet état de saleté inacceptable et mes oreilles nont bien évidemment pas oublié les innombrables coups de gongs qui venaient marquer toutes tes mauvaises réponses. Et pour cela, il me faudra trouver une punition qui sadressera non plus à la chienne en chaleur prête à se faire saillir par le premier venu, mais à lex-chef dentreprise défaillante, même pas capable dassurer un rendez-vous sans se tromper à moult reprises, ce qui nest pas pour me rassurer dans le cadre de lassociation daffaires que javais envisagée de poursuivre en te laissant conserver ta place de gérante de ta petite structure, car il est évident que jexige professionnalisme, compétence, savoir-faire, et même excellence, de tous mes collaborateurs et à fortiori de ceux qui me sont soumis.
Thaïs MDE est rouge de honte et de malaise entendant les propos du Maître Vénéré qui lui remettent en mémoire le difficile interrogatoire quelle vient de subir en guise de réunion de travail pendant lequel elle sest trouvée sur la sellette assenée de questions multiples, auxquelles elle ne peut quadmettre quelle navait pas toujours les réponses ou les bonnes réponses. Elle na jamais été trop imbue de sa propre personne, mais, de par sa formation et son expérience, elle avait fini par acquérir une assez grande confiance en elle sur un plan professionnel, qualité indispensable pour tenir bon dans le monde des affaires qui est souvent sans appel, en particulier pour la gente féminine qui sinsère dans un milieu très machiste, constitué très majoritairement dhommes. A linstant présent, la chienne ne sait si le feu qui lui dévore les fesses nest pas venu se transférer également sur ses joues et même se répandre dans tout son corps. Elle se trouve de plus en plus excitée par la situation, ressentant fortement la présence et la Dominance du Maître Vénéré, ce qui lui provoque comme une véritable décharge dadrénaline dans tout le corps, et une bonne coulée de cyprine entre ses lèvres intimes. Il lui vient en tête des images de babouins, ces femelles-singes qui ont le cul gonflé et tout rouge en particulier lorsquelles sont prêtes à saccoupler pour se reproduire. Le Maître Vénéré qui connaît très bien les réactions des dominé(e)s en général et de tous Ses soumis et soumises MDE en particulier na pas manqué de remarquer le petit côté brillant quarbore maintenant la chatte luisante de la chienne-soumise qui a du perdre une grande partie de ses repères et de ses certitudes, pour pouvoir nêtre plus quune esclave-soumise modelable remise entre Les mains du Dominant dont elle est la propriété exclusive.
- Met toi sur le dos, les jambes allongées sur le sol et écartées. Si jai bien compris, tu avais la bouche scellée par un bâillon, cet orifice et donc ta langue sont restés propres. Alors, le temps que je réfléchisse à ce quil va me plaire de timposer comme punition complémentaire, tu vas me donner un peu de plaisir avec ta langue de chienne.
Thaïs MDE est bien trop contente dentendre le Maître Vénéré exiger quelque chose delle, car cest le signe quIL ne va pas la chasser la jugeant impropre à pouvoir rester à son service. Plus que jamais Le Maître Vénéré pourrait tout exiger delle à cet instant, même laccomplissement de ses désirs les plus pervers, car elle se sent à Lui, nayant comme seule envie de Le satisfaire en tous points. Lesclave-soumise se met en position, grimaçant lorsque ses fesses rouges et en feu rentrent en contact avec le sol, mais retenant ses plaintes malgré lirritation de la moquette rugueuse et la douleur qui en résulte. Le Marquis dEvans laisse tomber au sol son pantalon et son boxer et sagenouille en sasseyant juste sur le visage de Son esclave tout en lui tournant le dos, sétant positionné de manière à ce que son anus soit juste à la hauteur de la bouche de sa chienne qui sans attendre a sorti sa langue pour lécher ce que Le Maître lui a donné à lécher. Elle saffaire à passer sa langue humide dans la raie anale, autour de la rondelle de lanus, essayant de glisser un petit bout de langue le plus profondément possible dans le petit trou sensible, ayant parfois du mal à reprendre sa respiration tant son visage est écrasé en dessous.
- Oui, Ma chienne en chaleur, fais bien la chienne, lèche
..
(A suivre...)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!