Sexe, Mélange Et Vidéo
Depuis quelque temps, Martine Néral affichait une mine morose et son amie Myriam Martin s'en inquiéta. Martine Néral est une brune pulpeuse aux gros sourcils et aux seins lourds tandis que Myriam Martin est son contraire : grande tige blonde à peau claire, au nez et aux seins pointus. Après avoir tourné autour du pot, Martine finit par cracher le morceau en buvant une tasse de thé prise chez son amie :
- Avec Roger, nous sommes tombés dans la routine de couple. On ronronne, on ne s'éclate plus. Vingt ans de vie commune, c'est long.
- Ne me dis pas que tu t'embêtes au lit, je ne te croirai pas.
- Eh bien si, un peu. C'est toujours un peu pareil. Je trouve depuis quelque temps que Roger est moins long, moins dur, moins inventif. Je me demande s'il n'a pas une maitresse.
- Tu crois ? Remarque, il peut se dire la même chose de toi. Que tu as peut-être un amant.
- Ah non, je ne l'ai jamais trompé. Je ne dis pas que je n'ai pas été tentée parfois, mais je n'ai jamais craqué. J'avais tout ce que je voulais, y compris et surtout au lit.
- Mais vous en avez parlé entre vous ? Cherché des solutions ?
- Oui, on en a un peu parlé. On a tenté quelques trucs. Un soir, on est allé dans un club échangiste histoire de pimenter un peu notre relation. On a sympathisé avec un autre couple et on s'est retrouvé à quatre dans un coin câlin, comme ils disent. J'ai sucé le mec et il a essayé de me baiser mais il bandait mou. Au contraire, Roger bandait dur et la fille criait de plaisir. Résultat, j'en suis sortie frustrée et on a décidé qu'on en resterait là.
- Pas de bol. Si ça avait été le contraire, hein ?
- On serait peut-être devenus libertins (rire). Bon mais en attendant, je doute.
- Je crois que tu es en plein dans la crise de la quarantaine. C'est classique, je suis aussi passée par là et j'en suis sortie.
- Et tu as fait comment ?
- On a tenté un truc qui a marché parfaitement, mais ça ne convient pas à tout le monde.
- Et c'est quoi ? Dis-moi, merde !
- Eh bien voilà. On a eu envie de se faire filmer en faisant l'amour. On est entré en contact avec un couple qui fait ça à la demande et au domicile des demandeurs. Ils sont venus, ils nous ont filmés, nous ont fait passer la vidéo et on s'est vraiment éclatés. Depuis, on se filme nous-mêmes, on s'exhibe et on fait les voyeurs en même temps, c'est génial.
- Ah ben ça alors ! Tu m'épates. Raconte-moi les détails. Ce couple, c'était qui ?
- Deux quinquas tout ce qu'il y a de présentables. Lui, grand, mince, élégant, cheveux argentés. Elle, blonde décolorée, plantureuse, très relationnelle. On s'est rencontré une première fois pour mieux se connaitre mutuellement. Ils nous ont expliqué qu'ils allaient organiser la chambre comme un studio avec des éclairages et qu'ils manipuleraient chacun une caméra pour multiplier les plans et en faire un mix. Ils enverraient ça par email pour qu'on télécharge la vidéo. Ils nous rétrocèderaient les enregistrements originaux pour qu'on soit tranquille.
- Et tu as marché là-dedans ? Qui te dit qu'ils n'ont pas posté le film sur un site porno ?
- On en a parlé mais ils nous ont dit qu'ils avaient trop à perdre, que leur réputation était en jeu, et qu'il fallait avoir confiance. D'ailleurs, Régis est allé vérifier sur différents sites et il n'a jamais rien vu nous concernant.
- Bon, admettons. Et ça coûte combien, ce petit sketch ?
- 300 euros la soirée, tout compris. Mais il y a un bonus : si le couple aux caméras participe aux ébats, c'est 100 euros de moins.
- Ben voyons. Et ils ont participé ?
- Que je te raconte d'abord comment ça s'est passé. Au début, Régis et moi, on était vraiment stressés. Ces projecteurs, ce type et cette femme avec leur caméra et nous à poil sur le lit, c'était surréaliste. Ils avaient essayé de nous chauffer un peu avant en parlant de cul mais ça ne marchait pas trop. Finalement, ils nous ont demandé de nous embrasser et là, c'est parti.
- Eh bé... Et ça a duré combien de temps, votre petit film ?
- Oh, pas tellement longtemps si on enlève la période où on s'est peloté. Disons une dizaine de minutes.
- Et toi, tu as joui ?
- Pas tellement. C'était un peu court. Mais j'ai beaucoup aimé ce moment quand même. Et surtout, on a baisé comme des fous avec Régis après en regardant la vidéo. Donc, c'était positif.
- Il vous a fait une remise, le Gilbert, pour sa pipe ?
- Une petite de 50 euros. C'était quand même sympa. Mais je m'en suis un peu voulue de ne pas l'avoir fait jouir. C'est con mais c'est comme ça. Alors, on les a invités à dîner quelques jours après.
- Avec ou sans caméras.
- Avec.
- Et... vous avez baisé ?
- Ben oui. Régis avait un peu fantasmé sur les gros nichons de Manuella et moi, je voulais revoir la belle queue de Gilbert.
- Donc, si je comprends bien, vous avez partouzé. Il y a une vidéo de cette petite sauterie ?
- Oui, et je peux te dire que c'est du chaud. Gilbert a filmé Régis et Manuella puis Manuella m'a filmée avec Gilbert et finalement, ils ont mis une caméra sur un pied en automatique avec un grand angle pour filmer le plumard où on se trouvait tous les quatre.
- A t'entendre, c'était mieux que la première fois.
- Honnêtement, oui, et Régis est d'accord. Je n'aurais jamais pensé prendre du plaisir dans une partie carrée, mais le fait est qu'on a pris notre pied.
- Et vous avez remis ça ?
- Non, et on en restera là. On a peur que la suite soit moins bien, ça restera juste un bon souvenir. On n'est pas devenus libertins avec Régis. C'est juste une expérience sexuelle et une vidéo pour nos vieux jours.
- J'espère que vous la mettez en dehors de la portée de vos s. Bon, c'est pas tout ça mais il faut que je m'en aille. Merci pour ton récit, c'est édifiant.
- Tu vas tenter le coup ? Tu veux le téléphone de Gilbert et Manuella ?
- Donne toujours, on va en parler avec Roger. C'est une décision qui mérite quand même réflexion.
Et sur ce, Martine claqua une bise sur la joue rose de son amie Myriam avant de quitter les lieux.
******
La confession de son amie Myriam donna beaucoup à penser à Martine. D'un côté, elle jugeait cette transgression inacceptable envers sa conception de sa vie de couple. Mais de l'autre, elle l'enviait d'avoir osé cette transgression et ainsi remis en question et en jeu sa sexualité. Elle s'en ouvrit le soir à son mari Roger, qui prit la chose à la rigolade :
- Eh ben, la Myriam, elle n'a pas froid aux oreilles. Je n'aurais pas cru ça d'elle et encore moins de Régis.
- Ouais. N'empêche qu'ils ont pris un pied d'enfer et nous, on ronronne.
- Que veux-tu dire ? Que tu veux tenter la même expérience avec ce Gilbert et cette Manuella ? Qu'on baise devant les caméras de deux inconnus, sans savoir vraiment ce que les images vont devenir ? Car enfin, je ne suis pas tout à fait convaincu de la suite.
- Moi aussi. Je ne tiens pas vraiment à les rencontrer. Mais bon, ils ont osé et pas nous.
- Je suis ouvert à toute proposition, tu le sais. On a déjà tenté pas mal de trucs, non ?
- Oui mais l'idée d'être filmés en train de baiser ne me déplait pas. Je dirais même que ça m'excite. Le problème, c'est par qui...
- On pourrait demander à ma soeur et mon beau-frère. Ils ont des DVD pornos, je les ai vus.
- Idiot. Et pourquoi pas à ta mère ?
- Et si on demandait à Myriam et Régis ? Après tout, ils ont l'expérience et on peut avoir confiance en eux.
Martine resta pensive. Tiens, oui, elle n'y avait pas songé. Mais si ça dérapait ? Pourrait-elle baiser avec Régis ? Myriam ne tarissait pas d'éloges sur ses performances sexuelles, mais son style élancé et imberbe le situait aux antipodes de son poilu de Roger. Au même moment, Roger se faisait la même réflexion à propos de Myriam, son genre petits seins et gros fessier, son poil blond et sa peau claire, pas du tout le corps de la brune Martine avec son 95 c et sa peau mate. Mais le cul de Myriam, si peu couvert par le slip de son bikini, l'avait toujours inspiré car il le trouvait conçu et fait pour la sodomie, dont devait se régaler Régis. C'était un cul de sportive, bombé et musclé, qui tendait l'étoffe et appelait la main de l'homme. Celui de Martine était sans doute plus voluptueux, plus moelleux mais pour Néral, le cul de Myriam était fondamentalement, si l'on ose dire, un appel à la bite.
- Oui, on peut essayer mais tu crois qu'ils seront d'accord ? demanda le mari.
- Quelque chose me dit que oui, décréta l'épouse.
*********
Martine Néral ne se trompait pas. Myriam accepta avec enthousiasme la proposition et Régis, beaucoup moins expansif, se contenta d'approuver d'un hochement de tête. Lui aussi avait pensé aux plantureux nichons de Martine et la perspective de la voir complètement à poil ne lui déplaisait pas. A fortiori en train de baiser. Précisément, il s'agissait d'abord de cela et Roger se demanda s'il serait vraiment à la hauteur. S'activer avec Martine devant une caméra tenue par un couple d'amis, cela n'avait quand même rien d'évident. Banderait-il assez ? En revanche, Martine ne voyait que le côté ludique de la chose. Elle acheta toute excitée une caméra go pro d'un modèle abordable et réduit, en se disant qu'elle pourrait toujours servir pour les vacances ou la famille. Les deux amies n'arrêtaient pas d'en parler entre elles et attendaient le jour J avec impatience. C'était un soir de juin qui annonçait déjà l'été imminent. Les s avaient été envoyés chez les grands-parents. Les deux couples avaient prévu de dîner dehors avant de passer à l'intérieur aux choses sérieuses. Myriam et Martine avaient gravement débattu : chambre ou salon ? Elles s'étaient finalement mises d'accord pour commencer sur le canapé et finir éventuellement au lit, cela dépendrait de la forme de Néral.
Celui-ci était un peu tendu et les deux femmes mirent tout en oeuvre au diner pour le mettre en condition. Toutes deux étaient nues sous leur robe d'été, et celle de Martine était si courte que Régis ne pouvait s'empêcher de loucher sur l'imposant barbu dévoilé à chaque croisement de jambes par Mme Néral. Quand on passa au salon pour le café, Martine était chaude comme le liquide que lui servait Myriam. Celle-ci suggéra à ses visiteurs de se mettre côte à côte sur le canapé et de se faire des gentillesses "comme si on n'était pas là". Elle s'était subrepticement munie de la caméra dont elle connaissait le maniement depuis la fameuse soirée avec les deux libertins. Martine prit résolument les affaires en mains et embrassa son mari pleine bouche en lui ouvrant sa chemise puis en lui caressant le torse jusqu'à la ceinture, qu'elle dénoua.
En retrait, Régis observait d'un fauteuil cependant que Myriam, caméra en main, filmait debout. Martine réussit à dégager le dard du boxer et constata une demi érection qu'il fallait encourager. Elle commença par faire passer sa robe par dessus sa tête, libérant une paire d'obus digne d'un calendrier de camionneurs. De son fauteuil, Régis se sentit durcir. Nom de Dieu, voilà qui le changeait des petits seins durs de Myriam. Martine s'était penchée sur le gland de Roger et le taquinait de la langue pendant que Myriam, accroupie, tentait un gros plan. Mais malgré toute sa conviction, le pénis de Roger, pourtant plantureux, tardait à prendre une rigidité suffisante. Voyant Martine pomper en vain, Myriam eut une inspiration subite. Elle prêta la caméra à Régis et fit à son tour passer sa robe par dessus sa tête. Au spectacle du corps de Myriam dans sa nudité intégrale, à la découverte du mince rectangle de poils blonds surmontant une chatte charnue et surtout à la vision miraculeuse de ce cul bombé à la raie bien nette, Roger prit de la longueur. Encouragée, Martine creusa les joues, la bouche aussitôt remplie de la pêche de vigne dont elle appréciait la fermeté et la douceur. Myriam avait repris la caméra et virevoltait autour du couple, laissant à tout hasard son fessier, dont elle connaissait l'attrait, à la portée de la main de Néral. D'autant que le pénis de celui-ci avait pris maintenant un volume conséquent qui ne laissait pas indifférente la vidéaste, laquelle se complaisait aux gros plans sur l'activité buccale de son amie. Elle avait ainsi l'impression de participer et ressentait dans son bas-ventre une chaleur qu'elle connaissait bien et qui traduisait l'envie de pénis.
- Roger, mets-toi à poil et baise la maintenant, elle n'attend que ça, lança-t-elle d'une voix rauque.
Roger, obéissant, se débarrassa de son pantalon, libérant de toute entrave des attributs sexuels dont le volume fila quelques complexes à Régis. Martine, à genoux sur le canapé, les coudes posés sur le dossier, attendait fébrilement et impatiemment la pénétration, la vulve béante et humide. Sous l'oeil de l'objectif, presque collé à sa hampe, Roger s'enfonça lentement. Aussitôt, Martine agita sa croupe plantureuse afin que le pénis de son mari puisse la visiter en détail. Néral se mit à l'unisson et le couple trouva son rythme habituel de la levrette, comme dans l'intimité, alors que la go pro de Myriam n'en perdait pas une miette. Elle passait d'un gros plan sur les couilles de Néral à un plan plus large sur l'accouplement puis revenait fixer de près le visage de Martine, contracté par le plaisir. Discrètement, Régis Martin avait sorti son pénis et s'astiquait sur le fauteuil. Puis Roger et Martine changèrent de position, l'homme s'asseyant sur le canapé et Martine le chevauchant en lui mettant ses deux gros nichons dans le pif. Puis celle-ci se retourna pour s'empaler à nouveau et c'est alors qu'elle aperçut Régis en train de se masturber, exhibant une queue longue et fine qui lui donna à penser. Dans son dos, Néral regardait Myriam évoluer avec sa caméra quand soudain, celle-ci, voulant redresser la couverture du canapé qui glissait, se pencha en avant et découvrit un joli petit anus rose que Roger jugea irrésistible. Mouillant rapidement son doigt, il le posa résolument sur la rondelle de la vidéaste, mû par une sorte de réflexe. Surprise, celle-ci se redressa et s'écria :
- Oh, Roger !
Mais il y avait dans ce "Oh Roger" aucune nuance réprobatrice, juste une sorte d'étonnement. Et pendant qu'elle s'était remise à filmer, Néral lui mit la main à la vulve, qu'il jugea étonnamment humide. Cette fois, Myriam ne fit aucun commentaire, et Néral insista pour introduire carrément son majeur dans le déduit de Mme Martin. Bien entendu, Martine s'était aperçue de la manoeuvre mais continuait, en appui sur les genoux de son époux, à s'infliger le faux supplice du pal vaginal. Son regard se porta sur Régis et elle l'interpella :
- Donne-moi ta bite, vite.
Régis arriva pantalon sur les chevilles et tendit à Martine une longue tige au gland gros comme une cerise que la destinatrice goba comme un fruit rouge et suça comme un bonbon. Myriam continuait de filmer mais sa main manquait désormais de fermeté, tant elle était émue par le majeur de Néral qui s'activait en elle comme un sexe. Et ce qui devait arriver arriva : la séance de vidéo dérapa en partie carrée dans la chambre des Martin. Myriam, à l'initiative du déménagement, pris les choses en mains, s'appuyant sur l'expérience alors que les Néral n'avaient jamais fait l'amour en présence de qui que ce soit. L'hôtesse invita chacun à s'allonger sur le lit en dissociant les deux couples. Cela commença par des rires car le lit était un peu juste pour quatre.
- On va un peu se cogner les uns contres les autres, remarqua Roger.
- C'est étudié pour, répliqua Régis, qui avait déjà commencé à suçoter les gros nibards de Martine, laquelle lui tripotait déjà la pine. Myriam posa la go pro sur la table de nuit, en mode automatique, et se consacra à ce qui la préoccupait vraiment : s'empaler sur la grosse queue de Néral. De même, Régis Martin put enfin satisfaire un fantasme qui lui était impossible avec son épouse : une bonne cravate de notaire entre les nichons adaptés de la juteuse Mme Néral. Et c'est ainsi que les deux couples dissociés se mirent à baiser avec frénésie. Myriam avait imposé, autant pour des raisons pratiques que par pur fantasme, que chaque couple adopte en même temps les mêmes positions. On commença donc par une levrette sous l'oeil noir de l'objectif en position grand angle. De se retrouver épaule contre épaule avec Myriam dans cette situation la fit glousser et Régis se méprit, croyant qu'il s'agissait de la première manifestation de plaisir. En revanche, il n'avait pas tort quand sa partenaire, stimulée par les gémissements de Myriam tout contre elle, commença à rouler ses hanches rondes. Puis ce fut la phase missionnaire. Allongées cuisses ouvertes en travers du lit, Martine et Myriam frétillaient en attendant la suite. Toutes deux étaient aussi impatientes de voir leur conjoint en action avec une autre qu'elles et guettaient dans leur expression quelque chose qu'elles ne connaissaient pas. Plus souple, Myriam s'attrapa par les chevilles pour s'ouvrir au maximum et permettre à la plantureuse bite de Néral de la remplir au mieux. Martine se contenta de presser de ses talons les reins de Régis, lequel n'avait d'yeux que pour les seins lourds en mouvement sous ses yeux, rythmant ses coups de bite. Le plumard était tellement agité qu'on aurait dit un barque sur la houle. Puis Myriam exigea de chevaucher Roger et imposa à son Régis de s'allonger à côté de lui, mais tête bêche, afin de voir l'expression de Martine et d'échanger avec elle.
- C'est ma position préférée, souffla Myriam, un peu haletante, j'aime dominer.
- Moi aussi j'aime bien, mais à vrai dire, j'aime tout, répondit Martine dont les profonds mouvements de bassin subjuguait Régis. Une fois encore, le lit tangua sur ses bases, menaçant de craquer.
Puis on revint à la levrette, cette fois face à face. Myriam voulait à nouveau observer Régis dans l'action mais son mental commençait à virer au clafoutis, tout comme celui de Martine. Les deux amies feulaient, couinaient et gémissaient, laissant parfois échapper un mot cru cependant que Régis et Roger, survoltés et en nage, s'efforçaient de satisfaire à grands coups de bite le féroce appétit des deux femelles. La chaleur était maintenant devenue intense dans la pièce et Myriam serait allée ouvrir la fenêtre si les protagonistes n'avaient pas été aussi bruyants.
Le point d'orgue, si l'on peut dire, fut atteint quand vint le tour de la sodomie. Roger put enfin honorer comme il l'entendait le cul de Myriam. L'affaire ne fut pas aisée. Il fallut préparer avec soin l'orifice de la dame qui n'avait jamais connu visiteur de cette taille. Tout le monde s'y mit, y compris l'époux, lequel entendait profiter de la réciprocité. Une fois que Néral eut franchi la barrière des sphincters de Myriam, il entra dans la félicité alors que la récipiendaire, après un moment d'incertitude, se mit à goûter le plaisir spécial de l'enculage et le fit savoir. Au cul puissant de Myriam vint s'adjoindre en parallèle celui plus moelleux de Martine. La fine pine de Régis s'y enfonça sans difficulté. Tant et si bien l'objectif toujours en activité de la go pro put saisir, côte à côte sur le lit, deux femmes à quatre pattes et l'oeil vague, tout entières concentrées sur la satisfaction de leur rectum, leurs seins rythmant la cadence (surtout ceux de Martine), et deux types jambes fléchies, la queue fichée dans deux somptueux fondements, s'activant en faisant claquer la peau de leur bas-ventre sur les rondeurs des deux sodomisées. Cette uniformité quasi parfaite dura suffisamment longtemps pour que Martine sentit la première monter le flux de l'orgasme et jetât à l'endroit de son enculeur un mot cru que l'intéressé reçut cinq sur cinq au point de gicler illico dans le soubassement de la brune, laquelle célébra l'événement par un cri guttural. Néral, qui n'avait pas entendu son épouse gueuler de la sorte depuis des lustres, en fut tellement chamboulé qu'après avoir mitraillé de son dard le petit anus rose bien dilaté de Mme Martin, s'y vida à son tour en grognant, provoquant chez celle-ci une manifestation entre le cri et la plainte qui était chez elle, Régis le savait, l'expression d'un orgasme authentique. Satisfaits autant qu'épuisés, les quatre protagonistes s'effondrèrent sur le lit qui n'en était plus vraiment un car le matelas était presque sorti du sommier au fil des ébats mouvementés des deux couples. Ils se regardèrent un peu hébétés, se demandant comment ils avaient pu passer du stade d'amis à celui d'amants. Martine résuma la situation en soufflant :
- Bon ben maintenant, va falloir redescendre sur terre.
Et c'est dans cet état d'esprit un peu irréel qu'ils se quittèrent après être passés sous la douche pour laver la sueur, le sperme et la cyprine sur leur peau encore chaude.
***********
Martine et Myriam convinrent de se retrouver quelques jours plus tard afin de visionner la fameuse vidéo restée chez les Martin. Une fois téléchargées sur l'ordinateur, les images firent revivre aux deux femmes cette soirée très spéciale qui les avait profondément marquées. La vidéo n'était pas de très bonne qualité. Myriam n'était pas une experte de la prise d'image et surtout, elle était manifestement troublée (le majeur de Néral ?) au point que parfois, le cadrage manquait de fermeté. Néanmoins, l'essentiel était bien là. Martine se jugea peu à son avantage :
- Tu as vu toute la cellulite que j'ai sur les fesses ?
- Et moi, regarde les boutons, répliqua Myriam.
- Finalement, nos hommes sont plus à leur avantage. Je trouve Régis très félin dans l'amour.
- Roger est très bien aussi. Très bestial. Et quelle queue ! Tu as vraiment de la chance.
Le plan de la partie à quatre dans la chambre n'était pas parfait. Parfois, un couple échappait à la caméra fixe, mais les ébats avaient été captés à 80%. Les deux femmes les regardèrent en silence, infiniment troublées. Pour tout dire, elles ne se reconnaissaient pas dans ces deux femelles en chaleur, enculées jusqu'à la garde et exhortant leurs mâles à hausser leur rythme.
- On s'est comportées comme deux belles salopes, résuma Martine.
- On était bestiales parce que le sexe, parfois, est bestial. Mais on a pris notre pied, non ?
- Ah ça oui. Et du coup, avec Roger, on est redevenus chauds comme des lapins. Sur ce plan, c'est réussi.
- Tu vois que j'avais raison. Bon mais maintenant, qu'est-ce qu'on fait de cette vidéo ?
- On l'efface. Je préfère le souvenir de la soirée à la vision de ma cellulite.
- Moi aussi pour mes boutons. Je ne comprends pas, je n'en avais pas la première fois. On dira à nos jules que c'était raté.
- Dis moi, tu te sens de remettre ça un de ces soirs ?
- J'allais t'en parler. Mais sans caméra, hein ?
Et c'est ainsi que deux couples d'amis se livrèrent non au libertinage (car on était en comité restreint) mais à la coquinerie. Et ni Myriam, ni Martine ne se plaignirent plus de problèmes de couple. Du moins pendant un certain temps...
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