Marie, Épisode 2

Il n’est pas évident de mélanger vie professionnelle et vie sexuelle sur le lieu de travail. Après notre premier échange sexuel, Marie et moi avons convenu de nous faire aussi discret que possible et d’espacer nos relations au boulot et d’essayer de se croiser quelque fois en dehors. Nous voulions espacer nos rencontres pour en augmenter à la fois le désir et l’intensité. Cela faisait maintenant 3 semaines que nous avions couché ensemble et il nous est arrivé d’en discuter brièvement. Ni elle ni moi n’avions de regrets. Son nouveau jeu était de s’habiller de manière à me faire envie car elle savait qu’elle titillait mon esprit bien avant le reste… Je ne pensais pas qu’elle se dévergonderait autant. Son mari était gagnant, dans l’histoire, de ce que j’ai compris. Elle avait fini par accepter de lui faire des fellations, après 15 ans de mariage, il n’est jamais trop tard ! Elle refusait juste qu’il lui éjacule dans la bouche, ce que je peux aisément comprendre. J’avais au moins le mérite d’avoir relancé leurs relations sexuelles jusque-là inintéressantes… Malgré tout, elle commençait à me manquer, ce que je lui fis remarquer un jour qu’elle passait brièvement par mon bureau. Sa réponse fut claire, elle repassa 2 minutes plus tard et me déposait son string rouge sur mon bureau. Je pense que j’étais aussi rouge que le string à ce moment-là, heureusement, j’ai un bureau à moi tout seul. Elle me dit juste « 19h, ce soir, à ma voiture… Débrouille-toi pour que ta queue soit propre ! ». « Un ordre est un ordre », lui répondis-je.
Que la journée fut longue…
A 18h50, je reçu un Skype accompagné d’une photo prise à la va-vite dans les toilettes. Sa petite chatte semblait m’attendre impatiemment. Je la rejoignis rapidement dans sa voiture et nous sommes partis dans le bois situé à 2 minutes à peine de voiture de l’entreprise. Ma main caressait ses jambes, remontant le long de sa jupe fendue. Visiblement, elle avait décidé qu’elle seule prendrait les choses en main, car elle retira ma main et plaça un court instant la sienne entre mes jambes, avant d’arrêter la voiture dans un coin reculé.


Nous sommes passés sur la banquette arrière où nous nous sommes fougueusement embrassés. En en rien de temps, je me suis retrouvé à moitié nu et elle commençait à me lécher la bite (propre, je suis obéissant) gonflée à bloc. C’était divin, sa langue donnait de brèves petits coups sur mon gland avant qu’elle ne finisse par le serrer fort entre ses lèvres. On aurait dit qu’elle avait fait ça toute sa vie tant elle mêlait tendresse et passion dévorante. Elle descendait de plus en plus le long de mon sexe, je m’allongeais de plus en plus. Ma main caressait doucement sa vulve sous sa jupe, mais je préférais me concentrer sur mon propre plaisir, le sien viendra ensuite. Ses doux cheveux blonds venaient chatouiller mon bas ventre et mes couilles ajoutant encore un peu plus d’excitation ; sa main caressait mes bourses lentement, très lentement, à tel point que je sentais que j’allais jouir. Je ne voulais pas jouir dans sa bouche, pas cette fois, elle avait été si tendre que cela me semblait incongru et je craignais sa réaction. Je lui pris le visage doucement entre mes mains et l’allongea à son tour sur la banquette. Ses jambes bien écartées laissaient apparaître un sexe brûlant d’où s’échappait un filet de cyprine. Je frottais d’abord lentement le gland de ma queue humidifiée contre son clitoris. Quelle douceur, quel plaisir. Puis j’entrais lentement en plusieurs petits va et viens. Sa respiration s’accélérant, je lui la mis bien profond avant de ressortir et de me frotter à nouveau sur son clito bien dégagé. Elle me supplia de la baiser. Je m’exécutais, ma bite sortant presque complètement avant de replonger au plus profond de son antre. Ses frissons me satisfaisaient et m’indiquaient le rythme à soutenir. Discrètement, ma main droite vint caresser son anus sur lequel avait coulé un peu de jus. A tel point que sans forcer, je senti son petit trou s’entrouvrir légèrement. Très lentement, mon majeur pénétrait son petit trou. Elle ne dit rien, au contraire, elle se tourna légèrement afin de faciliter l’introduction.
Je n’avais même pas pris le temps de la déshabiller, elle ne m’avait offert que sa chatte, et voilà que maintenant je lui doigtais son joli petit trou du cul vierge en prime. Je sentais mon sexe glisser contre mon doigt à travers la fine paroi, décuplant les sensations. Marie commençait à montrer des signes de jouissances. Elle gémissait de plus en plus fort, mon doigt faisant des va et viens incessants de plus en plus rapides. Je sentais que j’allais jouir également, j’accélérais alors le mouvement de ma queue, immobilisant mon doigt aussi profondément que possible. Nous avons jouis ensemble, bruyamment, sans contraintes. Une fois encore, cela me parut comme une évidence, ce n’était pas que du sexe entre nous. Comment expliquer une telle sensation ? Elle est mariée, mère de famille… Et si j’e m’étais mis tout seul dans la merde ?

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