Les Filles Qui Aiment Les Filles

Je suis écœurée de savoir que des copines aiment lécher et prendre dans la bouche le sexe d'un homme, encore plus celle qui avale le sperme, ce liquide gluant, salé, ignoble en un mot. Pour moi une bite doit être uniquement dans un vagin. Mais en plus, l'expérience que j'ai me laisse froide quant au plaisir tirée de la relation.
En plus être toujours à la merci de celui qui me baise, merci bien. Je préfère et de loin me masturber, même avec un gode que je mets dans le sexe ou l'anus. Ou alors la découverte que j'ai faite dernièrement : me faire caresser par une autre fille.
Il faisait chaud chez elle. Nous nous étions découvertes. Moi sans doute plus qu'elle puisque je ne portait qu'un petit soutien gorge et un mini slip transparent de plus. Nos cuisses se touchent. Je ne réagis pas au début. Sa chaleur se communique vite. Nous bavardons surtout de plaisir sexuel, mais sans a priori.
J'avoue que depuis quelques temps je rêve de me donner à une fille. Elle sourit en disant qu'elle a franchi ce cap depuis un bon de temps. Puis sans rien dire d'autre elle se penche sur moi me donne ses lèvres. Je rends la baiser sans penser à mal. Elle me prend par la nuque pour appuyer se lèvres contre ma bouche. C'est instinctif, j'ouvre ma bouche et lui donne ma langue. Nous échangeons une longue tirade.
En un instant passe en moi les souvenirs merveilleux de mes branlettes. Je n'ose pas bouger, elle par contre me caresse à travers le corps. Mon cou, mes sein, mon ventre et à la fin les pieds, les jambes pour arriver à mon compas.
Je la sens bien sur ma fente. Je souhaite qu'elle y entre avec ses doigts qui me semble curieux, tant mieux.
J'ouvre un peu plus le compas. Elle comprend qu'elle a le champ libre. Je sens au moins deux doigts dans la fente, écarter les lèvres. Elle doit voir ma cyprine sur sa main.
Pour la première fois une main de femme caresse le clitoris. C'est merveilleux de se faire caresser ce lieu par une autre fille.

Gênée par le slip, elle me l'enlève. La caresse reprend lentement, trop sans doute sur le moment. Puis, comme si elle savait tout, elle va plus vite. Je me tend vers ses doigts.
Mon Dieu que c'est bon, qu'elle me fait du bien.
Je suis arquée quand je sens la fin arriver. Un très long spasme me serre le ventre, monte doucement vers mon cerveau. Je ferme les yeux. Je jouis. Elle reste comme elle est. Mais sa position change. Elle s'accroupit devant moi, comme si elle me rendait hommage. Sa tête passe doucement entre mes jambes. Je sens ses cheveux contre l'intérieur de mes cuisses. Ils montent doucement vers mon corps.
Je viens de jouir, les dernier spasmes s'étiégnent en moi. Je sens son souffle contre moi. Je me doute de ce qu'elle veut faire, je la laisse agir. Son nez est sur le mont de vénus. Ses lèvres entourent le sexe. Elle va se noyer dans ma mouille.
Ce n'est qu'un baiser très particulier qu'elle me donne. Mais un baiser terriblement excitant. Mon esprit demande la suite qui arrive quand elle pose le bout de sa langue sur mon sexe que je lui abandonne.
Je me remets à peine de l'orgasme qu'elle m'a donné, qu'elle veut m'en donner un autre. Le plaisir plus fort arrive. Elle ne se contente pas de lécher, elle entre en moi. Je ne sais combien de langue elle m'a mit, mais c'est bien meilleur qu'une bite.
Ses doigts ne restent pas immobiles. Elle en passe au moins deux vers l'anus. Elle se garde bien de les entrer. Elle se contente de caresse le dessus. J'attends la suite avec impatience. Elle comprend que j'en veux plus. Elle introduit un doigt dans mon cul. Elle le fait aller et venir.
Je jouis encore une fois : elle continue sans cesse. Je suis morte de plaisir, elle fait durer la chose longtemps.
Enfin elle se tourne me donne son sexe sur la bouche. Je suis attirée par son odeur forte de cyprine retenue. Ma langue essuie ses liquides intimes. Son bouton est trop attirant : je le suce aussi. Je le tête longuement, même si je sens ses orgasmes.
Nous nous suçons mutuellement. Je comprends les femmes qui aiment les filles. Je crois que je vais faire comme elles : me donner aux langues de femmes.