&Quot;...Why Not ?&Quot;
Lautre nuit, après avoir vu un film super chaud, il me revint à lesprit une aventure qui métait arrivée il y a deux ans de cela.
Jétais dans la capitale dun petit état dAsie. Chaque jour, quand je marchais dans la rue de lhôtel, je passais devant une petite échoppe de coiffeur, largement ouverte sur la rue. Dès la première fois, le garçon coiffeur mavait interpellé
« - Sir ! Sir ? » en me montrant ses cheveux et en mimant des ciseaux avec ses doigts, dans un grand éclat de rire de toutes ses dents très blanches. Le coiffeur avait un look bad boy quil cultivait sûrement. Pantalon taille basse, ceinture blanche, tee shirt hyper moulant, grand frange de cheveux décolorés qui tombent sur des yeux charbonneux, dans les 25 ans je dirais. Mignon ma fois.
Le dernier jour de mon séjour, ma fois, je me décide. Comme quoi, la persévérance, ça finit par payer. Il minstalle, il est ravi. Cinq ou six très jeunes s sont scotchés devant lécran de télé qui diffuse des clips au fond de la boutique.
Cest parti pour une séance de coupe en règle. Ses ciseaux virevoltent sur ma tête. Le grand miroir qui nous fait face me permet de mieux le détailler. D »ailleurs, très souvent nos regards se croisent dans le miroir et, à chaque fois, il me décoche un grand sourire. Aujourdhui, il porte un débardeur blanc très court qui tranche sur sa peau foncée, qui moule parfaitement son torse qui ma lair pas mal musclé. A chaque fois quil lève les bras, cela dégage son nombril ourlé dune belle ligne de poils bruns. Excitant
Lair de ne pas y toucher, il vient coller son bassin de plus en plus souvent sur les accoudoirs du fauteuil, se frottant ainsi à mon avant bras
Jadore par-dessus tout ces travaux dapproche. Il me tripote allègrement les cheveux, la tête
A la fin de la coupe, sans même me demander cest une tradition paraît-il-, il entreprend un massage super efficace de mon crâne. A la fin, il me demande :
« - Do you want a body massage ?
-
Why not
»
Aussitôt, il chasse les s qui séparpillent comme une volée de moineaux, baisse le store métallique de la boutique et mentraîne vers le fond de léchoppe.
Très lentement, il me fait passer le tee shirt par-dessus et fait glisser mon longboard à mes pieds. Je me retrouve en mini slip vert flashy devant lui.
« -Wonderful ! » me dit-il en désignant mon slip. Sans savoir sil parle du contenant ou du contenu
Lui-même se déshabille pour se retrouver en boxer blanc hyper moulant. Il faut dire quil fait assez chaud dans la pièce. Délicatement, il mallonge sur le ventre sur la table de massage. Je me laisse aller, bien décidé à passer un agréable moment.
Pendant un bon moment, il va déployer toute sa technique de massage, après sêtre enduit les mains dhuile. Son savoir faire est impressionnant. Ce gars aurait pu faire kiné sans problèmes. Il alterne toutes sortes de techniques, douces, plus appuyées, un vrai bonheur. Je sens que je me décontracte de plus en plus. Dans la lueur des bougies qui tremblotent, je vois son corps qui commence à luire sous la sueur. Cest vrai quil fait plus que chaud dans la pièce. Mon corps aussi commence à luire sous leffet des massages et de lhuile. Je commence à capter un peu sa technique. En fait, avec ses mains, il ramène toutes les énergies vers le bas ventre
Technique pas mal utilisée dans le yoga. A un moment, il me masse lintérieur des cuisses, remonte, remonte, passe ses mains sous le tissu du slip et commence à me masser les globes fermement. Ses deux pouces me massent les bords de la rondelle. Trop bon. Puis, il change de côté et vient me masser le dos en se plaçant à la tête de la table de massage. Ce qui fait que, lorsquil descend le long de ma colonne vertébrale, son bas ventre vient se coller contre mes cheveux. Je sens parfaitement bien ses boules et sa tige déjà bien raide à travers le fin tissu du boxer
Encore ! Je remue légèrement la tête
Arrivé au bas de la colonne, il passe ses mains sous le tissu et me masse les globes puis le périnée.
Cette fois, il me retourne sur le dos et entreprend à nouveau ses manipulations. Tout ceci commence à mexciter pas mal et ma bite, qui tend le tissu du slip, en témoigne largement. Je ne veux absolument pas cacher mon trouble, bien au contraire
Du coup, jen profite pour jeter un il sur la sienne. Qui a dit que les Asiatiques avaient de petites bites ? A voir la sienne qui tend le tissu de son boxer, pas lui en tous cas. Il continue ses manuvres dapproche (?) bien consciencieusement. Le grand moment arrive bientôt. Avec une douceur et une délicatesse infinies, il me fait glisser lentement le mini slip, libérant dun coup ma bite qui jaillit vers le ciel. Cest franchement surprenant une si grande douceur, alors qua priori, il a tous les airs dun dur. Je nen peux plus dattendre. De ma main droite jenveloppe son cul bien rebondi. Je sens ses fesses se raidir. Je passe doucement ma main sous le tissu
De son côté, il a entrepris de me masser doucement les boules et le périnée. Ses manipulations commencent à relever plus de la caresse que du massage. Je voudrais que ça dure éternellement
Puis il entreprend du bout des doigts ma bite. Il leffleure à peine sur toute sa longueur en de lents allers et retours. Pendant ce temps, je lui parcours la raie et lui titille la rondelle. Il a écarté légèrement les jambes. Petit à petit, très progressivement, il va amplifier ses mouvements sur ma bite, finissant par la saisir à pleines mains et à la branler lentement. De temps en temps, il se penche et vient coller ses lèvres sur mon gland. Je sens la pointe de sa langue qui me titille. Je manque de tomber de la table. Il me fait alors me relever et mentraîne vers le lit. Jen profite alors pour lintercepter et le délester doucement aussi de son boxer. Un superbe barreau apparaît, dressé à la verticale, émergeant dune touffe rase de poils joliment taillée. Jen profite aussi pour admirer ses pecs bien dessinés, ni trop, ni trop peu. Je sens quon va se régaler
.
On se jette sur le lit, on sagrippe lun à lautre et on se serre dans une terrible étreinte, comme si on voulait sincruster lun dans lautre. On a besoin de se libérer de toute la pression quil a savamment accumulée tout au long de ses massages. Ce qui va suivre restera dans ma mémoire comme un de mes meilleurs souvenir de sensualité, de savoir faire, de plaisir
en attendant mieux
Non, jexagère, Paulo, cest top aussi
Ce gars est super doux, attentif, attentionné, doué et
résistant. Le rêve ! Je nai quune envie, cest de le sucer à fond, mais je me doute que sa palette est bien plus large. En attendant, je le dévore de bisous, partout. Il se laisse faire, comme un chat se laisse caresser. Sa ligne de poils est fabuleuse. Je suppose, quelle aussi, il la taille tant soit peu. Il a juste ce quil faut sur le torse comme toison, exactement comme je les aime. Je mamuse à les mordiller de mes dents, en tirant légèrement dessus. Jarrive sur zone. Je me frotte sur sa bite presque noire. Son gland décalotté fait un joli contraste. Il est luisant de mouille. Jen prélève du bout de mes doigts et lui fait goûter. Il me lèche goulûment. Je replonge pour jouer avec sa fabuleuse bite du bout de mes lèvres, de la pointe de ma langue, du bord de mes dents
Il sarcboute pour soffrir de plus en plus à la caresse. Je lui agace le bout du gland, le frein du prépuce
Il tremble. Je le change de position, à genoux, la tête sur le lit, les jambes écartées. Je parcours sa raie du bout de ma langue. Je lui lèche copieusement la rondelle puis lui agace le trou du bout de ma langue. Il tire sur ses globes pour se dilater, cherche ma tête et appuie dessus, mincitant à continuer. Il couine de plaisir. Il veut me rendre la pareille alors, on se met en position de 69. Il me rend caresse pour caresse, à la seconde même. Du coup, cest aussi un peu à moi que je fais tout ça. Je lui gobe les boules quil a bien rases. Cest super agréable. Cest avec lui que jai découvert les avantages dêtre rasé.
« -French people are good lovers ! » me souffle-t-il
« - Do you want to fuck me ? » me demande-t-il
« - Fuck me first, please !! »
« -You are sure ? »
« Oh YESSS ! »
Je lui enfile un préservatif sur sa queue et le lubrifie copieusement. Il menduit le trou de gel. Je me place sur le dos, face à lui, jambes bien écartées. Je veux voir son plaisir monter sur son visage. Il commence à me titiller le trou dun doigt quil passe rapidement. Il tourne pour bien me dilater et peut très vite en passer un deuxième. Il approche sa bite de mon trou. Alors, je lempoigne contre moi et lembrasse à pleine bouche en le serrant très fort. Un peu surpris, il se laisse finalement emporter par la fougue de ma langue. Je lui enserre la taille de mes deux jambes croisées et lattend avec impatience. Comme sa bite est assez fine, elle vient assez facilement et je la sens bientôt en moi
Trop bon. Je le bloque et profite de la sensation au maximum. Je lui malaxe le cul un max. Puis je le tire vers moi pour quil sempale à fond et lui imprime la cadence des allers et retours en agrippant son bassin de chaque côté. Wouuuaaahh ! Vas-y mon gars ! Lâches toi !! Cette fois, jai carrément passé mes jambes sur ses épaules, offert au maximum. Il sactive et je sens bien la chaleur de son barreau qui me laboure le ventre. A nouveau, je change de position, me mets en levrette et tire sa bite vers mon trou. Cette fois, plutôt que de le laisser me pistonner, cest moi qui menfonce et me retire sur sa bite, en cadence. Il aime beaucoup. Mais, je ne lui ai pas encore fait goûter à ma position préférée, c'est-à-dire dos au mur, accroché à lui et empalé sur sa bite. Par contre, vu son plus petit gabarit, je ne suis pas sûr que ça puisse le faire
Avec force gestes, je lui fais comprendre ce que jaimerais. Il a toujours lair partant. Javise une poutre basse, me suspends à elle et viens mempaler sur son dard, en enserrant sa taille de mes jambes croisées. Alors là, il apprécie à donf ! Petit à petit, je me risque à me lâcher de la poutre pour lui enserrer le cou, le dos bien collé au mur. Est-ce sa terrible excitation qui décuple ses forces, toujours est-il quil me trombonne de plus en plus violemment. Il se déchaine carrément, le souffle court, les yeux écarquillés, le corps ruisselant de sueur. Putain ! Cest le pied !! Je sais pas pourquoi mais jadore être ainsi défoncé et chahuté. Je crois quil ne va pas tarder à jouir
Je me trompe lourdement. Il me malmène ainsi pendant encore un sacré bout de temps. Je suis aux anges ! Tout à coup, il pousse un grand cri , se crispe de tout son corps et se bloque. Il jouit longuement, extasié. Presquaussitôt, il retombe, complètement lessivé. Je le laisse récupérer. J e lui vide la capote sur son sexe qui commence à diminuer de volume et je le tartine copieusement avec son sperme sur sa queue, ses boules, son ventre. Il me prend la main et la porte à sa bouche pour la lécher. Il me regarde, rayonnant et reconnaissant. Très vite, il veut que, moi aussi, je jouisse. Il déchire un deuxième préservatif, me lenfile et lenduit de gel. A califourchon sur moi, il se présente au dessus de ma bite dressée. Il cherche à senfoncer. Je veux le dilater un peu mais il me fait signe quil préfère être ainsi. Il sappuie de plus en plus fort sur ma queue, la tenant de sa main droite passée dans son dos. Je le sens souvrir sous la poussée. Ca y est ! Mon gland est passé ! Je sens son trou qui me serre et menserre. Il commence à bouger lentement de bas en haut. Petit à petit, ça coulisse de plus en plus facilement et il se retrouve empalé jusquà la garde. On inverse le mouvement : il se soulève et cest moi qui viens le défoncer par-dessous. Jaccélère un peu. Il aime et me le dit.
« -Good ! So good !! »
Maintenant, on sy met tous les deux. On conjugue nos mouvements. Jadore être dans son ventre chaud, à le labourer furieusement. Visiblement, lui aussi aime être défoncé de la sorte. Il me sourit de toutes ses dents, dun regard chaviré. Le lit grince sous nos assauts. Je sens monter la jouissance en moi. Ca me brule dun coup. Je le serre à le casser et je jouis, je jouis. Il membrasse en me coupant définitivement le souffle.
On retombe, exténués. On comate dans les bras lun de lautre, tendrement enlacés. Je reste en lui. Après un bon temps de récup, il me propose de me faire une coupe artistique des poils de mon bas ventre. Je veux bien essayer. Cest ainsi que jy ai pris goût.
« -To morrow, you come ? » me demande-t-il
« -To morrow, I go
» Son regard sembue.
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