Fin De Chantier - 2Èmè Semaine

Résumé des épisodes précédents : Première semaine – Week-end

Après un week-end plein de surprises et de découvertes où je découvre une épouse sous influence et à la merci de nos ouvriers, soumise à la volonté de leur chef qui a su user et r d’elle avant de la partager avec ses collègues qui s’avèrent tous faire partie de la même famille, une prise en main bien orchestrée et mûrement préparée par l’ensemble des protagonistes.


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05 h 30 ; j’ouvre un œil : Valérie est toujours dans mes bras ; il y a bien longtemps que cela ne nous était plus arrivé. Cette vessie trop petite me rappelle à l’ordre ; je me lève sans la réveiller. Dans les toilettes j’allume la lumière ; j’ai la queue recouverte de sécrétions qui ont séché. J’avais oublié son retour nocturne… J’oscille entre excitation et dégoût. Ma nature candauliste prend le dessus ; en effet, depuis que nous sommes ensemble, j’ai toujours eu envie de la voir prendre du plaisir, mis à part que j’aurais aimé être actif alors que depuis cette soirée pleine de rebondissements, je subis, ne maîtrise et ne contrôle rien. Je passe à la salle d’eau pour nettoyer tout ça et retourne dans la chambre ; il est encore trop tôt pour me lever, je me recouche.

Valérie a changé de position, elle est maintenant sur le dos. Je soulève la couette et vois que sa main droite est posée sur son pubis, cachant juste ce qu’il lui reste de poils. Curieux, je glisse ma tête entre ses jambes pour voir de plus près ce joli sexe glabre. Quelle vue ! Depuis le temps que j’attendais ce moment… Attiré comme une mouche par un pot de miel, j’y dépose un baiser sur les lèvres, ce qu’elle semble apprécier car elle écarte un peu plus les jambes pour m’en faciliter l’accès. J’en profite pour venir me placer entre celles-ci et, renouvelant l’opération, j’écarte les lèvres du bout de ma langue pour aller débusquer son clitoris.

Elle a l’air d’apprécier le traitement que je lui inflige ; elle sort de son sommeil, me prend la tête à deux mains et me plaque contre ses lèvres.

Je réussis à me dégager pour reprendre ma respiration et y retourne de plus belle ; j’en profite pour introduire le bout de ma langue. De son côté, elle se branle le clitoris de la main droite, et sa main gauche triture sa tétine gauche. Elle se mord les lèvres. La jouissance monte… je reçois quelques gouttes de sa liqueur sur le bout de la langue. Elle resserre fortement les jambes ; j’ai la tête emprisonnée comme dans un étau. Puis elle relâche son étreinte : elle vient de jouir en silence.

Je lui demande si elle a aimé, et en profite pour lui demander ce qui l’avait enfin décidée à satisfaire ma demande. Pour toute réponse, elle vient m’embrasser et me dit :

— C’est pour être comme toi. Cela faisait tellement longtemps que tu me le demandais ; je vois que cela t’a mis en forme.


Elle se penche et me fait une fellation en me branlant énergiquement ; je ne résiste pas longtemps à ce traitement. Elle se dégage et dirige les giclées vers ses seins ; je déverse ma semence sur sa poitrine, puis ma queue ramollit aussitôt. Elle se saisit d’un Kleenex, essuie le tout avant de ramasser sa chemise de nuit qui est au sol, de l’enfiler et de se rallonger en me tournant le dos


06 h 20 ; il est temps que je me lève. Je replace la couette et l’embrasse dans le cou ; elle ronronne comme une chatte.

Je descends, prends mon petit déjeuner, et réfléchis à tout ce qui s’est passé depuis samedi soir. Ce matin, Valérie ne commence qu’à 11 heures pour aller préparer le repas chez un papy. Curieux de voir ce qui va se passer jusqu’à son départ, je décide de simuler le mien afin de ne rien changer à mes habitudes. Au bureau, je dirai que j’ai eu un souci et que je rattrai mes heures ; de toute façon, cadre autonome, je n’ai même pas à me justifier.

Je m’empare des jumelles dans le placard au-dessus de la télé ; je sais que personne ne remarquera leur absence. Je quitte la cour comme tous les jours vers 6 h 45 et vais me garer dans une petite impasse proche de la maison, mais suffisamment isolée du passage.
Je retourne discrètement jusqu’à la maison et me dissimule dans la haie du voisin. Je sais que je ne serai pas dérangé : la villa voisine appartient à un Suisse qui vient passer une semaine au printemps, deux ou trois durant l’été, et parfois une à l’automne. Je vais donc pouvoir m’installer tranquillement et surveiller, car j’ai le pressentiment que je n’ai pas fini d’être surpris.


07 h ; j’entrevois du mouvement dans la chambre au rez-de-chaussée. Je chausse les jumelles afin de voir un peu mieux ce qui se passe, car je n’ai plus la vue de mes vingt ans. Rien de particulier : juste Lucian qui vient de rentrer, dit quelques mots puis ressort. Je repose les jumelles car il n’y a aucune activité à signaler. J’use mes yeux jusqu’à ce que de nouveau, je voie Lucian rentrer de nouveau ; je confirme avec les jumelles. Il n’est pas seul : il tient Valérie par la main et la dirige vers le lit de Victor. Il la fait s’agenouiller ; elle ne semble pas protester et prend en main l’anaconda, puis elle se penche pour tenter de le prendre en bouche. Mais, vu le morceau, elle n’arrive à prendre que le gland qui lui déforme complètement les joues ; elle y joint une main puis la deuxième pour le branler en même temps.

Pendant ce temps, cela s’agite ; je vois Marian et Stefan venir de chaque côté de Valérie. Ils la font se relever, attnt le bas de la chemise de nuit et la font passer par-dessus tête ; une fois de plus, Valérie est nue au milieu de quatre hommes. Ils la font s’installer à genoux entre les jambes de Victor – qui vient de les ouvrir pour lui laisser le passage – et elle se penche pour reprendre ce qu’elle avait si bien commencé. Dans cette position, elle expose ses fesses aux autres participants ; ils ne manquent pas de la caresser sur le dos, les fesses, les flancs, en s’aventurant jusqu’aux mamelles qui pendent.

Marian vient se placer derrière elle et se met à la lécher de haut en bas entre les fesses ; elle doit apprécier, car elle se cambre un peu plus de manière à faciliter l’accès.
D’un coup il se recule, monte sur le lit et vient la pénétrer d’un seul trait ; cela a été tellement rapide que tout le monde a l’air surpris. Lucian intervient et le fait se retirer aussi vite qu’il est rentré. Je suis surpris ; peut-être veut-il la préserver ?

Marian, tout excité, se branle au-dessus des fesses de Valérie et se termine en se vidant sur elles ; je peux voir qu’il a giclé jusqu’au milieu de son dos. Pendant ce temps, mon épouse n’a pas lâché sa besogne ; elle a dû venir à bout de Victor car elle se redresse et se rassoit sur ses pieds. J’arrive à apercevoir une coulure de sperme au niveau de ses lèvres. Stefan, qui se branle à ses côtés depuis un moment, se rapproche et se termine sur sa poitrine ; elle reçoit même une giclée dans le cou : ils ont décidé de lui faire un soin aux produits naturels !

Lucian, qui avait pris du recul, lui tend la main, la fait se relever, et l’entraîne vers la salle de bain. Les trois autres ont un sourire qui en dit long… Ils se congratulent en se tapant poing contre poing et discutent. De toute façon, même si je pouvais les entendre, je ne comprendrais rien.

La porte de la salle de bain s’ouvre enfin. Valérie en sort, toujours nue, suivie de Lucian qui lui met la main aux fesses en la poussant vers la sortie. Je me dis qu’elle va aller s’habiller à l’étage et repose donc les jumelles pour reprendre ma surveillance à l’œil nu. Je n’ai pas longtemps à attendre car elle arrive de la cuisine dans la salle à manger en tenue d’Ève, une bouteille d’eau à la main, et se met à préparer du café avant d’installer toute la table du petit déjeuner : les mugs, des verres, des couverts, le jus de fruit qu’elle sort du frigo. Il y a du mouvement ; ils arrivent et s’installent autour de la table.

Pour y voir d’un peu plus près, je rechausse les jumelles. Je vois Lucian s’adresser à Valérie qui était toujours debout ; elle se dirige vers lui et vient s’asseoir en travers sur ses genoux. Il passe un bras autour de sa taille et pose une main sur sa cuisse.
Valérie pose sa main gauche sur la sienne et passe son bras droit autour de son cou ; il a la tête juste à la hauteur de son sein droit. Il se penche à peine pour y déposer un baiser ; elle ne bouge pas. Elle a l’air bien au milieu de ces quatre fauves, soumise au dominant de la meute.

Le chien s’approche : il a dû sentir la femelle en chaleur ; Lucian lui favorise le passage en lui écartant les jambes. Toby est ravi et envoie un coup de langue ; il lape cette douce liqueur. Je vois Valérie se cambrer sur les genoux de Lucian qui est en train de lui lutiner les tétons ; elle lui serre le cou : elle a dû avoir un orgasme. Victor se charge de faire sortir le chien car il devient collant, ne voulant plus quitter sa maîtresse.

Elle se lève et se dirige vers la cafetière, la prend et se rapproche de la table. Des mains baladeuses en profitent : les cuisses, le dos, les fesses pendant qu’elle assure le service. J’en vois une remonter par derrière entre ses cuisses ; elle les resserre avant que la main n’atteigne son minou et réussit à se dégager pour aller servir le chef. Elle se rassoit sur ses genoux et lui tend son mug de café. Ils parlent. De quoi ? Je ne sais pas. Je la vois se tourner face à la table, toujours assise sur les genoux de Lucian, prendre une baguette, en casser un morceau, l’ouvrir en deux et en beurrer chaque moitié. Lucian en profite pour poser son café et passer ses deux mains sur le ventre de Valérie et venir jouer avec ses tétons qu’il pince entre ses doigts. Je la vois se cambrer ; elle a beaucoup de mal à se concentrer sur le beurrage du pain. Il relâche sa prise et lui embrasse le dos. Elle se retourne et lui tend le morceau de baguette ; il l’att par le cou et l’embrasse à pleine bouche. Elle répond à son baiser, la tartine toujours à la main. Il en profite pour lui caresser la poitrine de la main droite, la main gauche enserrant sa hanche, la maintenant contre lui. Il se saisit du morceau de pain et le lui présente à croquer ; elle en mord une bouchée.

Ils finissent de déjeuner ; elle se charge de tout débarrasser et ranger avant de disparaître dans la cuisine. Ils sortent et commencent à travailler. Ne voyant plus rien d’intéressant à espionner, je m’échappe de ma planque, remonte dans ma voiture et pars au travail.

J’arrive au bureau vers 9 h 30. Finalement, je n’ai pas perdu trop de temps ; le fait d’être parti plus tard m’a évité de perdre mon temps dans les bouchons. Je n’ai pas l’esprit au boulot ; je repasse le film de tout ce que je viens de voir. Comment a-t-elle pu changer aussi vite ? Est-elle enfin comblée ? D’après son visage, je n’ai pu que constater qu’elle était souriante et radieuse ; à aucun moment elle n’a songé à repousser qui que ce soit. Je suis condamné à la partager jusqu’à leur départ – j’espère en fin de semaine – mais ne vont-ils pas tenter de jouer les prolongations ? Et vais-je la retrouver après cette escapade, ou va-t-elle rechercher à combler leur départ ? Ont-ils réussi à révéler sa véritable nature, ou est-ce juste une passade ? Je ne sais que penser. Je ne veux pas aborder le sujet ; je l’aime toujours, et sais que je ne suis pas capable de la satisfaire de la sorte. Je décide donc d’adopter une position d’attente, d’autant que, en dépit du contexte, j’ai eu à chaque fois de très fortes érections, peut-être même plus fortes que d’habitude dans la durée et la rigidité. Je suis candauliste, voyeur : cette fois, je n’ai plus de doute. Comment le lui faire savoir sans que cela change son comportement ?

Je rentre ; il est presque 19 heures, mais ils sont encore au travail. Je constate que cela avance, bien qu’il me semble qu’il y ait un ralentissement ; mais difficile de juger sur une seule journée. De plus, ils ont déplacé l’échafaudage, et cela demande quand même pas mal de temps. Valérie n’est pas encore rentrée ; elle donne le repas chez une personne de 18 à 19 heures. Elle a préparé une sauce pour les pâtes, crème fraîche saumon. Il y en a beaucoup, je trouve, et une grosse casserole d’eau est sur la plaque. Je trouve un petit mot sur la table de la cuisine :

Fais chauffer l’eau pour les pâtes ; je les mettrai à cuire dès mon retour.

Ils mangent avec nous. Je t’aime. Bisous.


Je prends mon portable et monte. Au boulot, j’ai réussi à trouver un lecteur de cartes ; je vais pouvoir faire une copie des cartes mémoire afin de récupérer ces souvenirs, et peut-être un jour les partager avec elle. Cela prend un peu de temps car il y a une dizaine de cartes de 32 Go ; cela doit faire pas mal d’enregistrement… Il y en a où cela est très rapide car elles sont vierges. Je suis sur mes gardes car je ne veux pas me faire surprendre par Lucian ou l’un des autres. Je replace tout comme je l’ai trouvé et entrant.

Une voiture arrive ; je descends. C’est Valérie qui vient de rentrer.

Je n’ai pas le temps de jeter un coup d’œil à mes copies.

— On ne va pas manger de suite car ils sont en train de replier le chantier, et ensuite ils se douchent. Ça ne te dérange pas ? dit-elle en s’approchant de moi pour m’embrasser.


Je lui rends son baiser tout en laissant courir ma main sur sa robe, le long de son dos. Je remarque la présence d’un soutien-gorge, mais pas de culotte : elle a adopté le « cul-nu », ou il le lui a fait adopter.

Toby ne la lâche pas d’une semelle ; elle le met dehors afin d’être un peu tranquille. Je crains qu’en y ayant goûté, il ne la lâche plus. Est-ce que cela lui a plu, ou a-t-elle été surprise ? Je connaîtrai peut-être un jour sa version.

Elle me demande si je peux l’aider à préparer afin de ne pas manger trop tard. Nous allons dans la salle à manger où elle commence à mettre le couvert. Elle me donne la pile d’assiettes ; je ne peux qu’accepter, et me voilà en train de dresser leur table ; enfin, la nôtre puisque j’y suis invité. Ils arrivent un par un et participent ; un met le pain, un autre un carré de Sopalin en guise de serviette. Marian sort une bouteille du frigo et sert un verre de rosé à tout le monde.

Pendant ce temps, j’ai perdu de vue Valérie qui est repartie à la cuisine ; elle n’est pas seule, mais en compagnie des deux frères. Curieux, je décide d’aller voir ce qu’il se passe, mais je n’ai pas le temps d’arriver que Stefan intervient ; je ne comprends pas, mais il a dû les avertir de mon arrivée. Je les surprends non loin de Valérie, qui termine de réajuster sa robe ; j’ai juste le temps de voir le bas de celle-ci reprendre sa place.

Ils rejoignent la salle à manger en m’emmenant avec eux pour trinquer, me disent-ils ; mais cette fois-ci je suis vigilant et ne trempe que mes lèvres afin de garder toute ma lucidité.

Valérie arrive avec le plat de pâtes et sert chacun d’entre eux. Il me semble apercevoir des mains baladeuses mais ne peux être affirmatif, tout ceci se déroulant sous le niveau de la table. Elle termine par moi avant d’aller s’asseoir en face de moi à l’opposé de la tablée avec Victor à sa droite et Lucian à sa gauche. Nous avalons notre assiette rapidement tout en restant sobres : juste deux verres de rosé. Valérie aussi, ce qui est déjà beaucoup pour elle ; elle a les joues toutes roses.

Ils débarrassent la table. Stefan me retient à table en me demandant quelques précisions sur les travaux à effec. J’entends que l’on met les couverts dans le lave-vaisselle, mais ne vois rien de ce qui peut se passer dans la cuisine. Marian revient avec les assiettes à dessert, précédé de Victor avec les petites cuillères. Lucian et Valérie suivent à distance, Valérie avec un gâteau et Lucian le couteau pour le couper. Cet après-midi, elle a pris le temps de faire un gâteau ; ce n’est pas dans son habitude, en pleine semaine : elle a voulu leur faire plaisir ; ils s’occupent tellement bien d’elle…

Fin de repas ; tout le monde participe pour débarrasser. Je vois bien qu’il y a des contacts familiers, en tout cas inhabituels pour des personnes n’ayant pas de relations. Ils partent tous vers la chambre en nous souhaitant bonne nuit. Valérie veut un café ; d’habitude je prends un déca, mais pas ce soir : j’opte aussi pour un espresso. Tant pis si je ne dors pas : je veux en savoir plus. Elle me prépare mes gouttes, puis retourne au salon allumer la télé. Je feins de boire et vide le verre dans l’évier, le rince, et retourne au salon avec le café.

Rien de très intéressant à la télé ; elle monte se coucher. Je range les tasses et la rejoins ; elle est sous la douche, et elle a verrouillé la porte de la salle d’eau. Je me déshabille et m’allonge. Je suis fatigué et somnole à moitié quand je la sens se coucher à mes côtés. Je tends la main ; elle a enfilé un pyjama. Je m’aventure sous le haut, mais elle grogne en me disant qu’elle est fatiguée. Frustré, j’abandonne. Je me retourne et vois qu’elle a entrouvert la porte.

Je ne trouve pas le sommeil facilement mais sombre dans un état semi-comateux quand un bruit dans les escaliers remet mes sens en éveil. Je vois quelqu’un dans l’ouverture, attentif à ce qui se passe dans la chambre, puis il ouvre doucement sans faire de bruit, contourne le lit et s’approche de Valérie qui semble endormie. J’ai reconnu Victor, mais je vois à présent Lucian dans l’encadrement de la porte. Je sens la couette glisser vers le bas. Il doit murmurer quelque chose à l’oreille de mon épouse, mais je n’entends pas distinctement ; juste « Madame Valérie ».

Ça bouge dans le lit ; j’en profite pour bouger aussi et me mettre sur le dos afin d’avoir une vue plus large sur ce qui se passe. Valérie est assise ; il l’aide à se lever et l’entraîne vers Lucian. Ils referment partiellement la porte, mais je peux les voir entrer dans la chambre de Lucian tous les trois…



Si vous avez apprécié, laissez-moi vos commentaires ; une suite peut être car le chantier n’est pas fini !

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